Bilan lecture du mois de juin 2024

Bilan de lectureAvec la fin de mon stage et de mon année de reconversion professionnelle, j’ai complètement zappé le bilan du mois. J’ai été trop prise par la rédaction de mon mémoire que je dois encore terminer d’ici lundi soir.
J’ai lu 7 livres (5 mangas et donc 1 roman).
Je suis lasse donc commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
 


J’ai adoré
:
 

 

Gif heureux
J’ai aimé:

Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:


Ça m’a laissée indifférente:


Je n’ai pas aimé
:
 

On arrive donc à un total de 1823 pages (1385en mangas et donc 438 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 13/20

Challenge Goodreads : 46/100

Challenge Réduit ta PàL à néant (illimité) : 025/411


Actuellement, je lis :
L’homme Volcan
Mathias Malzieu
(11%)


Actuellement, je joue sur PC à :

Blue Period, tome 11 – Tsubasa Yamaguchi

Titre : Blue Period, tome 11
Auteur : Tsubasa Yamaguchi
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : La première année à Geidai s’achève avec un sentiment d’amertume et de frustration pour Yatora, qui veut prendre ses distances avec la peinture. Décidé à faire autre chose tout en renflouant son compte en banque, il répond à l’annonce d’une école de dessin afin de donner des cours aux enfants. Mais il ne se doute pas que la gérante de l’atelier n’est autre que son ancienne professeure d’arts plastiques, Mme Saeki…

Pour l’instant, de tous, c’est celui que j’ai le moins aimé. J’ai mis une semaine pour le lire. Alors, d’accord, la période ne se prêtait pas à lecture puisque je passais tout mon temps à compléter mon mémoire de stage.
J’aurais pu trouver quelques minutes de-ci de-là pour grignoter quelques pages, mais franchement, je n’avais pas envie. Je me suis ennuyée, je l’ai trouvé long. Pourtant, y a Hashida, mon personnage préféré… c’est dommage !

Yatora ne dessine plus. Ce sont les vacances et il occupe ses journée en travaillant. Il a trouvé un poste dans l’atelier de madame Saeki et il assiste les enseignants auprès des enfants. Il demande conseils à Yashida au sujet de Picasso et lui aussi finit par bosser au même endroit que Yatora.
Je n’ai pas réussi à m’attacher aux élèves… y a bien eu un petit truc avec Sae, mais elle ne reste pas assez longtemps pour que je l’apprécie vraiment.

Je suis fatiguée et je n’ai rien de plus à dire. Je n’ai pas aimé cette lecture.

Fullmetal Alchemist, tome 03 – Hiromu Arakawa

Titre : Fullmetal Alchemist, tome 03
Auteur : Hiromu Arakawa
Éditeur : Kurokawa
Nombre de pages : 182
Quatrième de couverture : Après un combat dévastateur contre l’énigmatique Scar, Edward et Alphonse se rendent dans leur village natal afin de réparer leurs corps meurtris. C’est l’occasion pour les frères Elric de retrouver Winry Rockbell, leur amie d’enfance ainsi que sa grand-mère Pinako Rockbell qui sont les mécaniciennes les plus réputées de la région. Mais le repos est de courte durée et nos alchimistes partent rapidement pour la capitale : Central, afin de percer le secret de la pierre philosophale et du Laboratoire N°5.

Une fois de plus, je ne sais pas quoi dire de cette lecture, alors je vais essayer de résumer et peut-être que l’inspiration viendra.

Suite à leur combat contre Scar, les frères Elric se sont fait défoncer : le bras mécanique d’Edward est en charpie, et Alphonse a été démembré.
Escortés par Armstrong, ils se rendent à la campagne, chez Pinako et Winry pour faire réparer le ras de notre héros.
Je pense que les deux réparatrices sont des personnages que j’aurais pu apprécier, mais leur apparition est trop courte pour m’en faire une idée plus précise. En même temps, ça m’aurait saoulée si ça avait duré plus longtemps, d’autant que nos héros doivent retourner à Central le plus vite possible afin de récupérer les carnets de Marcoh et ainsi trouver comment fabriquer la pierre philosophale. Et c’est ce qu’ils font.
Ils trouvent une piste qu’ils suivent.

Ben je pense que j’ai dit tout ce que j’avais à dire.
En écrivant cette chronique, j’ai l’impression que ce troisième tome est vide… pourtant, ce n’était pas le cas en le lisant. J’ai passé un bon moment, j’ai rigolé quand il y avait de l’humour, notamment lors de la confrontation entre Alphonse et Barry le boucher, j’étais on ne peut plus sérieuse dans les moments cruciaux… néanmoins, je n’ai rien à dire.
Donc autant conclure. J’ai aimé ce troisième tome et j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain.

