The Quintessential Quintuplets, tome 08 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 08
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Malgré son manque d’expérience et l’aversion totale des cinq soeurs pour les études, les efforts de Fûtarô Uesugi et ceux de ses chères étudiantes finissent par payer. Elles réussissent leurs examens et obtiennent le feu vert pour passer en terminale. C’est le moment que choisit Nino pour déclarer sa flamme à Fûtarô, qui semble totalement déconcerté par cet aveu. Heureusement, les vacances de printemps lui offriront un temps de réflexion…
Mais un surprenant concours de circonstances réunit, pour quelques jours, les familles Nakano et Uesugi au complet dans les mêmes thermes ! Déstabilisé par la situation, Fûtarô parviendra-t-il à sortir la tête de l’eau ?

Avant de commencer cette lecture, je redoutais de m’ennuyer et le premier chapitre m’a donné raison. J’ai eu du mal à le lire, c’était loin d’être palpitant… enfin, peut-être que ça l’aurait été si je me souvenais de la fin du 7.
Sur la moto, Nino a déclaré sa flamme à Fûtarô, mais ce boulet n’a rien entendu. Ce n’est pas grave, elle prend son courage à deux mains et recommence. Malheureusement, Ichika assiste à la scène. Aïe !

Par la suite, le récit devient plus intéressant. J’ai eu l’impression que ça se recentrait sur l’intrigue principale : qui est l’épouse de Fûtarô ? Je reste sur mon idée de base quant à son identité. Ce n’est pas forcément celle que je souhaiterais, mais c’est celle qui me semble le plus probant.
Notre héros gagne un concours et part en vacances avec son père et sa sœur. Une fois arrivé, quelle n’est pas sa surprise de découvrir que les quintuplées séjournent avec leur paternel dans la même auberge !

C’est le temps de la confrontation : les filles sont toutes déguisées en Itsuki, est-ce que Fûtarô va les reconnaître ?
Le pauvre, c’est loin d’être évident surtout qu’elles lui donnent du fil à retordre.
Ç’a titillé ma curiosité : comme lui, j’ai passé mon temps à chercher qui était qui et je n’ai pas réussi à les remettre.
Il y a quelques scènes prévisibles et surtout typiques des mangas harem comme celles dans les bains publics. Mais elles ont l’avantage d’être superbement dessinées. J’ai pris beaucoup de plaisir à m’attarder sur les planches.

Bref, j’ai passé un excellent moment : j’ai adoré ce huitième tome et je me demande ce que nous réserve le prochain.

La fleur millénaire, tome 06 – Kaneyoshi Izumi

Titre : La fleur millénaire, tome 06
Auteur : Kaneyoshi Izumi
Éditeur : Kazé
Nombre de pages : 187
Quatrième de couverture : Le coup d’état orchestré par l’infâme Reine de Do pour placer son fils sur le trône sème panique et désordre au sein du palais. Blessé dans la bataille, le roi de  est acculé. L’heure est aux révélations pour une ultime mise au point entre le couple royal et, Seitetsu, grièvement atteint lui aussi, se retrouve pris entre les deux partis. Pendant ce temps, Aki et Hakusei sont loin de se douter que la roue du destin s’est inexorablement mise en marche…

Ce sixième tome marque la fin du premier arc, si je puis dire.
En effet, le roi de A meurt, ce n’est pas un spoiler, c’était annoncé dans le tome précédent. Il a anticipé et s’est débrouillé pour faire remettre à Aki la moitié du seau royal.

