Petites frictions et autres histoires courtes – Philippe Lechermeier

petites frictionsTitre: Petites frictions et autres histoires courtes
Auteur: Philippe Lechermeier
Éditeur: Nathan Poche Junior
Nombre de pages: 142
Quatrième de couverture: Et si de jeunes enfants décidaient de se débarrasser de leur baby-sitter? Et si les élèves prenaient la place du principal dans un collège?
Et si une collégienne vendait son âme au diable?
Et si les œuvres d’art moderne prenaient subitement vie?
Impossible, bien entendu.
Une pure fiction.Vraiment?
A vous de voir…

Je n’avais pas prévu de lire ce recueil de nouvelles fantastiques mais mon fils vient d’entrer en 6ème et sa prof de français le lui a donné à lire avec pour objectif de savoir de quoi cela parlait et pouvoir répondre à des questions simples. Il a mis une petite semaine pour le lire à raison de deux histoires par jour. Mais comme il fallait bien l’interroger sur sa lecture, je m’y suis également mise.

On y trouve 11 nouvelles de type fantastique, je vais donc les lister et en faire un tout petit résumé :
Babykiller : une nounou, enfermée en prison, accusée d’avoir tenté de tuer les 3 enfants dont elle avait la charge. Elle écrit aux parents des fillettes, de sa cellule.
Devine : la narratrice est la fille d’une devine -féminin de devin. Elle et son frère subissent les angoisses fantasques de leur mère mais est-elle si folle que cela ?
Règlement intérieur : quand les élèves prennent le contrôle du collège et revisitent le règlement intérieur : si certains point sont prévisibles, d’autres le sont moins et  m’ont agréablement surprise. J’ai bien ri.
Date limite : comment une simple erreur de date de naissance sur un dossier scolaire peut faire prendre dix ans de plus à une adolescente de 13 ans. Et si on lui rajoutait bien plus d’années ?
1 look d’enfer : Lettre avec accusé de réception envoyée par M. Lou Siffert qui réclame son dû suite à services rendus. Si je ne dévoile pas les services en question et qui m’ont bien fait rire, le nom de l’expéditeur nous donne plus qu’une vague idée du paiement exigé.
Une belle paire… : une paire de lunettes qui permet de  voir les personnes de l’autre sexe nues… un peu prévisible, surtout la fin.
Livre d’or : le spectateur ayant assisté à l’exposition sanglante et dérangeante d’Eva Purpuricka laisse un petit mot dans le livre d’or. Lorsqu’ils sont plusieurs, une partie des visiteurs disparait. Par la suite, même les messages sur le livre d’or ne sont pas toujours, et de moins en moins, terminés. Une exposition de peinture plus vraie que nature.
Champion : un coureur professionnel est blessé lors d’une compétition. Il se rétablit en suivant les conseils d’un médecin sportif. Son entrainement porte ses fruits et il bat tous les records mais à quel prix ?
Tromperie : une adolescente de 14 ans, Justine, fait un long monologue à son médecin sur son problème de nez qu’elle appelle trompe. Autant dire que le lecteur a droit à la superbe allusion à Cyrano et son pic, son cap et sa péninsule – j’adore toujours autant retrouver cette tirade lorsqu’on parle de long nez.
Flic, flaque, floc… : il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille. C’est ainsi que commence cette nouvelle histoire : un ado comme les autres qui ne s’entend avec personne, pas même sa petite sœur qui joue dehors sous la pluie et trouve une super cachette.
Comment faire un bon adolescent : Sandy, adolescente en surpoids voire obèse, on ne sait pas trop, est envoyée en cure contre sa volonté par ses parents. Une fois là-bas, rien n’est comme elle se l’imaginait : pas de sport, pas de régime nourriture, farniente en plein air, etc… Ce qui compte, c’est que les enfants se sentent bien et s’acceptent. Elle ne se doute de rien, la pauvre enfant un peu gourde.

