Frieren, tome 2 – Kanehito Yamada & Tsukasa Abe

Titre : Frieren, tome 2
Scénario : Kanehito Yamada
Illustrations : Tsukasa Abe
Éditeur : Ki-oon (Shônen)
Nombre de pages : 196
Quatrième de couverture : Frieren a désormais une compagne de route, Fern, car l’elfe a promis de veiller sur la protégée de Heiter à la mort de son ami. Ensemble, elles aident les gens afin de collecter des sorts, au gré de leurs pérégrinations.
Mais voilà qu’Eisen leur propose une mission insolite : retrouver un vieux grimoire disparu depuis des décennies qui aurait appartenu à la grande mage Flamme…
Frieren y découvre qu’on peut converser avec les défunts, ce qui lui permettrait de parler une nouvelle fois à Himmel. Néanmoins, pour ce faire, il faut se rendre dans le nord, à Ende… et la route promet d’être longue, car c’est celle qui mène au château du roi des démons !

Un second tome encore mieux que le premier, pourtant ce n’était pas gagné au début, la transition entre les deux tomes est quasiment inexistante, ce qui a rendu la reprise laborieuse.

Accompagnée de Fern, Frieren doit partir à la recherche d’Auréole et parler avec Himmel… pour quelle raison ? Je l’ignore : soit ça n’a pas été dit dans le premier (ce qui m’étonnerait), soit je ne m’en souviens pas (ce qui est plus que probable). Ah ben c’est précisé sur la quatrième de couverture, quel boulet je fais !
Pour remplir sa mission, elle suit le même trajet que son groupe de compagnons, 80 ans auparavant. C’est l’occasion pour le lecteur de découvrir des pans de ce qu’ils ont vécu. J’adore ces petits flashbacks, ça rend les personnages tellement attachants et le récit complet à souhait.

On découvre également un nouveau personnage : Stark, le disciple d’Eisen avec qui il est brouillé. J’aime bien la relation d’amitié qu’il commence à tisser avec Fern. A voir ce que ça donnera par la suite. Et comment ça tournera avec Frieren – c’est déjà étonnant qu’elle s’encombre d’apprentis…
C’était un récit plaisant, n’empêche que la meilleure partie est indéniablement celle qui se déroule dans le comté de Granat : on en apprend davantage sur les démons et puis ça pète. Malheureusement, on n’a pas la conclusion de l’aventure, il faudra lire le 3… et ça tombe bien parce que je l’ai dans ma Pile à Lire.
J’ai trouvé les dessins un peu moins soignés surtout dans les paysages urbains. Le character design est toujours aussi chouette. Du coup, je me suis moins attardée sur les illustrations.
J’ai adoré ce second tome et j’ai hâte de découvrir le prochain.

Les Sœurs Grémillet, tome 2 : Les Amours de Cassiopée – Giovanni Di Gregorio & Alessandro Barbucci

Titre : Les Amours de Cassiopée
Saga : Les Sœurs Grémillet, tome 2
Scénario : Giovanni Di Gregorio
Dessins & couleurs : Alessandro Barbucci
Éditeur : Dupuis
Nombre de pages : 72
Quatrième de couverture : Haut les coeurs! Comme tous les étés, les soeurs Grémillet vont passer les vacances à la campagne chez leur grand-mère, sauf que cette année Cassiopée, la cadette, a le coeur brisé: Ulysse, son amoureux, est resté en ville. Elle ne peut même pas confier sa peine à ses soeurs qui ne comprendraient pas. Mais à leur arrivée dans le village, un autre prétendant l’attend: le bel Olivier. Il leur apprend qu’un mystérieux fantôme sonne les cloches de l’ancienne église pendant la nuit.

Une atmosphère bien différente dans ce second tome. Le premier avait un fort côté fantastique et onirique. Celui-ci a un air de vacances et pour cause :
Sarah, Cassiopée et Lucille vont passer les congés d’été chez leur grand-mère qui habite dans un village. Ce qui n’enchante pas Cassiopée parce qu’elle sera loin d’Ulysse, son amoureux.
Elle se lance alors à corps perdu dans le mystère de la cloche des ruines qui sonne toutes les nuits depuis peu. Toutes les trois se lancent sur les traces du fantôme de la dame du lac.

