Ken’en, comme chien et singe, tome 1 – Fuetsudo & Hitoshi Ichimura

Titre : Ken’en, comme chien et singe, tome 1
Scénariste : Fuetsudo
Ilustrateur : Hitoshi Ichimura
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 161
Quatrième de couverture : Un kakuen, une créature mi-homme mi-singe, terrorise le village de Mitsuke. Benzon, un bonze, va au temple Kôzen-ji pour demander de l’aide. Il revient avec Hayate, un chien exorciste. Les deux êtres surnaturels, Mashira, le kakuen, et Hayate, ont des relations animées au gré des saisons du Japon légendaire.

J’ai entendu beaucoup de bien de cette saga, et ce, depuis sa sortie. Ça fait un moment que je désirais le lire, donc quand j’ai trouvé ce premier tome à Farfafouille, je n’ai pas hésité une seule seconde. Et je suis contente de l’avoir pris.

Le bonze Benzon est chargé d’aider un village victime de chantage : ils doivent livrer une jeune fille en sacrifice aux Kakuen, des créatures mi-homme mi-singe.
Afin d’accomplir sa mission, il est accompagné d’un chien pas comme les autres, puisqu’il est en réalité un reiken, une créature magique tueur de démon du nom de Hayate.

L’histoire est aussi originale que sympathique. J’ai pris plaisir à découvrir l’univers de Ken’en. Par contre, je ne m’attendais pas à une telle tournure :
Hayate a la capacité de se transformer en créature humanoïde et il passe de l’une à l’autre à sa guise ; parfois, c’était drôle et d’autre fois plutôt dérangeant surtout quand il a sa forme humaine et qu’on le traite comme un chien.
D’ailleurs, je ne sais pas trop quoi pense de Hayate. Je crois que je l’aime bien, mais rien n’est moins sûr.
En ce qui concerne Mashira, je l’apprécie grandement. Il est sensible, attachant et amusant, sa relation avec le reiken est étrange, elle évolue lentement et je ne doute pas qu’elle deviendra forte et touchante.
D’autres personnages apparaissent au fil des pages, mais je ne vais pas tous les énumérer… non seulement, ils ne sont pas assez présents pour développer mon avis sur eux, mais je préfère les garder en joker pour les prochains tomes.

J’ai adoré cette lecture. Il faudra que je me procure les prochains.

L’Éden des sorcières, tome 4 – Yumeji

Titre : L’Éden des sorcières, tome 4
Auteur : Yumeji
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 196
Quatrième de couverture : Dans un monde abandonné par la nature, les sorcières sont le seul espoir de l’humanité !Grâce à Oak, Pilly s’est échappée de la forteresse de Fruditilla, une ancienne sorcière devenue sainte patronne de la cité impériale, et a libéré Karen du cachot où elle était enfermée. Maltraitée par sa geôlière des jours durant, cette nouvelle amie est malheureusement bien mal en point…Pour la sauver, Pilly n’a pas le choix : il faut qu’elle parte à la recherche d’amurds et qu’elle concocte un remède au plus vite ! Seulement, Oak se montre réticent et suggère d’abandonner la jeune femme, de peur qu’elle les retarde, ce qui met sa protégée hors d’elle. Les deux compagnons parviendront-ils à trouver un terrain d’entente ?

J’ai longtemps hésité avant de sortir ce quatrième tome de ma pile à lire, non pas que je ne souhaitais pas le lire, bien au contraire, mais j’attendais d’avoir des tomes supplémentaires. Finalement, je n’ai que le cinquième en plus, les prochains mettent trop de temps à paraître.

Oak a réussi à faire sortir Pilly du château de Fruditilla. Notre héroïne a embarqué Karen dans sa fuite, une autre sorcière prisonnière qui est bien mal en point.
Oak est bien partant pour abandonner la blessée, mais c’est sans compter la bienveillance de Pilly qui cherche un endroit où se reposer et soigner son amie.
Elle descend une falaise et découvre des amurds cachés au fond du ravin. Mais ce jardin est gardé par un gardien. Comment vont-elles réussir à s’en sortir ?

La première chose qui m’a frappée, ce sont les dessins : ils sont inégaux. Si habituellement, ça peut être le cas des humains, ça ne l’était pas pour Oak… ou alors ça ne m’a pas frappée jusque là. Donc je me suis moins attardée sur les illustrations.
Ce quatrième tome s’est lu à une rapidité folle. J’ai pris énormément de plaisir à retrouver cet univers.

Et puis, on découvre un peu mieux Karen et son douloureux passé. C’est un personnage que j’ai beaucoup aimé. À voir si ça se poursuit par la suite.
Ce n’est pas le seul personnage qu’on apprend à connaître, c’est également le cas d’Aster que j’ai aussi apprécié. Sa relation avec Pilly est touchante.

Ce tome-ci se termine par un cliffhanger de malade, autant dire que je ne vais pas attendre des mois avant de lire le prochain.
En conclusion, c’est un coup de cœur pour cette lecture.

