The Quintessential Quintuplets, tome 07 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 07
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Fûtarô Uesugi fait le constat amer qu’il manque d’expérience pour arriver à redresser la barre concernant les résultats scolaires des sœurs Nakano. Face à ses propres lacunes, il décide de démissionner. C’était compter sans l’entêtement des quintuplées qui décident de quitter leur duplex de luxe pour vivre dans un appartement décrépi dans l’unique but de pouvoir garder leur professeur. De quoi redonner l’envie à Fûtaro d’aller au bout de sa mission, et il semble plus déterminé que jamais !

Ça fait un moment que je n’avais plus continué cette saga. Le sixième tome était sympa, mais je ne m’en souvenais plus. Je conserve toujours cette impression que c’est une série très moyenne qui tourne en rond, ce qui était le cas au début, mais ça commence à bouger.

Les quintuplées se sont révoltées contre leur père qui a renvoyé Uesugi : elles ont quitté le domicile familial pour vivre toutes les cinq dans un petit appartement. C’est Itsuki qui subvient péniblement à leurs besoins avec sa paie d’actrice. Uesugi continue de leur donner des cours, même s’il n’est pas payé.

Une bonne partie de ce septième tome est consacré aux filles donc on se place de leur point de vue et c’est super intéressant. Un chapitre pour chacune au moment des examens et elles se remémorent les deux mois précédents, leur choix, leur décision, etc.
C’était un récit plaisant et dépaysant. J’avais besoin de me changer les idées et ça a fait le job, ça m’a fait beaucoup de bien.

Les dessins sont toujours aussi beaux si ce n’est même mieux. J’ai pris plaisir à m’attarder sur chaque planche et à détailler les personnages, les mouvements des cheveux, la forme du regard, etc.
J’ai beaucoup aimé ce septième tome et je me demande ce que l’auteur nous réserve dans le prochain.

God save the queen – Hiroshi Mori

Titre : God save the queen
Auteur : Hiroshi Mori
Éditeur : Soleil
Nombre de pages : 224
Quatrième de couverture : Au XXIIème siècle, Michiru Saeba et son partenaire se perdent dans le désert… et découvrent une ville étrange où tout semble différent : mœurs, modes de pensée, lois, architecture… Tout porte à croire que cette cité représente l’utopie même d’une civilisation parfaite, où le crime et le mal n’existent pas. Serait-ce le jardin d’Eden ? Et que se cache-t-il vraiment derrière ces apparences ?

Je n’avais pas particulièrement envie de lire ce manga, je ne sais même pas où ni comment je me le suis procuré ; j’imagine que j’ai du le trouver à Farfafouilles en occasion et je suppose que la couverture me plaisait bien. J’étais quand même curieuse de découvrir ce manga issu d’un roman de Hiroshi Mori.

En ce qui concerne l’histoire, c’est vraiment pas terrible.
Michiru est perdu dans le désert avec son robot Roidy. Les deux personnages découvrent une cité coupée du monde. C’est l’occasion de voir comment fonctionne cette ville.
Ça aurait pu être intéressant, malheureusement ça n’est pas le cas : l’auteur aurait pu faire une comparaison entre le monde de Michiru et le fonctionnement de cette nouvelle ville. Je me serais moins ennuyée : le Japon de notre héros semble plus exaltant que l’endroit où il atterrit… ou pas.

Les personnages sont fades.
Michiru m’a laissée froide, pareil pour son compagnon wokalon Roidy.
La mystérieuse reine est insipide. Et les autres ne sont pas assez présents pour me permettre de me faire une idée sur leur cas.
Il y a bien quelques surprises qui m’ont permis d’avancer et de continuer ma lecture, mais je n’ai pas aimé la manière dont elles sont utilisées : l’enquête sur le meurtre de Jura s’essouffle, la présence de Kyôya avec tout ce que ça implique traîne en longueur, la véritable identité de nos héros est un beau foutoir. Quant aux explications finales, elles sont brouillonnes : j’ai relu les dernières pages trois fois et je ne suis toujours pas sûre d’avoir compris qui était quoi…

Les dessins sont pour la plupart sympathiques, mais certaines planches, notamment les souvenirs de Michiru, sont incompréhensibles et c’est pénible.
Bref, je ne vais pas m’éterniser davantage sur tout ce qui m’a laissée indifférente – je n’en finirais pas. Je me suis ennuyée sur cette lecture que je n’ai pas aimée.

