Titre : Contes zen
Auteur : Henri Brunel
Éditeur : Librio
Nombre de pages : 95
Quatrième de couverture : Contes gais et colorés puisés dans la littérature zen, réécrit pour s’adapter à notre sensibilité. Humour et paradoxe, nous font goûter la saveur et la liberté du zen, nous transmettent une pensée millénaire et néanmoins incroyablement moderne.
Un petit recueil de 30 contes zen, moins de 100 pages, c’est dire s’il est court mais c’est pas plus mal. Vu le nombre, je ne vais pas écrire le résumé de chacun, surtout qu’ils ne sont pas très longs : deux pages pour une grande majorité.
Ma chronique ne va pas non plus être très longue parce que je n’ai pas grand-chose à dire de cette lecture.
Ce ne sont pas des contes comme on a l’habitude d’en lire : il y a bien une petite histoire, mais elle est racontée de manière très calme. Ça fait du bien et ça ouvre des réflexions sur notre entourage, sur nos agissements au quotidien, mais c’est également très ennuyeux toute cette platitude. Le conte n’a pas toujours de fin et pour qu’on comprenne bien en quoi il entre dans la catégorie des contes zen, un petit texte explicatif suit, en s’appuyant sur des citations d’auteurs européens qui ont bien compris cette notion de zen.
Ils sont tous originaires d’Asie, beaucoup se passent au Japon mais certains viennent de Chine ou d’Inde.
Je vais m’arrêter là parce que je ne vois pas ce que je peux rajouter d’autre. C’est un recueil qui m’a ennuyée et je suis contente de l’avoir terminé.