Perfect world, tome 04 – Rie Aruga

Titre : Perfect world, tome 04
Auteur : Rie Aruga
Éditeur : Akata
Nombre de pages : 164
Quatrième de couverture : Ayukawa a fait son choix et il semble irrévocable. Tsugumi a encore du mal à le croire, et pourtant… Kore-éda, resté dans l’ombre jusque-là, pourrait bien en profiter pour passer à l’action. Pour ne rien arranger, la jeune femme va également apprendre une autre nouvelle qui va profondément la bouleverser. Son quotidien bascule et… Le temps qu’Ayukawa réalise son erreur, ne sera-t-il pas trop tard ?

C’est le dernier tome que j’ai dans ma bibliothèque. Et je ne pense pas me procurer la suite. Ce quatrième tome est légèrement moins bien que le précédent, mais il ne m’a pas donné envie de continuer cette saga.

Ayukawa à rompu avec Tsugumi. Elle vit mal la situation, mais grâce au soutien sans faille de Koré-Éda, elle se prend en main et survit tant bien que mal.
Malheureusement, la vie ne fait pas de cadeau à notre héroïne : son père est gravement malade. Donc elle décide de démissionner et de repartir chez ses parents.
Ayukawa réalise qu’il a fait une erreur en repoussant Tsugumi. Est-il est trop tard pour faire marche arrière ?

L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard. Ça s’est laissé lire, sans plus. Les personnages m’ont laissée indifférente… je ne vais pas pleurer : pour une fois, Tsugumi ne m’a pas exaspérée puisqu’elle ne pleurniche pas, ouf !
Dans l’ensemble, j’ai trouvé les dessins fades. J’ai scruté les planches à la recherche d’une possible émotion transmise, mais rien n’est passé.

Je me suis ennuyée. Et si je l’ai fini assez vite, c’est parce que j’avais envie de m’en débarrasser rapidement… dommage, cette série avait bien commencé, mais finalement, c’est trop neuneu.

Histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler – Luis Sepúlveda

Titre : Histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler
Auteur : Luis Sepúlveda
Éditeur : Métailié
Format : E-book
Nombre de pages : 126
Quatrième de couverture : Une mouette mazoutée atterrit sur un balcon et, avant de mourir, confie l’œuf qu’elle vient de pondre à Zorbas, le chat de la maison. Il lui fait la promesse solennelle de protéger Afortunada, le poussin orphelin, et de lui apprendre à voler… Plutôt embarrassé par cette mission insolite, le matou va s’en acquitter avec l’aide des autres chats du port. Un ouvrage attachant, mêlant tendresse et humour, et qui, en quatre ans, est déjà devenu un classique.

J’avais besoin d’une lecture simple, rapide et sympathique. Comment pouvais-je savoir que ce roman avait les caractéristiques désirées sachant que je ne connaissais pas l’auteur ? C’était un pari sur deux facteurs :
– il n’y a pas beaucoup de pages.
il a inspiré le film d’animation La mouette et le chat que je connais bien puisque ma fille l’a beaucoup regardé à une époque. Mon souvenir en est très lointain, mais il était très bien, à part un détail qui me chipotait sans me rappeler lequel jusqu’à ce que ma fille me dise que la mouette était énervante. Ouiii ! C’est ça ! Heureusement, ce n’est pas le cas dans le roman.

Pour la petite histoire : Kengah la mouette remonte à la surface et est pris dans une marée noire. Ses ailes et son corps sont englués. Elle parvient à voler jusqu’à Hambourg où elle s’écrase sur le balcon du chat Zorbas. Elle se sent mourir et lui fait promettre de s’occuper de son œuf. Dans la précipitation, le félin bien sympathique accepte puis file chercher de l’aide auprès de ses congénères, les chats du port.
Quand il revient avec ses amis, la mouette est décédée et il trouve un œuf sous elle. Va-t-il tenir sa promesse ?

Le récit en lui-même est vraiment chouette. Ça s’est lu tout seul. Et même si je connaissais le pitch et les différentes péripéties que rencontrent nos héros, j’avais hâte de savoir comment ça allait tourner pour eux.
Les personnages sont haut en couleurs… un peu stéréotypés, mais pour le coup, ça fait le charme de cette histoire. J’avoue que celui qui m’a un peu gonflée, c’est Colonello avec ses sempiternels « vous m’ôtez les miaulements de la bouche ».
Dans le roman, la mouette Afortunada est plutôt effacée. Elle est là, mais ne prend pas autant de place que dans l’animé.

J’adore la plume de l’auteur, elle est fluide. Il a des mots qui sonnent justes et certains passages m’ont émue. Quand des avis sont émis sur l’homme et ses actes (le pétrole déversé dans les mers, l’exploitation des animaux, etc), j’étais plutôt d’accord… en tout cas, ça résonnait en moi.

En conclusion, c’est un pari gagné : j’ai adoré cette lecture. Il faudra que je teste d’autres romans de cet auteur.