Ça marque un tournant décisif dans l’histoire : le fils de la reine de Do va-t-il monter sur le trône ? Quelle décision va prendre notre héroïne ? Fuir avec Hakusei ou revendiquer la succession et ainsi déclarer la guerre ? Deux chemins  inenvisageables pour Aki : le premier étant irréalisable puisqu’elle serait pourchassée, le second la conduirait à sacrifier beaucoup d’hommes.
De plus, de nombreux assassins en veulent déjà à sa vie. Elle devra compter sur son intelligence pour se sortir de cette panade. Et j’avoue que lorsqu’elle passe à l’action, le récit devient super intéressant : quand elle se retrouve à réagencer la garde de la forteresse où ils se sont réfugiés ou lorsqu’elle identifie sans mal un traître… elle m’a soufflée.
Depuis plusieurs tomes je trouvais ce manga faible, les meilleurs moments étaient ceux où Aki agit. Une fois de plus, c’est le cas.

Le début m’a semblé un peu long peut-être parce que la motivation n’était pas là. Heureusement, ça n’a pas duré.
Les dessins sont tout aussi inégaux que dans les tomes précédents, donc je ne me suis pas attardée dessus, dommage.
Je n’avais pas envie de lire la suite, pourtant ce sixième tome a relancé mon intérêt pour cette saga, mais ça me saoule parce que je n’ai pas le prochain. Je crois qu’ils sont à la médiathèque – il faudra quand même que je m’y réinscrive un de ces quatre.
En conclusion, j’ai beaucoup aimé ce sixième tome et la fin est terriblement frustrante.

Levius, tome 1 – Haruhisa Nakata

Titre : Levius, tome 1
Auteur : Haruhisa Nakata
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 235
Quatrième de couverture : Au XIXe siècle de la nouvelle ère, après une guerre dévastatrice qui a tué son père et plongé sa mère dans le coma, le jeune Levius Cromwell vit avec son oncle Zack. Dans la capitale, un nouvel art martial fait fureur : la boxe mécanique. Des lutteurs équipés de membres mécaniques s’affrontent violemment dans une arène. Levius va y révéler d’étonnantes prédispositions ! S’annonce alors un combat au sommet qui pourrait bien avoir des répercussions sur l’avenir de la civilisation…

Je ne m’attendais à rien en commençant cette lecture, et surtout pas à ça. Je suis agréablement surprise.
Levius vit chez son oncle et sa grand-mère. On ignore ce que son père est devenu et sa mère est hospitalisée depuis des années. Notre héros participe à des combats de boxe mécanique et il se débrouille plutôt bien.
Le scénario est un peu bateau, mais le gros point fort, c’est le contexte autant que les personnages.

Ce qui m’a le plus étonnée dans cette lecture, c’est le coup de crayon de l’auteur. Je l’ai trouvé super intéressant : c’est un manga, pourtant, le style est plus proche des bandes-dessinées européennes. De plus, histoire que ce soit plus accessible mondialement parlant, Haruhisa Nakata et son éditeur ont décidé de le publier dans le sens de lecture occidental. Les traits des personnages sont pas mal détaillés, les décors sont semblables à des croquis. Ça s’accorde parfaitement avec le contexte de l’histoire : ambiance steampunk dans un pays qui me fait étrangement penser à l’Angleterre du milieu du XIXème siècle.

Levius se montre froid, sauf lors de ses rares accès de colère. Donc je n’ai pas réussi à m’y attacher, pourtant je crois que je l’apprécie.
J’aime bien son oncle. Je ne savais pas trop quoi penser de lui : est-ce qu’il exploite mes talents de Levius ? Peut-être… n’empêche qu’il semble sincèrement s’inquiéter pour lui, et j’ai apprécié sa prévenance.

J’ai adoré cette lecture, et je compte bien lire les prochains tomes… dès que je me les suis procurés.

Assassination classroom, tome 02 – Yusei Matsui

Titre : Assassination classroom, tome 02
Auteur : Yusei Matsui
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 194
Quatrième de couverture : Une ravissante professeur d’anglais est affectée à la classe E. Mais la jeune femme est en réalité une tueuse professionnelle qui va user de ses charmes pour se rapprocher de la cible !! L’assassinat de M. Koro réussira-t-il cette fois-ci ?!

Après la déception du premier tome, je n’étais vraiment pas motivée pour lire celui-ci. Heureusement, il est un peu mieux… pas beaucoup, mais c’est déjà mieux passé.

