Bilan lecture du mois de juillet 2025

Bilan de lectureJ’aurais dû pouvoir lire beaucoup plus en ce mois de juillet 2025 puisque j’ai eu deux semaines de vacances, mais les événements ont fait que je n’ai pas pris le temps désiré. Dommage !
J’ai lu 6 livres (5 mangas et donc 1 roman).
Commençons sans plus tarder:


J’ai adoré
:
   


Gif heureux
J’ai aimé:



Je n’ai pas aimé
:

On arrive donc à un total de 1453 pages (995 en mangas et donc 458 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 13/20

Challenge Goodreads : 42/100

Challenge Réduit ta PàL à néant (illimité) : 27/385


Actuellement, je lis :
Messe noire
Peter Straub
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :

Les cerfs-volants de Kaboul – Khaled Hosseini

Titre : Les cerfs-volants de Kaboul
Auteur : Khaled Hosseini
Éditeur : France loisirs
Nombre de pages : 458
Quatrième de couverture : Dans les années 70 à Kaboul, le petit Amir, fils d’un riche commerçant pachtoune, partage son enfance avec son serviteur Hassan, jeune chiite condamné pour ses origines à exécuter les tâches les plus viles. Liés par une indéfectible passion pour les cerfs-volants, les garçons grandissent heureux dans une cité ouverte et accueillante. Ni la différence de leur condition ni les railleries des camarades n’entament leur amitié. Jusqu’au jour où Amir commet la pire des lâchetés…
Été 2001. Réfugié depuis plusieurs années aux États-Unis, Amir reçoit un appel du Pakistan. « Il existe un moyen de te racheter », lui annonce la voix au bout du fil. Mais ce moyen passe par une plongée au cœur de l’Afghanistan des talibans… et de son propre passé.

Je ne sais pas trop quoi dire à propos de cette lecture. J’en avais entendu beaucoup de bien et je confirme : il est vraiment bien.

C’est une histoire qui se déroule sur une trentaine d’années : des années 70 jusqu’à 2001.
Les personnages sont Afghans : donc on découvre leur vie avant et après.
Amir grandit avec Hassan, le fils de leur domestique Ali qui est le frère de lait de Baba, le père d’Amir, mais surtout un Hazara (ethnie méprisée par les autres Afghans).
Lors du traditionnel concours de cerfs-volants à Kaboul, un événement va frapper Amir et Hassan et les éloigner l’un de l’autre.
J’avoue que c’était un passage éprouvant et la suite l’est tout autant. Ça m’a mise en colère.

Puis on a droit à une ellipse de 5 ans : Baba et Amir fuit l’Afghanistan pour les États-Unis où ils s’installent. Qu’est devenu Hassan ?
En ce qui me concerne, j’étais tout aussi intriguée par les événements historiques que par le sort d’Hassan. Je ne me souvenais plus de ce qui s’était passé là-bas. En faisant des recherches, ça m’est revenu : les talibans montés au pouvoir, des images vues aux informations quand j’étais adolescente… par contre, j’ignorais qu’avant ça, les russes avaient envahi l’Afghanistan. Donc ça m’a permis de replacer cette histoire dans ma temporalité historique déficiente.

En ce qui concerne les personnages, je suis partagée. Ils sont attachants, mais Amir est décevant, du moins, tant qu’il vit à Kaboul. Par la suite, la vie se charge de rééquilibrer les forces.
Quant à Hassan, il est trop gentil et trop aimant envers Amir qui ne le mérite pas.

J’ai eu des moments où le récit était tellement passionnant que c’était compliqué de s’arrêter et d’autres où c’était tout aussi intéressant pourtant moins captivant. L’ambiance est prégnante, je pense que je vais avoir du mal à prendre du recul et à passer à la prochaine lecture.
J’ai adoré cette lecture.

Solo Leveling, tome 18 – Chugong, Disciples (Redice Studio) & h-goon

Titre : Solo Leveling, tome 18
Auteurs : Chugong, Disciples (Redice Studio) & h-goon
Éditeur : Delcourt (Kbooks)
Nombre de pages : 240
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.

Je savais que ce dix-huitième tome contiendrait des spin-offs de la saga. Je m’attendais vraiment à suivre des personnages secondaires rencontrés au fil des aventures de Jinwoo. Finalement, non.
On en croise certains dans ce tome, on découvre ce qu’ils sont devenus, mais ils ne sont pas les héros des chapitres.
Sauf les ombres qui ont des passages dédiés, ce que j’ai grandement apprécié. La manière dont c’est traité est plaisante : ils nous partagent leur ressenti, les relations qu’ils avaient avant d’être au service de Jinwoo et leur première rencontre avec le maître des ombres. J’ai adoré ces parties.

Ce tome est un tremplin vers la suite puisqu’on suit notre héros dans sa nouvelle vie, notamment avec Cha Hae-In et on fait la connaissance de son fils.
J’avais trouvé le tome précédent inintéressant. Celui-ci l’est beaucoup plus et a aussi plus de sens : une transition vers la suite avec un contexte et surtout le background mis en place du prochain héros. Le fils de Jinwoo ne vient pas de nulle part, on le connaît un peu.
D’ailleurs, j’adore sa relation avec Ber ou les disputes incessantes qu’il provoque entre Igrit et Bellion. C’était très drôle.

