Blue Period, tome 07 – Yamaguchi Tsubasa

Titre : Blue Period, tome 07
Auteur : Yamaguchi Tsubasa
Éditeur : Pika (Seinen)
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Yatora a réussi l’exploit d’être admis au concours de Geidai du premier coup. Le cœur vibrant, plein d’attentes et d’inquiétudes à la fois, il fait ses premiers pas à l’Université des Arts de Tokyo pour goûter à sa nouvelle vie d’étudiant. Il va y faire des rencontres surprenantes, mais va également se confronter à la dure réalité des écoles d’art…

J’avais hâte de commencer cette lecture, de débuter cette nouvelle étape pour Yatora, tout en redoutant ses états d’âme.

Notre héros a donc réussi son examen d’entrée à Geidai du premier coup. Il craint de ne pas être à la hauteur et c’est en effet le cas, mais il faut dire qu’il est jeune et a peu d’expérience dans le domaine du dessin puisqu’il ne s’est lancé dans l’aventure que tardivement et son entraînement ne l’a préparé qu’au concours, pas à la suite.
Il se rend alors compte que son succès n’est finalement pas à son avantage : certains premières années ont passé l’examen plusieurs fois, sont donc plus âgés que lui et ont donc un vécu plus riche, une expérience plus étendue.
Yatora se remet une fois de plus en question, sauf qu’au lieu de surmonter ses échec, il se démoralise totalement… ce qui est surprenant, mais je suppose que ça ouvrira la suite du récit à de nouvelles expériences. J’attends de voir.

Il y a de nouveaux personnages, tous plus perchés les uns que les autres, ils sont nombreux donc je ne vais pas tous les énumérer. Seule Maria Hanakage est suffisamment présente pour que je m’attarde sur son cas. Je ne sais pas quoi penser d’elle : elle semble boire beaucoup, elle est bien plus âgée que Yatora, et est cependant de bons conseils ce qui la rend quand même sympathique.

On sent que c’est un tome de transition, pas forcément passionnant, mais il faut bien que tout se remette en place. C’était une bonne lecture, sans plus.

 

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Le grimoire écarlate, tome 3 – A-10

Titre : Le grimoire écarlate, tome 3
Auteur : A-10
Éditeur : Noeve grafx
Nombre de pages : 175
Quatrième de couverture : Wakaba rejoint finalement la Gesellschaft, une organisation internationale de mages. Elle espère ainsi progresser dans la maîtrise de ses nouveaux pouvoirs.
Mais dès sa première mission, elle tombe nez à nez avec le pire ennemi de la Gesellschaft, qui fait disparaître Chaperon Rouge.

Après avoir fini le second tome qui avait été une déception, je n’étais pas certaine d’acheter et de lire ce troisième tome. Pourtant, j’ai décidé de lui donner une chance et j’ai bien fait.

Lors de leur première mission pour la Gesellschaft, Wakaba et Noel tombe sur Senba, le chef de la fraternité. Il fait disparaître Chaperon Rouge et propose à sa contractante de rejoindre son groupuscule. Je ne me souviens plus exactement ce qu’il s’est passé tellement c’était peu marquant -_-
Bref, heureusement, Hoshikawa est là et se bat pour protéger les deux écuyères. Le combat est violent et ne tourne pas à l’avantage de la Gesellschaft.

La bataille était terrible ! Ça m’a beaucoup plu, j’y ai retrouvé l’ambiance du premier que j’avais tant aimé. Non seulement ça bougeait, mais c’était aussi super intéressant : ça m’a permis de réaliser l’intérêt des cartes d’armes et d’uniformes dessinés par leurs possesseurs. D’ailleurs, à ce sujet, Senba est un enfoiré, il est vicieux, c’est un truc de fou.
Après le combat, on retourne au quartier général de la Gesellschaft et le contraste était rude… je redoutais que ce soit à nouveau trop paramilitaire, et finalement non, c’était plus académique donc plus agréable. Et puis, les grimoires prennent à nouveau leur place dans le récit.
J’ai découvert le passé de Noel et ça me l’a rendue sympathique.
J’apprécie de plus en plus la relation entre Wakaba et Xhaperon Rouge, je suppose qu’elle deviendra encore plus intime par la suite.

Je n’ai pas pu profiter de cette lecture autant que je l’aurais souhaité parce que je suis restée sur mes gardes du début à la fin, redoutant une perte d’intérêt pour l’histoire. Ouf, ce n’était pas le cas ; j’ai aimé ce troisième tome.

Creepy Cat, tome 2 – Cotton Valent

Titre : Creepy Cat, tome 2
Auteur : Cotton Valent
Éditeur : Vega / Dupuis
Nombre de pages : 128
Quatrième de couverture : Des détectives viennent enquêter dans le manoir de Flora, après qu’on leur a signalé l’apparition d’une créature non identifiée. Aidés par Himé le chaton gris, ils essayent sans relâche de débusquer Creepy Cat. De son côté, le plus creepy des chats devient gigantesque, et Flora tente de lui rendre sa taille normale à l’aide d’un mystérieux grimoire magique appartenant au manoir…

J’ai été ravie de retrouver le second tome de Creepy Cat. Je l’attendais même avec impatience et je n’ai pas été déçue.
Le fil rouge est plus marqué que dans le premier.

