Monster girls collection, tome 2 – Suzu Akeko

Titre : Monster girls collection, tome 2
Auteur : Suzu Akeko
Éditeur : Soleil (Manga – Gothic)
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Tout bon monstre qui se respecte doit savoir effrayer ! Pour cela, Ichika et ses camarades doivent absolument obtenir leur diplôme de monstre ! Mais dans leur classe, la plus mauvaise de toutes, étudier n’est pas une mince affaire ! Entre tricheries et règlements de comptes sanglants, Monsieur D, leur professeur principal, va avoir bien du mal à les emmener jusqu’au diplôme…

Un second tome encore plus déjanté que le premier.
Contrairement au précédent, on ne découvre pas de nouveaux personnages, la classe Z est au complet. Ses élèves continuent à suivre leurs cours, notamment avec l’apprivoisement d’un familier, mais ça tourne mal… quelle surprise !
La rivalité avec la classe A se poursuit, mais c’est secondaire. Les élèves sont surtout préoccupées par l’arrivée de la Black Week, une semaine de vacances. Et la classe de monsieur D se rend à la mer : après leur séance de rattrapage, Ichika et ses camarades peuvent aller s’amuser.

J’ai bien aimé tous les personnages, elles sont toutes dans le même délire donc ça passe. Mon préféré reste monsieur D et je suis ravie d’avoir découvert un bout de son passé, et de sa rivalité avec le professeur K. Il se retrouve par hasard à donner des cours à la classe A et c’est l’occasion de voir à quel point c’est un bon prof, sa décision par la suite ne le rend que plus attachant.
Les dessins sont chouettes, je me suis attardée sur pas mal de planches. J’adore leur format chibi, elles sont trop chou !

J’ai préféré le second tome au premier, il est bien plus drôle et j’ai beaucoup ri. Ce fut une lecture plaisante et je suis ravie d’avoir le troisième tome dans ma PàL.

Automne de l’étrange
Les mystérieux habitants de Pottsfield (Halloween)

Toilet-bound Hanako-kun, tome 04 – Iro Aida

Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 04
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Confrontés au cinquième mystère de l’école, c’est au prix de leur dignité que Nene et Kô parviennent à en apprendre plus sur Hanako. Nene réalise alors que son ami fantôme cache un passé tragique et n’arrive plus à le regarder en face. C’est à grand renfort de donuts que l’atmosphère finit par se détendre. Mais voilà qu’un esprit menaçant fait son apparition et déclare avoir péri des mains de Hanako ! Nene doit-elle vraiment rester l’amie d’un meurtrier ? De son côté, Kô ne souhaitant plus exorciser d’esprits, décide plutôt de les aider à réaliser leur dernière volonté, en commençant par le défunt Mitsuba !

Ça fait un moment que j’avais très envie de lire ce quatrième tome, mais chaque fois, je repoussais sans réelle raison.

Dans le dernier tome, on en a appris plus sur le passé de Hanako grâce à l’un des mystères et ça a grandement perturbé notre héros, au point qu’il n’apparaît pas des masses dans ce tome-ci.
Nene se voit proposer de devenir princesse sirène. Et les avantages qui lui sont offerts sont bien tentants… seulement pour la jeune fille.
Kô se retrouve face à un esprit, Mitsuba. Il refuse de l’exorciser et décide de l’aider à partir sereinement.

Si la première partie ne m’a pas convaincue, il y avait trop de flou et de questions sans réponse, la seconde avec Kô m’a d’abord fait beaucoup de bien et m’a émue.
On en apprend davantage sur les rumeurs modifiées, donc comment elles sont changées et la manière dont elles se propagent, mais toujours pas d’explications claires sur la raison de ces changements.

Les dessins me plaisent toujours autant. J’aurais pu lire plus rapidement ce quatrième tome, mais je me suis longuement attardée sur les illustrations, à contempler les postures des personnages, la fluidité de leurs vêtements et de leurs cheveux, l’expression de leur visage – leurs yeux sont expressifs et me plaisent énormément. Je suis décidément fan de cette saga.
J’ai adoré ce quatrième tome et je prévois de lire le suivant le mois prochain.