Père Fouettard Corporation, tome 4 – Hikaru Nakamura

Titre : Père Fouettard Corporation, tome 4
Auteur : Hikaru Nakamura
Éditeur : Kurokawa
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : L’examen Renne est terminé, les employés vont pouvoir enfin souffler ! En effet, en bon patron suivant scrupuleusement le droit du travail, le Père Fouettard leur accorde des congés payés. C’est l’occasion pour Miharu Hino de regagner ses pénates pour quelques jours. Mais le repos tant espéré s’annonce malheureusement compliqué, car des cartes surprises de Knecht viennent bouleverser la donne et précipiter le cours du jeu. Les nouveaux Rennes ont été désignés ! Or, les lauriers du succès sont accompagnés de mystérieux et dangereux pouvoirs. Entre Benjamin, le lutteur professionnel, et Miharu, la tension est à son comble !

J’ai eu beaucoup de mal à entrer dans l’histoire, peut-être parce que je n’ai pas pu le lire d’une traite – j’ai quand même mis 3 jours pour le terminer. Je me souvenais de ce qu’il s’était passé dans le précédent, la rencontre entre Ben et Miharu, la présence de Rudolphe et son identité, mais la sauce a quand même eu du mal à prendre.

Il se passe beaucoup de choses dans ce quatrième tome, ce qui fait que je ne vais pas en faire un résumé, mais plutôt énumérer les événements cruciaux :
– Les employés de Père Fouettard Corporation peuvent rentrer chez eux pour le Nouvel An. C’est à ce moment-là que les rennes sont choisis et sans surprise, on retrouve Miharu, Shino, Teppei et Ben – je vus laisse découvrir quel est leur nom de renne. Une information qui doit rester secrète, même au sein de l’entreprise.
Teppei travaille pour les souris qui lui donnent des explications complémentaires, notamment sur ses pouvoirs en tant que renne. Il a volé la flèche noire – je crois qu’on ne savait pas ce qu’il avait pris au pied du colonel, on sait enfin à quoi elle sert et les supputations quant à son utilisation sont allées bon train dans ma petite cervelle remplie de langage de programmation.
Lorsque les employés rentrent, tous dans le même avion, un invité surprise fait son apparition et compte bien visiter les locaux de l’entreprise.

L’histoire stagne un peu. J’ai trouvé peu d’utilité à ce quatrième tome… il m’a semblé vide et inintéressant.
De plus, les dessins sont un peu moins bien réalisés comme si ça avait été bâclé… même Knecht qui habituellement est stylé et me fascine m’a laissée indifférente.

Pour l’instant, c’est le tome que j’aime le moins. Il se termine sur un cliffhanger, donc j’ai bien envie de commencer le suivant, mais je redoute d’être déçue et de ne pas en profiter….
Bref, ce quatrième tome s’est laissé lire, sans plus.

Lonely World, tome 3 – Iwatobineko

Titre : Lonely World, tome 3
Auteur : Iwatobineko
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 200
Quatrième de couverture : Une fillette et son protecteur golem sur les traces de l’humanité disparue…
Afin d’empêcher les cônes de retrouver la trace de Shii, Bulb a dû effacer la mémoire de Teefer, le golem de communication qui avait tout fait pour être le seul à occuper les pensées de la petite fille… À la suite de cette triste expérience, le trio rencontre Moody et Ariadne, un robot nourrice auquel l’enfant s’attache très vite.

Ma fille m’a offert le 3ème et le 4ème tome de cette saga pour mon anniversaire. J’avais hâte de pouvoir les lire, pourtant, je ne l’ai pas fait tout de suite parce que je ne voulais pas me retrouver à attendre des plombes la parution du cinquième qui est en cours d’écriture au Japon… donc autant étaler ma lecture afin de réduire l’attente.
Par contre, là, j’avais envie d’une lecture passionnante donc j’ai tablé sur le troisième tome de Lonely World et j’ai bien choisi.