En débutant ma lecture, je ne m’attendais à rien. J’ai passé un très agréable moment : j’ai bien ri, chacune des nouvelles m’a mise de bonne humeur. J’ai vraiment adoré ^_^

Le pantin sans visage – Aalehx

le pantin sans visageTitre: Le pantin sans visage
Auteur: Aalehx
Éditeur: Éditions du Riez
Nombre de pages: 64
Quatrième de couverture
: Dans un univers industrialisé où les rêves sont prohibés et où les habitants dépourvus de bouches sont réduits au silence, un vieux créateur décide de défier l’oppression en offrant sa vie au Pantin sans visage.
N’ayant pour seuls sens que l’ouïe et le toucher, le Pantin tentera de surmonter les multiples obstacles qui le conduiront à devenir le premier symbole de liberté de ce royaume soumis à la tyrannie…

Cela faisait presque deux ans que je voulais me prendre cette BD mais jusqu’à présent, l’occasion ne s’était plus représentée -je l’avais vu lors d’un salon- et je n’osais jamais commander de livres directement aux maisons d’édition. J’ai profité de l’événement lancé sur facebook : Un mois, une maison, un achat. Le principe, vous l’aurez compris est d’acheter un ou plusieurs livres publié(s) par une petite maison d’édition. Ce mois-ci, ce sont les Éditions du Riez qui sont à l’honneur : j’en ai donc profité pour m’acheter cette splendide BD ainsi qu’un autre livre que je vais essayer de lire encore en septembre histoire de le présenter.

Le pantin sans visage - le robot de bois

Commençons sans plus tarder par le plus évident : les dessins. Ils sont tout simplement magnifiques mais très sombres, sensation accentuée par les couleurs, pour mon plus grand plaisir. J’ai pris du temps pour le lire afin de contempler au mieux les illustrations : comme dans toutes les BD, certaines images sont plus belles que d’autres mais dans l’ensemble, c’était assez constant.
L’histoire est aussi sombre que glauque, à ne pas mettre entre toutes les mains, surtout celles des plus jeunes. J’ai trouvé certaines scènes assez impressionnantes que ce soit le bourreau qui dévoile la bouche qu’il s’est dessiné par mutilation ou torture les pantines ailées, le marionnettiste qui écrase le lutin avec lequel il joue ou l’acte désespéré de Pantine pour se libérer.
Le pantin sans visage -p26Un détail important: il n’y a pas de dialogue et il n’y en a nullement besoin. On y trouve un prologue, trois chapitres et un épilogue : chacun est introduit par une illustration et un texte qui fait transition entre deux chapitres et présente ce qui suit… J’ai aimé ce principe.
A la base, c’est une BD musicale donc accompagnée d’un CD, or, étant en rupture, il n’était pas fourni avec -d’où la promotion- mais on peut se faire une idée des musiques accompagnant l’album -qui nous plonge dans l’ambiance- en se rendant sur le site de l’artiste Aalehx que j’ai aimé parcourir, d’ailleurs. On y trouve des illustrations de ses deux séries, des extraits musicaux, etc… Si j’ai l’occasion, il faudra que je me procure l’album… enfin, dès qu’il est réédité.

J’ai adoré cette lecture. C’était très émouvant mais aussi triste, angoissant et un brin flippant – oui, le bourreau m’a atrocement marquée. Une BD et un univers qui ne nous laissera pas intact.