Automne frissonnant
Ghost Hunt (exorcisme, chasseur de fantôme, possession, enquête)

 

L’Atelier des Sorciers, tome 09 – Kamome Shirahama

Titre : L’Atelier des Sorciers, tome 09
Auteur : Kamome Shirahama
Éditeur : Pika (Seinen)
Nombre de pages : 174
Quatrième de couverture : Emportant chacune un objet magique de sa confection, Coco et ses amies partent pour l’île-cité d’Esrest, afin de participer à la Fête de la Nuit d’argent. Au milieu des stands et de la foule de visiteurs, la ville est plus animée que jamais. Il y flotte une atmosphère festive ! Mais parmi les convives se cachent aussi des invités indésirables. Sorciers, milice, nobles, sages… Beaucoup de forces se croisent et les contours de ce monde se dessinent peu à peu. Entre lumière et ténèbres, le rideau se lève enfin sur le grand festival des sorciers.

Sans surprise, je savais que j’adorerais cette lecture. J’ai attendu longtemps avant de commencer ce neuvième tome, parce que je voulais attendre d’avoir plusieurs tomes à lire à la suite… mais là je n’y tiens plus.

Kieffrey emmène ses apprenties à Esrest afin d’assister à la fête de la nuit d’argent.ils aideront Tarta et son grand-père à vendre leur matériel magique, mais Agathe a d’autres plans.
De nombreux sorciers participent à ce festival, notamment la milice, les trois grands sages… dans la foule, il y a assurément des membres de la confrérie du capuchon noir. Et ce neuvième tome nous réserve quelques surprises en ce qui les concerne, mais pas que…
On découvre un pan du passé de Lulucy, et la vache, c’est glauque… j’ai encore l’image de son amie Erienne au moment où la porte se referme, un passage terrible. J’aimais déjà bien le personnage de Lulucy, mais là, encore plus.

De nouveaux personnages font leur apparition : le roi insulaire (il a trop la classe avec ses deux chats) et les cinq souverains des royaumes qu’il dirige. Pour ne citer qu’eux.
Du coup, il y avait un côté plutôt « politique » : les relations entre humains et sorciers.
Les dessins sont toujours aussi splendides ! Je prends un plaisir fou à les détailler, comme à chaque fois en fait.

J’ai adoré ce neuvième tome et j’ai hâte de lire le suivant afin de voir ce qu’Ininia attend de Coco et Tarta.

Esprits d’ailleurs – Maki Kôda

Titre : Esprits d’ailleurs
Auteur : Maki Kôda
Éditeur : Komikku
Nombre de pages : 158
Quatrième de couverture : Esprits d’ailleurs est un one shot regroupant trois histoires singulières et fascinantes sur les esprits qui nous entourent.
Dans la première, une jeune lycéenne très timide s’aperçoit qu’elle est si effacée que personne ne fait attention à elle et ne l’entend. Un jour elle devient réellement transparente et se retrouve dans une dimension parallèle sans aucun son. Elle reste dans le monde des humains, mais elle est devenue invisible. Elle rencontre alors un mystérieux garçon qui semble pouvoir communiquer avec elle. Mais qui est-il vraiment ?
La seconde histoire nous emmène dans un petit appartement où vit un étudiant fauché. Un jour il rencontre une jeune fille qui prétend connaître l’avenir et elle lui dit qu’il est protégé par quelque chose. Elle ne croit pas si bien dire, car le lendemain il échappe de justesse à un terrible crime. Quelqu’un ou quelque chose veille-t-il réellement sur lui ?
Dans la troisième histoire, un jeune homme trouve un chat dans un parc. Il le recueille, mais il s’avère que le félin parle et a même un sale caractère. Les jours passent et un drôle de lien s’installe entre eux, mais le jeune homme découvre que le chat est recherché par sa vraie maîtresse. Pourra-t-il le rendre et quelle est la vraie nature de l’animal ?