La police enquête sur des faits paranormaux. Serait-il à la recherche de Creepy Cat ? Peu importe, le chat se cache. Un événement qui cause bien du souci à Flora parce que Creepy a tellement peur qu’il devient géant. Le seul point positif est qu’avec une telle taille, il ne se multiplie plus, mais il y a bien d’autres inconvénients.
Oscar est plus présent. Il est amoureux d’elle, c’est flagrant et elle ne voit rien. Par moment, c’est drôle, d’autres fois moins, c’est peut-être pour ça que l’autrice a fini par opter pour des scènes de jalousie venant de Creepy. Le pauvre Oscar prend cher, je n’ai pas pu m’empêcher de rire. Je verrai si ça continue et si c’est toujours aussi amusant.

J’aime toujours autant le personnage de Flora. Elle est attachante, j’apprécie sa relation avec son chat, ils sont touchants ensemble. Et puis, elle est tellement belle. Bon, maintenant que j’ai vu la série Mercredi, je ne peux m’empêcher de faire un parallèle entre les deux, ce qui est dommage parce que la ressemblance n’existe que dans le design des personnages, absolument pas dans la trame de l’histoire.
Peu importe, ça ne change rien au fait que j’ai adoré ce second tome et j’attends le prochain avec impatience qui sort à la mi-mars.

Mon amie des ténèbres, tome 02 – Taku Kawamura

Titre : Mon amie des ténèbres, tome 02
Auteur : Taku Kawamura
Éditeur : Nobi nobi ! (Shônen kids)
Nombre de pages : 146
Quatrième de couverture : Une petite fille dont on se moque. Un nouvel élève qui recherche son amitié. Entre rires et larmes, leur été sera inoubliable. L’obstination naïve de Takada a porté ses fruits : Nishimura a surmonté ses craintes et l’a accepté comme ami ! Toujours là pour la soutenir quand les élèves de la classe se moquent de « la sorcière des ténèbres », il l’aide aussi à sortir de sa solitude. Grâce à lui, elle a adopté un chat et Hino, l’adepte du marcel, a rejoint leur petit groupe. Désormais, elle s’amuse bien à l’école ! Nishimura va passer une partie dès vacances chez sa grand-mère, qu’elle aime beaucoup, mais Takada lui manque. Une coïncidence et une révélation bouleversent alors leur été… ainsi que leur amitié ! Une admiration née de son innocence et de sa sincérité.

On continue notre aventure aux côtés de Nishimura et Takada qui croit toujours que son amie est une sorcière des ténèbres. Ils ont décidé de passer tout l’été ensemble : ils vont à la piscine du collège et continuent de croiser des camarades de classe qui se montrent désobligeants envers la pauvre Nishimura.
Lorsque la petite fille part chez sa grand-mère pour la fête des morts, nos deux héros sont séparés, mais c’est sans compter le destin. C’est également l’occasion pour le lecteur d’en découvrir davantage sur le passé de Nishimura.

Les chapitres sont très courts et par moment, j’ai trouvé la chute un peu trop abrupte. Ça manquait également de transition. Tout ça rendait le récit légèrement décousu.
L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard, néanmoins je l’ai trouvée sympathique. Ça reste très gentillet, mais comme je le savais, contrairement au premier où ça a été un choc de découvrir un manga si jeunesse, je n’ai pas eu de mauvaise surprise, j’ai même pris plaisir à suivre nos deux jeunes héros.
Les réponses naturelles de Takada m’ont réjouie, et les pensées aussi embarrassantes que mignonnes de Nishimura m’ont fait sourire.

J’ai beaucoup aimé ce second tome, si les chapitres n’étaient pas aussi courts, donnant la sensation d’être tronqués et bâclés, j’aurais adoré cette lecture.
J’ai quand même hâte de lire le prochain pour voir ce que l’auteur nous réserve.

Komi cherche ses mots, tome 05 – Tomohito Oda

Titre : Komi cherche ses mots, tome 05
Auteur : Tomohito Oda
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Les jours heureux de Komi sont perturbés par un sentiment nouveau pour la jeune fille craintive : la jalousie. Tadano et une de leurs camarades de classe, Onemine, se sont rapprochés et Komi, ne sachant que faire, les épie en catimini ! A l’approche de la fête du lycée, ce fâcheux sentiment va-t-il entacher les préparatifs de cet événement réjouissant ?

J’ai longuement hésité avant de me décider à lire ce cinquième… enfin longuement, genre deux jours. Le quatrième ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable.

Dès les premières pages, c’est bien passé : j’ai trouvé Onemine apaisante. Je ne me souviens pas d’elle, ni de qui elle est, ni de comment elle est arrivée dans l’histoire, mais j’étais contente qu’elle soit là. Et puis, gros plus : elle ne semble pas impressionnée par Komi et c’est une bonne chose… je crois.
On enchaîne sur un épisode reposant avec la tempête qui bloque Komi chez elle.
Puis c’est de nouveau la folie avec les préparatifs de la fête de l’école Itan. Et sans surprise (la couverture nous a donné un indice de taille), la 2nde1 décide d’organiser un atelier maid-café.
Heureusement, Najimi prend beaucoup de place dans le récit donc au lieu de rendre l’événement bizarre, il l’a juste rendu drôle et surtout joyeux.

Par contre, tout au long de ma lecture, je me suis demandée ce que j’allais dire sur ce cinquième tome et rien ne m’est venu de plus. Donc je vais m’arrêter là.
J’ai bien aimé ce manga, ce n’était pas transcendant, mais j’ai passé un bon moment.