Un mois, une maison, un achat

Rose morte, tome 1 : la floraison – Céline Landressie

Rose morte 1 - La floraison - Celine LandressieTitre: La floraison
Saga: Rose morte, tome 1
Auteur: Céline Landressie
Éditeur: L’Homme Sans Nom
Nombre de pages: 480
Quatrième de couverture: France, fin du XVIe siècle. C’est dans ce pays en proie à de terribles dissensions religieuses que se réfugient les Greer, fuyant l’Angleterre élisabéthaine.
Eileen, seule enfant du comte, est une jeune femme vive et de caractère. Mais son âge avance, et son père la met au pied du mur : elle doit se marier.
Et c’est en faisant tout pour éviter cette terrible obligation à l’aide de sa fidèle amie Charlotte que Rose fera connaissance d’Artus de Janlys.
Le séduisant et mystérieux comte l’entraînera dans un univers dont elle ne soupçonnait pas l’existence, où les crimes terribles qui secouent Paris trouveront une explication apparemment inconcevable, mais bel et bien réelle…

J’ai obtenu ce livre en participant au concours RPG organisé par les éditions l’Homme Sans Nom en décembre 2013 (je me suis d’ailleurs éclatée en y jouant) ;  je l’ai reçu dans les jours suivants, dédicacé ce qui fait toujours très plaisir.
Ça faisait un moment que j’avais très envie de le lire, je le voyais tourner depuis quelques mois et puis, j’ai eu un gros coup de foudre pour la couverture, elle est magnifique, raison de plus pour m’acharner et l’avoir.
Avec toutes les bonnes critiques que je voyais défiler sur le net, mon envie de le lire s’est considérablement accrue et encore davantage lorsque j’ai appris que l’auteure avait fait un gros travail de recherche pour placer son histoire dans un contexte historique. Et puis, au détour d’une chronique, j’ai appris qu’on y trouvait des créatures de la nuit… Argh ! C’est ce qui m’a derechef refroidie… redoutant que cela prenne toute la place dans ce monde.

J’ai vraiment beaucoup aimé le style de l’auteure. Je trouve que son récit est fluide, ça se lit vite et bien. On sent le gros travail de recherche mais je n’ai malheureusement pas accroché à l’histoire.
Dédicace Rose Morte 1J’ai adoré le premier chapitre, on baigne immédiatement dans le contexte historique, je m’attendais à ce que tout le roman soit ainsi… mais ça n’a pas été le cas… j’ai trouvé que ça faisait très/trop huis-clos sans l’être pour autant, on baigne dans le tout petit monde de Rose et les vagues 5 personnes qu’elle connaît mais pas dans l’univers contemporain de l’époque. Alors il y a bien quelques références mais elles ne sont pas assez présentes à mon goût ; du coup, l’atmosphère n’était pas ce que j’en attendais.
On finit par être plongé dans l’univers des « Lucifuges » -il me plaît bien ce nom-là- mais ça prend du temps avant d’y arriver, plus de la moitié du bouquin… J’ai bien aimé les références aux 5 maisons, les capacités des créatures nocturnes, etc… ça m’a fait penser au jeu de rôle Vampire la Mascarade et je me suis sentie bien mieux à partir de ce moment ; seulement, ça reste une introduction, pas assez poussé à mon goût -et ma curiosité me titille quant au second tome.

Passons aux personnages :
Je n’accroche pas au personnage de Rose. Au début, elle a son petit caractère, est insolente à souhait, elle promet. Et plus le temps passe, plus je la trouve insipide, ses réactions manquent de cohérence entre le début et la suite où elle fait davantage potiche, une groupie à la solde du comte de Janlys.
Artus… affable à souhait, un côté mystérieux, ennuyeux, etc… Il m’a saoulé, je ne l’aime pas.
Adelphe : sûrement mon personnage préféré. Je pense que c’est principalement pour lui que j’ai continué ma lecture alors qu’elle prenait plus de temps que prévu. Il est gentil, honnête, franc, effacé, la doublure de son frère. A voir ce qu’il deviendra par la suite.
Charlotte, mon gros soucis du détail fait qu’elle ne passe pas. En gros pour l’histoire, Eileen ou Rose a 28 ans, on nous spécifie que Charlotte de Carville, sa meilleure amie a grandi avec elle, donc à 2 peut-être 3 ans près, elles ont le même âge. Rose a déjà fait capoté 2 alliances, sa copine qui fait tout comme elle a dû en faire autant -c’est pas clairement dit, mais c’est comme ça que je l’ai interprété. Si pour la fille du comte de Greer, seule héritière du noble anglais, le fait qu’à 28 ans sa famille tente encore de la marier passe encore, même si comme spécifié, ça devient plus que difficile, pour la fille du baron de Carville, c’en est juste incohérent : elle est le troisième enfant, la seconde fille… franchement, même si fin XVIe siècle, les nobles étaient moins prompts à envoyer leurs secondes filles au couvent, vu son âge avancé, elle a quand même coiffé Ste Catherine donc est considéré comme une vieille fille, quelles sont les chances que son père tente encore de la marier et payer une dot élevée pour la caser plutôt que de la cloîtrer ? Ça ne tient pas la route.