Netsuzou Trap : NTR, tome 5 – Naoko Kodama

Titre : Netsuzou Trap : NTR, tome 5
Auteur : Naoko Kodama
Éditeur : Taifu comics (Yuri)
Nombre de pages : 162
Quatrième de couverture : Bien qu’ayant toujours un peu de mal à mettre des mots sur ses sentiments, Yuma commence toutefois à se convaincre que ce qu’elle éprouve pour son amie Hotaru ne ressemble pas à de la simple amitié. Lui ayant demandé elle-même de continuer à « l’entraîner », elle se prends petit à petit à rêver d’un hypothétique futur à ses côtés.
De son côté, Takeda continue à se faire du souci pour son ex-petite amie et se met à penser, après l’avoir vue entrer dans un endroit bizarre, qu’une mauvaise personne la manipule peut-être…

Je ne sais pas trop quoi dire de cette lecture… J’ai l’impression qu’on a fait le tour, il est temps que ça se termine :
Les examens de fin d’année approchent et il est temps de préparer son entrée à l’université, mais nos héros sont loin de se préoccuper de ça.
Takeda s’inquiète pour Yuma et finit par la suivre.
Yuma a accepté qu’elle était amoureuse de Hotaru et profite des moments passés avec son amie, malheureusement, cette dernière ne semble pas voir les choses de la même manière.

Voilà pour le résumé. Rien de transcendant. Le train-train habituel des personnages a repris son cours, une routine ennuyeuse…
Je n’ai apprécié que deux moments :
– lorsque Hotaru cherche un appartement, lance une proposition de colocation avec Yuma et les deux jeunes filles se projettent dans l’avenir
– quand elles cuisinent lors de révisions.
C’étaient des épisodes normaux, très naturels et apaisants.

Ça n’a malheureusement pas sauvé cette lecture. Ça s’est laissé lire, sans plus.

The Quintessential Quintuplets, tome 06 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 06
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Alors que les examens de fin de semestre approchent à grands pas, Nino et Itsuki se sont violemment disputées et ont chacune quitté la maison. Yotsuba, quant à elle, se laisse accaparer par le club d’athlétisme. Pas facile pour Fûtaro d’honorer ses engagements auprès du père Nakano quand trois élèves sur cinq manquent à l’appel ! Et comble de malchance, c’est le moment que choisit la petite fille de la photo pour réapparaître dans sa vie !

Je ne suis toujours pas super motivée pour poursuivre cette saga, mais comme je l’ai commencée et qu mon fils a toute la collection, je vais continuer tant que je ne tombe pas sur un tome qui me dégoûte.

Il n’y a pas beaucoup d’événements, l’histoire suit son cours :
– Uesugi se retrouve face à une fille qu’il a aidé cinq ans auparavant. Il me semble que c’est l’une des quintuplées, mais je ne me souviens plus si on sait laquelle. Et il est tellement nul qu’il est incapable de les reconnaître. Quel boulet !
– Nino et Itsuki sont toujours fâchées. L’une vit à l’hôtel tandis que l’autre s’est installée chez Uesugi.
– Yotsuba est débordée entre les révisions et le club d’athlétisme.
– Les examens approchent et Uesugi prend une décision drastique.
Voilà pour les faits. Et je n’ai malheureusement pas grand-chose d’autres à dire.

C’était une lecture sans surprise, c’était malgré tout plaisant : je me suis laissé porter par le récit, sans me poser de questions.
Celle que j’aime définitivement, c’est Miku. Elle est posée, elle a des paroles très sages et surtout justes. J’ai adoré le discours qu’elle fait à Nino sur les changements. Ça m’a parlé.

En conclusion, je dirais que j’ai bien aimé cette lecture, ça ne m’a pas paru long pour une fois.

Deep sea aquarium Magmell, tome 1 – Kiyomi Sugishita

Titre : Deep sea aquarium Magmell, tome 1
Auteur : Kiyomi Sugishita
Éditeur : Vega / Dupuis (Seinen)
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Découvez les mystères de la nature et ses créatures improbables avec le Deep See Aquarium Magmell !
Keitaro Amagi est un jeune homme passionné par les océans. Enfant, son père lui a transmis cette fascination pour ces mondes mal connus. Devenu adulte, il répond alors tout naturellement à une embauche pour devenir simple balayeur au tout nouveau Magmell Deep Sea Aquarium. Ce gigantesque complexe sous-marin vient d’ouvrir et offre à ses visiteurs une découverte inédite de la faune sous-marine, à 200 m de profondeur. La passion de Keitaro l’emmènera sur des chemins inattendus au service du Magmell. Auprès du professeur Minato, le balayeur devra apprendre les secrets des calamars géants, sauver une espèce en danger, se confronter aux pêcheurs, et apprendre à préserver autant que possible un monde marin toujours plus mis en danger par les activités humaines.

Je ne m’attendais pas à une telle histoire. La couverture m’avait laissée penser à un récit fantastique, style fond marin et triton ou un truc du genre… ben non. C’est plus terre à terre.
Magmell est un aquarium qui présente aux visiteurs les créatures des fonds marins. Kôtarô, passionné par ces êtres des abysses, y travaille… en tant que balayeur, loin de son rêve de soigneur. Quoique…

Les personnages sont tous aussi sympathiques les uns que les autres, que ce soit Kôtarô, le directeur Minato ou la soigneuse mademoiselle Shizuka. Pour l’instant, aucun ne sort de l’ordinaire et aucun ne m’a enthousiasmée, ni ne m’a dégagée. Donc c’est pas si mal.
Les dessins sont plutôt traditionnels, avec quand même pas mal d’inégalités, mais les créatures marines sont réussies, on les reconnaît bien… quand on les connaît.
Le gros point fort de ce manga, ce sont justement les créatures des abysses. Pour la plupart, j’ignorais leur existence. Et j’ai vérifié, elles existent bel et bien. L’auteur ajoute même une petite encyclopédie des créatures découverts. Ce qui rend cette lecture intéressante, ça m’a beaucoup plu.

Bref, j’ai bien aimé cette lecture, et je pourrais bientôt lire le prochain puisque je l’ai dans ma pile à lire.