Un nouveau personnage fait son apparition : Irina Poufanovitch. C’est une nouvelle prof que les élèves surnomment, avec beaucoup de lucidité, madame Pouffe. On découvre assez vite que c’est une tueuse professionnelle… je n’ai qu’un conseil à lui donner et c’est de changer de métier, elle est vraiment nulle.
Le deuxième événement marquant est l’arrivée des examens et leur préparation. C’était intéressant de voir les autres élèves se confronter à la classe E que tous appellent la classe des Épaves.
Enfin, on termine avec le voyage scolaire à Kyoto où les élèves n’ont pas le temps de se reposer puisqu’ils doivent organiser l’assassinat de M. Koro.

À part Irina qui m’exaspère, les autres personnages m’ont laissée indifférente. J’apprécie mieux M. Koro, dommage que ses intentions soient mauvaises, mais je commence à me demander si c’est vraiment le cas. Il fait bien son travail et a à cœur de voir ses élèves réussir. D’ailleurs, les raisons qu’il donne pour tellement vouloir ce succès sont cohérentes.

Les dessins passent. Rien de transcendant et je n’ai pas grand-chose de plus à dire.
Le scénario est sympathique, mais là encore rien de vraiment captivant. Il semblerait que les élèves aient décidé de s’entraîner et de réfléchir à une stratégie avant d’attaquer à nouveau leur professeur.
Bref, terminons. Ça s’est laissé lire, sans plus.

Alpi the Soul Sender, tome 1 – Rona

Titre : Alpi the Soul Sender, tome 1
Auteur : Rona
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 174
Quatrième de couverture : Les esprits divins sont source de vie. Des communautés se forment sous leur protection, jouissant des bienfaits de leur énergie. Cependant, leur mort enclenche une malédiction qui détruit tout ce qui les entoure… C’est là qu’interviennent les soul senders ! Ces rares élus sont capables d’absorber la pollution maléfique et de délivrer l’âme des esprits qui, une fois apaisés, ne constituent plus une menace.
Malgré son jeune âge, Alpi fait partie de ces mages d’élite. Aidée de son fidèle serviteur Pelenai, elle fait de son mieux pour remplir sa tâche, en dépit des souffrances extrêmes provoquées par le contact avec les ténèbres divines. La fillette s’est lancée dans une odyssée à travers le monde sur les traces de ses parents, eux-mêmes soul senders et disparus au cours d’une mission…

Ça fait un long moment que cette série me fait de l’œil, et cette année, pour Noël, ma meilleure amie m’a offert les cinq premiers et je suis ravie de ce cadeau.

Alpi est une Soul Sender. En tant que telle, son rôle est de libérer l’âme des esprits divins morts. Ces âmes sont prisonnières de leur corps qui se putréfie, empoisonnant au passage la terre et les humains qui s’approchent de leurs dépouilles.
Alpi est relativement jeune, je suis incapable de déterminer son âge, mais les gens la considèrent comme une enfant. Elle est assistée par son serviteur Pelenai.

Pour le moment, on ne sait pas grand-chose de ces deux personnages si ce n’est qu’Alpi suit la trace de ses parents, eux aussi Soul Senders et disparus. Donc elle voyage et exerce sa vocation lorsqu’on a besoin de ses services.
Franchement, la pauvre Alpi en chie, ça ne fait vraiment pas rêver. Pourtant, elle essaie de rester joyeuse, mais on sent que ça cache une souffrance folle. Elle est mignonne comme tout et super attachante. J’adore ce personnage.

Les dessins sont magnifiques, aussi beaux que sur la couverture. Les détails dans les visages, les habits ou les décors sont impressionnants, pas autant que dans des sagas comme Magus of the library, mais pas loin.
Je suis fan de l’ambiance qui se dégage de ce premier tome. C’est digne d’un ghibli.
C’est un gros coup de cœur pour cette lecture et j’ai hâte de lire la suite.