L’histoire n’est certes pas aussi passionnante que les tomes précédents, mais j’ai passé un excellent moment, j’ai ri par moment ce qui m’a fait du bien.
J’ai beaucoup aimé cette lecture et maintenant, j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain et si le scénario réussira à se renouveler.

Battle Game in 5 seconds, tome 04 – Kashiwa Miyako & Saizou Harawata

Titre : Battle Game in 5 seconds, tome 04
Scénario : Saizou Harawata
Illustrations : Kashiwa Miyako
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 208
Quatrième de couverture : Le combat à mort entre l’équipe verte et l’équipe rouge est sur le point de commencer.
Pour remporter des points, Akira et ses camarades partent à la chasse aux goules. Mais l’équipe verte se retrouve dans une impasse quand surgit une goule géante, contre laquelle le canon d’Akira et les attaques de Yûri ne peuvent rien… Comme si ça ne suffisait pas, voilà que les rouges, les ennemis des verts, débarquent sur les lieux du combat…
La tension monte entre les deux équipes qui se font face, mais Mion annonce soudain un nouveau jeu… La chasse au roi va commencer !

Un quatrième tome aussi bien que les précédents.
Nos héros sont dans une phase de jeu stagnante. Tous les joueurs qui sont arrivés à ce niveau y restent parce que c’est moins risqué : ils gagnent des points en remplissant des quêtes et peuvent acheter ce dont ils ont besoin pour survivre.
Ils se sont organisés en 3 groupes :
– les bleus sont des électrons libres où chacun fait ce qu’il lui plaît,
– les rouges sont des psychopathes qui récupèrent les nouveaux pour en faire leurs esclaves et les envoyer au casse-pipe quand ça leur chante,
– les verts se sont réunis en une communauté solidaire et sont constitués de vieux comme d’enfants.

Dans ce quatrième tome, une grosse quête est lancée : les verts s’organisent, les rouges les espionnent. C’est galère, mais nos héros s’en sortent, mais c’est sans compter Mion (l’arbitre cruelle du jeu) qui leur tend un piège.
Akira étant un fin stratège, on ne peut pas dire que cette lecture était très reposante. Toutefois, ça m’a plu. Le rythme combat-scénario est bien équilibré, je n’ai donc pas eu la sensation de lourdeur comme dans le quatrième tome de A fantasy lazy life, peut-être aussi parce que le scénario est mieux ficelé… je ne sais pas.

Le seul bémol sont certains dessins lors des combats, parfois, ils font très brouillons avec les 10 millions de traits simulant le rapidité de mouvement ; j’abuse un peu, mais c’est un fait que ça a quand même ralenti ma lecture alors que je n’en avais pas particulièrement envie.
Ça ne m’a pas empêché d’adorer ce quatrième tome et vu la manière dont ça se termine, j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain tome.

The Quintessential Quintuplets, tome 10 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 10
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Un temps démis de ses fonctions, Fûtarô redevient officiellement le professeur particulier des quintuplées après avoir prouvé à leur père qu’il faisait bien partie du top 10 des meilleurs élèves au niveau national. L’heure est maintenant venue de partir en voyage scolaire à Kyoto et de se détendre. Hélas pour Fûtarô, les jumelles ne lui laissent aucun répit, chacune d’elles ayant décidé d’accaparer son attention aux dépens des activités prévues. Une lutte sans merci s’engage alors entre les sœurs, où tous les coups sont permis…

Ce fut une excellente lecture et je ne m’y attendais pas du tout ! Ça avait des airs de vacances !

Nos héros partent en voyage scolaire à Kyoto. Comme ce sera le dernier qu’ils feront tous ensemble, les quintuplées ont toutes décidé de déclarer leur flamme à Fūtaro, sauf Yotsuba. Donc la guerre est déclarée.
Je ne suis pas certaine d’avoir apprécié la réaction de certaines.

J’adore Miku, mais dans ce 10ème tome, quelque chose me gène… peut-être parce qu’elle est assistée. Yotsuba la coache, et les autres, après l’avoir blessée, la pousse à avouer ses sentiments… c’est tellement pas dans son caractère.
Ichika m’a saoulée, elle est fourbe et menteuse, ce qui finit par lui jouer des tours, tant mieux.
En ce qui concerne Nino, à part une fois où elle joue son dictateur en tentant d’imposer sa volonté à Fūtaro, son peps et son caractère bien trempé est une force.

Le seul bémol pour moi, c’est l’histoire avec Rena. Donc pour rappel, c’est le premier amour de notre héros et forcément une des quintuplées. Mais laquelle ? C’est super brouillon… on avait l’impression de savoir, mais en fait, non ! Je pense que c’est chacune d’elle à des moments différents. Et si ce n’est pas ça, c’est que je n’ai rien compris à l’histoire.

Je ne reviendrai pas sur les dessins, ils sont aussi beaux que d’habitude. J’apprécie toujours autant les grandes planches où les quintuplées sont toutes ensemble, c’est un plaisir de m’attarder sur ces moments.
Bon, c’est l’heure de manger, donc je vais finir en précisant que j’ai adoré cette lecture. C’était ce dont j’avais besoin aujourd’hui.