L’histoire était dépaysante, sans grosse surprise, mais c’était plaisant et ça m’a fait du bien : une ambiance légère, romanesque et poétique.
En ce qui concerne les personnages, dans la première moitié, j’ai détesté Sarah. Elle se montre antipathique avec sa cadette. Par la suite, ça va un peu mieux.
Cassiopée est un peu bipolaire sur ce coup-là : elle passe de la joie à la mélancolie, parfois elle est sympa avec Olivier et en deux secondes, elle peut l’envoyer péter (d’ailleurs, la révélation finale du garçon m’a convaincue que c’était bien fait pour lui !). On ne peut pas trop en vouloir à notre héroïne : à son âge, tout prend des proportions impensables, ce qui explique ses revirements de comportement.
Lucille est égale à elle-même : enjouée, gentille et toujours partante pour suivre ses sœurs à l’aventure.

Les dessins sont beaux, j’aime toujours autant le character design de chacun. Les décors sont splendides, certaines planches m’ont laissée sur le cul et ont contribué à mon dépaysement. J’ai pris grand plaisir à m’y attarder.
J’ai adoré cette lecture qui m’a changé les idées. Il faudra que je lise le troisième tome quand il sortira, le mois prochain.

La Sorcière aux champignons, tome 2 – Tachibana Higuchi

Titre : La Sorcière aux champignons, tome 2
Auteur : Tachibana Higuchi
Éditeur : Glénat (Shôjo)
Nombre de pages : 178
Quatrième de couverture : Luna a secouru un mystérieux beau garçon que quelqu’un a poignardé. Pour cette sorcière noire qui ne peut pas toucher les autres, cette rencontre va bouleverser son destin…

J’attendais avec beaucoup d’impatience ce second tome pour voir comment Luna allait sauver l’adolescent de la rivière. Mais je suis un peu déçue : il ne se passe pas grand-chose.

Donc sans surprise, puisque c’était annoncé à la fin du précédent tome, Luna sauve la vie du narrateur. Grâce à Claude, la corneille, elle parvient à le transporter chez elle. Et à peine est-elle parvenue à extirper la malédiction du jeune homme que la congrégation des sorciers noirs apparaît afin de décider du sort du jeune homme.

Ce fut l’occasion de découvrir quelques détails sur le passé de Luna, mais également sur les sorciers noirs. Le soucis est que ça tient en quelques bulles et que là, le conseil s’est éternisé sur pratiquement tout le manga et que ses membres radotaient.
Bref, ça m’a paru long, ça tournait en rond.
Et le fait qu’on ne voyait pas bien les sorciers puisqu’ils restaient dans l’ombre a renforcé la désagréable sensation brouillonne qui se dégageait de ce second tome.

J’ai nettement préféré l’épisode spécial avec Lancelot, ce n’était pas transcendant, mais c’était plaisant, sans prise de tête et avec une ambiance proche du premier.
Je ne vais pas m’étendre sur cette chronique, j’ai dit l’essentiel. C’était une déception.
Je lirai le troisième parce que le groupe des sorciers noirs ouvrent de nouvelles perspectives… plus grandes… et je suis curieuse de découvrir ce que l’auteur nous réserve.

Dahliya, artisane magicienne, tome 2 – Hisaya Amagishi & Megumi Sumikawa

Titre : Dahliya, artisane magicienne, tome 2
Auteur : Megumi Sumikawa
D’après le roman de : Hisaya Amagishi
Éditeur : Komikku
Nombre de pages : 204
Quatrième de couverture : Dahliya va vous ensorceler ! Depuis sa plus tendre enfance, la jeune DAHLIYA a appris la magie auprès de son père et elle peut fabriquer de nombreux objets magiques grâce à des gems : des épées, des protections contre les slime ou encore des verres enchantés. Ainsi, lorsqu’elle se réincarne dans un monde fantasy et se retrouve à travailler dans un salon de coiffure pas comme les autres, elle est fin prête à utiliser ses talents ! Une aventure incroyable commence !