Quant à la fin… malheureusement, dès le chapitre de la vitre brisée je connaissais le gros méchant de l’histoire…
J’ignore si je lirai la suite… probablement autre chose de cette auteure mais pas forcément le tome 2 de Rose Morte. Je ne sais pas.

Bref, une lecture mitigée, facile et agréable à lire mais l’histoire m’a laissée indifférente…

Challenge ABC2015Je passe à 10/26

V-virus – Scott Westerfeld

V Virus - Scott WesterfeldTitre: V-virus
Saga: Peeps, tome 1
Auteur: Scott Westerfeld
Éditeur: Macadam
Nombre de pages: 330
Quatrième de couverture:
Avant de rencontrer Morgane, Cal était un étudiant new-yorkais tout à fait ordinaire. Il aimait la fête et les bars, la vie insouciante du campus. Il aura suffi d’une seule nuit d’amour, la première, pour que sa vie bascule. Désormais, Cal est porteur sain d’une étrange maladie. Ceux qui en sont atteints ne supportent plus la lumière du jour, fuient ceux qu’ils ont aimés et ont une fâcheuse tendance à se repaître de sang humain. Des vampires d’un genre nouveau…

Je tenais à remercier Letterbee  grâce à qui j’ai pu découvrir ce livre via un concours ainsi que la collection Macadam.
Je n’ai pas trouvé la couverture fabuleuse, pourtant les couleurs se marient bien, et le vert des yeux est particulièrement attirant. Elle est glacée, ce que j’aime beaucoup ; la typographie est grande et les textes aérés ce qui est bien plaisant.

Il faut bien le dire, je n’ai malheureusement pas trop accroché à ce premier tome. J’ai trouvé le principe sympathique : les chapitres sont alternés – un court qui nous expose plusieurs parasites qui peuplent notre monde un par chapitre, l’autre est l’histoire du héros, Cal, contée par lui-même. Comme le résume la quatrième de couverture, les personnes atteintes de la maladie se transforment en espèce de vampires ; j’ai trouvé ça super intéressant.
Le souci pour moi, c’était le narrateur, Cal. Dès les premières pages, on sait qu’il n’a que 19 ans, atteint de la maladie depuis 6 mois et pourtant, il a été embauché dans la Garde de Nuit -soit-, il a fait sa formation en accéléré et connaît super bien son boulot, il est bon… mais 6 mois, quoi ! Soyons réaliste, ça ne fait pas assez longtemps pour rendre le personnage crédible ! De plus, au début, il ne se comporte pas comme une personne de 19 ans, il s’exprime même comme quelqu’un d’expérience, quelqu’un de plus âgé, quelqu’un qu’il n’est absolument pas -lorsqu’il arrive dans la grande ville, il est si peu débrouillard qu’il est complètement perdu -_-
Donc il y a déjà incohérence à la base.
Par la suite, il fait moins mature ce qui est bien mieux finalement, même s’il est à tuer parfois, il ne voit pas la plupart des évidences -heureusement qu’il y a Lacey, un personnage que j’ai beaucoup apprécié, je l’ai trouvée plus complète et plus intéressante que Cal.
Encore un seul détail qui m’a chiffonnée, je n’ai pas réussi à m’identifier au héros, il raconte les événements, il essaie de nous faire partager ses sentiments mais on ne ressent aucune émotion, heureusement que la Psy nous dit plusieurs fois qu’il s’en veut parce que sinon, on ne le saurait pas. C’est beaucoup trop clinique, par contre les chapitres qui nous décrivent les parasites ne le sont pas assez, du coup, ça s’insère bien avec le récit mais ça ne nous rend pas assez parano, dommage !