Ce manga contient 3 histoires différentes :
un après-midi sans bruit : lorsque Kotono Hatabe, élève de 14 ans, n’entend plus de bruit, elle devient invisible aux yeux des autres, sauf pour Hirota qui est comme elle.
Ensemble, ils passent une superbe après-midi.
Je ne sais pas trop quoi en penser… la trame de l’histoire est très succincte, bien que sympathique. J’ai cependant aimé la leçon qu’Hirota donne à Kotono et qui lui permet de grandir.

Bianca : Sotâ enchaîne les coups durs. Il ne trouve pas de boulot et sa petite copine l’a largué. La chance tourne lorsqu’il emménage dans son nouvel appartement et qu’il rencontre Yûko.
Le fait qu’il venait de changer d’appartement n’était pas très clair, c’est dommage parce que du coup, on ne fait pas le lien, et même après qu’il l’ait dit, je n’y ai pas cru avant la conclusion. J’ai mieux aimé cette seconde histoire.

Au clair de lune : Rentarô a quitté son emploi sans prévenir sa copine. Pour faire passer la pilule, il ramène à la maison un chat, sachant qu’elle ne peut pas résister aux animaux. Il croit halluciner le lendemain quand le félin lui parle et il n’est pas au bout de ses peines puisqu’il devient le domestique du chat.
Au début, j’ai bien ri avec cette histoire… jusqu’à ce qu’on apprenne la raison pour laquelle Heihachirô (c’est le nom du chat) a quitté son foyer. Il est loin d’être sympa avec son nouveau larbin, mais plus on avance et plus je l’ai trouvé attachant.
Ce troisième récit est mon préféré, il m’a émue.

Les dessins semblent assez simples avec peu de détails, mais quand on y regarde de plus près, certaines vignettes sont plus travaillées que d’autres en ce qui concerne les texture. Ils sont emplis de douceur et ça fait beaucoup de bien.
Bref, si le début ne m’a pas convaincue, ça s’améliore au fil des pages. Bref, j’ai adoré ce manga.

Automne de l’étrange
“Sois vent, rêve, cendre et néant
Sois nuit, noir, âme et souhait”
(sauvetage, disparition)

Les enfants de la baleine, tome 07 – Abi Umeda

Titre : Les enfants de la baleine, tome 07
Auteur : Abi Umeda
Éditeur : Glénat (Seinen)
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture : Une petite baleine.Quelques murs de glaise.Un parfum d’herbe et de terre.Telle était leur « île » aux commencements. Phaleina et ses habitants continuent leur traversée vers l’inconnu et les terres d’Amonlogia, traversant en chemin les parois du temps.Qui rencontreront-ils aux milieux des sables ?

Ça fait plus d’un an que j’ai lu le sixième tome. Comme souvent, je ne me souvenais pas de grand-chose, heureusement que ma chronique était assez complète pour me rafraîchir la mémoire. C’est en grande partie pour ça que je tiens ce blog.

Phaleina continue son périple vers Amonlogia. Suoh, le nouveau capitaine, et les autres marqués décident d’apprendre à se battre, mais leur entraînement est interrompu par un vaisseau fantôme. Lorsqu’ils le croisent, des souvenirs apparaissent sur le Phaleina.
Après cette rencontre, Ohni s’évanouit. Byakuroku annonce que pour le sauver, il faut l’emmener dans la chambre de Midén. Encore faut-il la trouver !

Un septième tome intéressant : on découvre l’histoire de Phaleina à travers les écrits du premier capitaine. Ça m’a éclairé sur pas mal de points, notamment sur la manière dont la baleine de glaise est devenue une prison, mais également sur la création des daímonas.

De nouveaux personnages apparaissent, mais ne resteront pas puisqu’ils font partie du passé.
Je ne sais pas trop quoi penser de Dúo. J’apprécie le fait qu’elle veuille protéger Phaleina, je ne suis pas moins fan de ses méthodes, même si je les comprends. Pareil pour Midén.
J’aimais bien Ekato, dommage qu’il ne soit pas trop présent.

Le flashback était intéressant, mais j’ai l’impression que ça a pris toute la place dans l’histoire au détriment des protagonistes habituels.
J’ai beaucoup aimé ce septième tome et je suis curieuse de découvrir ce que me réserve le prochain tome.