J’ai tellement aimé le premier tome de cette saga que je n’ai pas hésité une seule seconde pour emprunter la suite à la médiathèque. Malheureusement cette suite est loin d’être aussi bien.

Gabriella emmène notre héroïne faire du shopping : en tant que directrice de la société Rossetti, la jeune femme se doit d’être présentable. Après leur séance relooking, elles vont boire un coup sur une terrasse et là, elles croisent Orlando avec sa future femme et cette dernière s’excuse de la situation devant tout le monde…
Elle est d’une discrétion, à pleurer.

Bref, elle rameute toute la place ; Wolf intervient et sort Dahliya de cette situation embarrassante. On ne sait pas comment mais il la reconnaît comme le jeune homme qui lui a sauvé la vie dans le tome précédent. Franchement, je ne vois pas comment il a fait surtout qu’il a toujours des problème d’yeux et doit porter des lunettes. À la limite, c’est le moins incohérent. Quand il a croisé Dahli la première fois, elle était habillée en garçon avec des vêtements larges pour masque son apparence, portait des lunettes et un foulard qui cachait ses cheveux. Là, elle est vêtue d’habits serrés, pas de lunettes, cheveux lâchés et maquillée. Qu’à la limite, il ait eu un doute, la suive pour s’assurer que c’était bien elle/lui, ça serait passé, mais là… c’est précipité. Les retrouvailles étaient d’un décevant !
D’ailleurs, comme tout ce second tome.

Wolf et Dahliya passent du temps ensemble, il l’emmène dans un célèbre magasin d’objets magiques et elle réfléchit à la conception, elle discute avec le propriétaire, etc.
On en apprend plus sur le passé des deux personnages, enfin surtout sur le père de la demoiselle et sur Wolf. C’étaient probablement mes moments préférés, mais malgré ça, je me suis ennuyée, c’était long et ça n’avançait pas.

Heureusement, les dessins sont toujours aussi beaux, même si ça ne sauve pas l’histoire et je n’ai pas eu plus envie que cela de m’y attarder.
C’est une déception pour ce second tome. J’espère que le troisième sera mieux.

Solo Leveling, tome 6 – Chu-Gong

Titre : Solo Leveling, tome 6
Auteur : Chu-Gong
Éditeur : Delcourt-Tonkam (KBOOKS)
Nombre de pages : 272
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.

Ça fait un bout de temps que le cinquième tome de cette saga est sorti. Avant de commencer, j’étais bien incapable de me souvenir de ce qui s’était passé. Mais même sans résumé, c’est revenu en l’espace de quelques pages.

Jinwoo a demandé sa réévaluation de rang. La machine est bien évidemment incapable d’analyser son rang et il est contraint d’attendre trois jours les résultats. En attendant, il décide de découvrir les coulisses des guildes. Pour ce faire, il bosse en tant que mineur.
Le second jour, il se propose pour être le portefaix de la seconde équipe. Et sans surprise, ça se passe mal.

Dans le premier tiers, l’auteur nous partage des informations intéressantes : la raison des trois jours de latence, le rôle des mineurs et de l’équipe de ramassage. Mais j’ai trouvé que c’était long, je me suis ennuyée.
Heureusement par la suite, ça bouge davantage.

Y a un nouveau personnage qui apparaît : Cha Hae-In, chasseuse de rang S qui est sur la couverture. Il apparaît comme une évidence qu’elle aura un rôle important à jouer dans les prochains numéros et que Jinwoo lui plaît. À voir la tournure que prendront les événements dans le prochain tome.
Je n’ai pas grand-chose de plus à dire. Pour le moment, c’est le tome que j’ai le moins aimé. Ça s’est laissé lire, sans plus.