From the Children’s Country, tome 2 – Naoto Akiyama

Titre : From the Children’s Country, tome 2
Auteur : Naoto Akiyama
Éditeur : Meian
Nombre de pages : 224
Quatrième de couverture : Un grand tremblement de terre et l’apparition mystérieuse de chiffres dans le ciel ont transformé le monde. Face à des adultes monstrueux, les enfants doivent désormais lutter pour leur survie. Alors qu’ils avaient trouvé refuge dans une école, les adultes parviennent finalement à s’y infiltrer, et Hajime et les autres enfants se retrouvent dos au mur… !

Quand ce second tome est paru, je ne l’ai pas acheté tout de suite. J’avais vu d’assez mauvais avis dessus ce qui m’a fait hésiter. Je l’ai donc mis sur ma liste d’anniversaire et on me l’a offert, donc autant le lire.

Naoto vient de fêter ses quinze ans et sans prévenir, il se transforme en monstre. Il pourchasse Hajime et ses amis. Lors de la course-poursuite, notre héros atterrit dans la salle où sa monstrueuse mère est retenue prisonnière. Elle parvient à se libérer et contre toute attente, défend son fils et ses camarades.

Ce second tome est beaucoup moins bien que le premier.
Les personnages ayant été ultérieurement traités, on ne revient pas dessus et je n’ai pas réussi à retrouver l’attachement qu’ils m’avaient inspiré.
Il y a beaucoup de combats, on n’a pas le temps de s’ennuyer, mais ça manque de profondeur et les dessins ont énormément perdu – serait-ce la preuve que cette fin a été terminée à la va-vite ? Oserais-je dire torchée ?

Tout va trop vite. C’est le dernier tome, la conclusion… l’auteur aurait dû prendre le temps de poser les explications finales… au lieu de ça, on a une histoire bancale de physique quantique. Ça m’a semblé tiré par les cheveux.
Et puis la fin ! Qu… hein ? Ça m’a totalement perdu tant ça n’avait aucun sens.

Bon, hormis le fait que ce fut une lecture rapide et simple, il n’y a quasiment pas de points positifs. Je peux comprendre que bon nombre de lecteurs aient été déçus. De mon côté, je n’en attendais pas grand-chose si ce n’est passé un bon moment et c’est plus ou moins réussi. Ce fut une lecture plaisante, sans plus.