Titre : Agent of my Heart !, tome 2
Auteur : Maki Enjoji
Éditeur : Kazé (Shôjo)
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Chitose a convié des femmes à la fête d’anniversaire de Sena en pensant lui faire plaisir… Mais voilà que l’acteur, furieux, débarque chez elle pour lui avouer son amour avant de l’embrasser ! Sous le choc, Chitose refuse de croire à sa déclaration. Cependant, lorsqu’elle découvre plus tard une nouvelle facette de lui, ses sentiments à son égard évoluent… Retrouvez également en bonus, Chiwa et Hokuto de Happy Marriage ?!
Je n’étais vraiment pas motivée pour lire ce second tome, mais comme je l’ai, autant en finir rapidement.
J’ai été choquée par ce second tome, parce que l’histoire principale est super courte. Je peux difficilement râler, l’auteur nous prévient dès le début et s’excuse d’avoir été malade, mais je pensais que les chapitres seraient plus courts, pas que l’histoire serait tronquée. Le manga est de taille normale puisque deux nouvelles ont été insérées. Même si je ne suis pas fan du manga-là, j’ai trouvé ce changement désagréable… en fait, j’étais pas prête.
Dans la partie Agent of my heart ! il y a deux événements majeurs :
– Chi doit manager une second acteur, Kiryū, ce qui rend jaloux Sena et l’empêche de jouer correctement.
– Elle organise une fête d’anniversaire à Sena, mais il n’apprécie pas le cadeau.
J’essaie de trouver quoi dire sur ces 85 pages et rien ne me vient. C’était une mise en bouche et ça s’est arrêté abruptement. Je n’avais pas particulièrement envie de savoir ce qu’il adviendrait des personnages, c’est trop prévisible pour l’ignorer, mais j’étais curieuse de voir si la mangaka nous réservait des surprises. Je n’en aurai pas l’occasion. Dommage.
Check me up : c’est la suite de la petite histoire qui était à la fin du tome précédent… honnêtement, je n’en ai aucun souvenir…
Dans ce récit, le docteur Tendô et l’infirmière Sakura doivent se marier, mais la veille de la cérémonie, aucun d’eux ne peut quitter l’hôpital.
Une histoire insipide avec des personnages exaspérants, surtout lui en fait. Il est désagréable au possible et n’arrête pas de donner des ordres à sa fiancée… si ses injonctions avaient été professionnelles, ça ne m’aurait pas posé de problème, mais il la traite comme une gamine… M****, elle est assez grande pour décider quoi faire !
Si tu savais ce que je ressens : des trois histoires, c’est probablement la plus sympathique. Saeki a eu le coup de foudre pour la patronne d’un restaurant de ramen. Il vient y manger tous les jours alors qu’il n’aime pas ce plat. Le commerce va mal, il se met en tête d’aider à remonter la pente.
Les personnages ne sont pas trop dans l’excès. La patronne (dont j’ai oublié le nom) s’emporte à un moment, mais ça n’est qu’un moment et ça paraît naturel de le faire là.
Pour cette lecture, je reste sur une désagréable sensation d’inachevé. Dans ces conditions, c’est difficile de conclure : j’oscille entre frustration, ennui et indifférence (un sentiment par histoires).