Titre : Les mésaventures de SuperCoquinette
Auteur : Sandrine Corre
Éditeur : Présence
Nombre de pages : 64
Quatrième de couverture : Quand les mots nous jouent des tours…
SuperCoquinette a le don pour que de simples phrases innocentes prennent un double sens !
Plongez dans des situations qui dérapent sous la ceinture et déclenchent l’hilarité. Entre un « j’te la mets où ? » lancé sans arrière-pensée et des lapsus qui échappent à tout contrôle, pas besoin d’avoir l’esprit tordu ou mal placé pour se lâcher et rire !
N’ayez pas peur ça ne fait pas mal !
Pour les ados et les adultes, ce livre est composé de plusieurs anecdotes.
Humour, autodérision, ce livre distrayant brise les tabous avec des éclats de rire !
J’ai rencontré l’autrice lors du carrefour de la création à Souffelweyersheim. Elle m’a pitchée ses livres, j’avais besoin d’une lecture simple et pas prise de tête… je me suis donc tournée vers les mésaventures de SuperCoquillette, des ouvrages courts (une soixantaine de pages), tous la même charte graphique afin d’évoquer une continuité. Celui-ci semblait être un one shot.
Donc en gros, pour le résumé : on a tous vécu des situations où on sort des phrases de qui ont un double sens à connotation sexuelle… à certaines personnes plus qu’à d’autres.
C’est arrivé à l’autrice qui a répertorié un certain nombre de cas embarrassant du genre et dans cet album, elle nous raconte ces anecdotes. Quelques unes m’ont fait sourire, d’autres m’ont laissé indifférente, d’autres encore ont dû être relue parce que le sens caché m’avait échappée.
Pour moi, le gros bémol est que ce sont des anecdotes indépendantes et très courtes. Je trouve qu’il manque un contexte, un récit ou un personnage fil rouge qui m’aurait permis de créer du lien, de me sentir embarrassée pour l’héroïne. Quand j’ai acheté ce bouquin, ce qui m’intéressait le plus était les mises en situation d’un personnage qui avait déjà un background et auquel je pourrais m’attacher… il semblerait que je me suis faite des films, à aucun moment l’autrice ou le résumé ne précisent l’existence de SuperCoquillette/Coquinette. Dommage.
Ce que j’ai apprécié reste du visuel : les titres contiennent une petite illustration en noir et blanc plaçant l’ombre de la femme des couvertures dans des situations diverses.
Faut que je retourne travailler donc je vais conclure : ça s’est laissé lire, sans plus.