Bref, une lecture mitigée qui m’a laissée indifférente malheureusement…

Sublimes créatures/16 lunes – Kami Garcia & Margaret Stohl

Sublimes creaturesTitre: Sublimes créatures / 16 lunes
Saga: Chroniques des enchanteurs
Auteur: Kami Garcia & Margaret Stohl
Éditeur: Hachette
Collection: Black Moon
Nombre de pages: 634
Quatrième de couverture:
J’ai longtemps rêvé de cette fille. Elle apparaissait dans un cauchemar où, malgré tous mes efforts, elle tombait sans que je ne puisse la sauver. Je me savais lié à elle d’une façon particulière. Et puis un jour, elle est arrivée en chair et en os dans au lycée de Gatlin, notre petite bourgade du Sud des Etats-Unis. Elle était belle et mystérieuse. Si j’avais su qu’en même temps que cette fille, dont j’allais tomber éperdument amoureux, surgirait aussi une malédiction… Nous étions menacés. Et cette fois, j’allais devoir la sauver… L’amour sera-t-il plus fort que le destin ?

J’ai commencé cette lecture en avril. Je ne l’ai pas terminée, je viens de prendre la décision de l’abandonner. Je me suis acharnée autant que j’ai pu, malheureusement, je dois admettre qu’après un mois de lecture passionnante, je suis incapable de reprendre ce livre et ai dû me résigner et rendre les armes, j’ai même été jusqu’à me fixer un chapitre par jour… ça n’a pas été suffisant. J’ai quand même lu 40%, c’est honorable.

Je donnerai donc mon avis sur les 250 pages lues. Je n’ai pas grand chose à reprocher à l’histoire. Ce n’était pas super original, j’ai un peu eu l’impression de lire du Twilight version Nouvelle Orléans, peut-être en mieux. J’ai aimé certains passages et surtout l’atmosphère de quelques scènes. Je pense que je me rabattrai sur les films parce que j’ai malgré tout envie de voir comment ça tourne entre les personnages, principalement la partie vaudou avec Amma et les rapports qu’elle entretient avec Macon.

16 lunesLe gros problème qui m’a poussée à abandonner, c’est un énooooorrrmmmme problème de concordance des temps. J’ignore si c’est un souci de traduction ou si le livre original est ainsi fait mais là, ça n’est tout simplement pas passé. Deux temps principaux sont employés : l’imparfait et le passé composé ; ça peut paraître étrange et je vous assure qu’à la lecture, c’est parfaitement imbuvable… certes pas tous les moments mais une bonne grosse majorité.
L’imparfait est parfaitement bien utilisé. Par contre, c’est loin d’être le cas pour le passé composé… une catastrophe : il remplace constamment le passé simple ce qui freine atrocement la lecture. Habituellement, le passé simple est employé pour des actions achevées mais brèves alors que le passé composé pour des actions terminées mais qui se prolongent ou ont une incidence dans le présent nullement pour des actions rapides comme il est souvent employé dans ce livre. Chaque fois que la lecture devenait passionnante, le problème de concordance me bloquait, me poussant systématiquement à relire certaines phrases et m’obligeant à accepter ce changement trop brusque… j’avais la sensation d’être un train lancé à grande vitesse dans la lande rencontrant un mur et PAF ! arrêt aussi complet que violent.

Bref, j’en garderai un très mauvais souvenir, je ne reprendrai jamais cette lecture.