Titre : Boys Run the Riot, tome 2
Auteur : Keito Gaku
Éditeur : Akata (L)
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Si les clients ne viennent pas à nous, c’est à nous d’aller les chercher !
La marque Boys Run The Riot est officiellement lancée ! Cependant, malgré les efforts de Jin, les ventes peinent à décoller. Pour passer à la vitesse supérieure, Ryo et ses amis vont avoir besoin de se trouver des partenaires. Mais pour des adolescents, cette tâche n’est pas aisée et les adultes ne semblent pas prêts à les considérer comme des professionnels. Ne pouvant compter que sur eux-mêmes, ils décident alors de trouver des petits boulots étudiants pour gagner un peu d’argent et investir dans leur marque…
Je suis persuadée que lorsque j’ai lu ce second tome hier, je n’étais pas au top de ma forme. En effet, revenant d’un week-end de convention, j’étais épuisée avec une seule envie : dormir. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait au deux tiers de ce manga : une petite sieste de 30 minutes et la suite s’est lu tout seul.
Du coup, je ne sais pas trop quoi écrire, je l’ai lu avec indifférence… jusqu’à ce que je me repose, après c’était mieux.
La marque de vêtements Boys run the riot est lancée, mais le trio peine à se faire connaître. Ils essaient de passer par un magasin lanceur de talent, mais on ne les prend pas au sérieux. Ils décident donc de gagner des sous pour pouvoir investir dans leur marque.
Ryo finit par trouver un emploi de serveur où il peut être lui-même. Il se lie d’amitié avec Misaki et deux autres collègues, Koike et Shimada. Malheureusement, ce dernier tente une approche amoureuse et ça renvoie le lycéen à son statut d’assigné fille et il le vit très mal.
Dans les derniers chapitres, ils rencontrent enfin le célèbre YouTubeur Wing qui donne des conseils plus ou moins judicieux à Ryo (ça ne m’a pas semblé déconnant, mais pas sûre que tout ait plu à notre héros). Il les aide également à améliorer leur site et décide de leur faire de la pub sur leur chaîne… mais à quel prix ?
Le gros point fort de ce second tome est que Ryo commence à s’accepter : il ose être lui-même avec d’autres que Jin – ce dernier a décidément eu un effet bénéfique et apaisant pour notre héros.
Le gros point négatif est la fin, pas dans le sens où c’était nul, mais plutôt dans la situation : Tsubasa fait quelque chose qui m’a choquée et fâchée… et il faudra attendre le prochain pour en connaître les répercussions.
J’ai trouvé les illustrations un peu moins sympas dans l’ensemble… mais tout comme dans le précédent où le graffiti de Ryo m’avait impressionnée, la peinture de Misaki m’a laissée sans voix tellement elle est belle et contraste avec le style graphique du mangaka.
J’ai bien aimé ce second tome et j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le troisième (cet été).