Shii et Bulb suivent la piste du symbole et parviennent à une ferme. On découvre une autre facette de ce monde sans humains et comme pour les tomes précédents, c’est loin d’être gai.
La bonne nouvelle, c’est que Shii retrouve sa mère. Mais doit-elle lui faire confiance ? Notre héroïne est-elle en sécurité ? Si c’est le cas, quelles conséquences cela va-t-il avoir sur Bulb et Mui-Mui ?
Depuis le début, l’auteur nous étonne grâce à des révélations surprenantes et il continue : qui est réellement Shii ? Pourquoi le palais royal la cherche-t-il ? Sont-ils aussi mauvais que le laissait entendre les tomes précédents ?

J’ai adoré tout ce qu’on découvre, je n’ai qu’un bémol : on voit très peu Bulb et Mui-Mui, ce qui est normal vu la tournure des événements, mais leur présence réconfortante m’a manquée.
Je ne suis pas fan de la maman de Shii. Je m’en méfie et la trouve manipulatrice au possible. Grâce à elle, on en sait plus sur ce qui a entraîné la disparition des humains, mais ça ne me l’a pas rendue plus sympathique.
On retrouve Teefer, je suis plutôt partagée quant à son retour : d’un côté, je suis contente qu’il soit encore vivant, de l’autre je me méfie de lui.
Quant à Moody, je l’aime toujours autant.

Les dessins sont super beaux au début, plus inégaux vers la fin. Ça correspond bien au retour à la réalité qui frappe notre héroïne… à moins que ce ne soit par manque de temps du mangaka.
J’ai adoré cette lecture. Et la fin laisse présager une suite aussi sombre qu’angoissante. Vivement !

BirdCage Castle, tome 4 – Toutarou Minami

Titre : BirdCage Castle, tome 4
Auteur : Toutarou Minami
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 240
Quatrième de couverture : Grâce à la perspicacité de Gin, les lycéens survivants sont sur le point de découvrir l’identité du hibou bleu qui les séquestre dans ce funeste château. Déjà profondément meurtris par la mort de trois des leurs, seront-ils prêts à faire face à la douloureuse vérité que leur crachera le maître des lieux ? Auront-ils les ressources nécessaires pour échapper à ses griffes meurtrières ?

C’est le quatrième et dernier tome de cette saga et ça m’a laissée coite. Je me doutais bien qu’on aurait des explications sur la raison de ce jeu complètement tordu, mais j’étais loin d’imaginer d’en avoir autant.
Tout au long des 4 tomes qui composent cette saga, l’auteur a distillé des informations sur les personnages et à la fin, tout est mis en corrélation, ce qui était aussi plaisant que surprenant.

Notre groupe de héros découvre où se cache le hibou bleu. C’est l’heure des révélations : qui est-il ? Pourquoi a-t-il attiré les amoureux dans ce château ? Quel rapport entretient-il avec Kumo ? A-t-il des liens avec d’autres personnages ?
C’était super intéressant et ça m’a tenue en haleine du début à la fin.

Les personnages sont cohérents par rapport aux tomes précédents. Leur présence est calculée, pas vraiment étonnant pour certains. Le seul dont on ignore tout est Kimiharu : je ne sais toujours pas quoi penser de lui. Il m’intrigue. Il est intelligent, mais continue de se comporter comme un connard… peut-être un peu oins à la fin.

Les dessins sont toujours aussi sympas malgré quelques inégalités, mais parfois, j’ai eu du mal à reconnaître qui disait quoi. C’était un peu brouillon et c’est dommage… j’ai du mal à me concentrer sur autre chose que mes cours ou mes projets, et ça m’a un peu saoulée que ce soit parfois aussi peu clair.

Dans l’ensemble, j’ai adoré cette lecture, c’est court, ça ne traîne pas en longueur et c’est relativement bien ficelé.