Last Quarter, tome 1 – Ai Yazawa

Titre : Last Quarter, tome 1
Auteur : Ai Yazawa
Éditeur : Delcourt
Nombre de pages : 179
Quatrième de couverture : Mizuki, lycéenne diaphane, tombe sous le charme d’Adam, un étrange musicien anglais, et décide de tout quitter pour le suivre. Or, en pleine nuit, elle est victime d’un accident de voiture sur leur lieu de rendez-vous à Shibuya… Parallèlement, Hotaru, une petite fille encore à l’école primaire est hospitalisée après avoir été renversée elle aussi, tandis qu’elle cherchait son chat… !

Je ne suis pas fan de la couverture, elle ne rend vraiment pas honneur au style de dessin de Ai Yazawa. Je connaissais ses illustrations grâce à la saga Nana, et j’ai retrouvé le plaisir de contempler le character design. La morphologie longiligne pour ne pas dire maigre de ses personnages me pose toujours des problèmes, mais le visage, les cheveux et les yeux me fascinent.

L’histoire m’a bien plu : Mizuki rencontre Adam, guitariste talentueux, et décide de partir avec lui, mais au moment de le rejoindre, elle se fait renverser. En parallèle, la jeune Hotaru revient à elle, à l’hôpital. Un lien uni les deux jeunes filles.

J’ai apprécié les personnages. À part peut-être Adam qui me dérange, je les ai trouvés attachants.
Mizuki est un peu perdue, comme on peut l’être à son âge.
Hotaru est solitaire, toute douce et l’attachement qu’elle ressent pour son chat m’a émue.
Son amie, Sae, se montre fidèle et la soutient. Un attitude que j’apprécie énormément.
Tetsu est drôle et m’a fait sourire.
Masaki est intelligent, mais me paraît fade de prime abord. A voir ce que ça donne dans les prochains.

J’ai adoré ce premier tome. Il faudra que je me procure la suite pour savoir ce qu’il va advenir de nos héros.

Tokyo tribe 2, tome 1 – Santa Inoue


Titre : Tokyo tribe 2, tome 1
Auteur : Santa Inoue
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 198
Quatrième de couverture : Attention, bombe à l’horizon !
Après avoir fait un véritable carton au Japon (où la série est d’ailleurs adaptée pour le petit écran), la série culte de Santa Inoue arrive en France et va faire du bruit, à l’heure où la jeunesse est régulièrement stigmatisée par les médias. Ici pourtant, pas de réalisme ou de critique sociale. L’auteur se fait plaisir en créant de toutes pièces un Tokyo fantasmé où règnent les règlements de compte impitoyables et gratuits, l’intimidation, la violation des lois, les vices Loin du calme de la capitale nipponne, il plonge le lecteur dans un univers apocalyptique et outrancier qui emporte tout sur son passage. La vague a déjà atteint les États-Unis. Elle arrive désormais chez nous !

J’ai découvert cette saga dans ma bibliothèque en début d’année quand j’ai fait du rangement. Je ne savais même pas qu’on l’avait et j’ignore complètement qui l’a acheté et pourquoi…
Les dessins sont inégaux et vraiment pas terribles. Ça n’engage vraiment pas à la lecture.
Quant à l’histoire, j’ai tellement de termes péjoratif qui me viennent que j’ai du mal à en choisir un.

Ça se passe dans un Tokyo pseudo-imaginaire où différents gangs ont le monopole de quartiers. Kai fait partie des Saru de Musashinokuni. Son meilleur ami et deux membres de son groupe se rendent à Shivuya et sont exécutés.
La grosse bande rivale serait les Wu-Ronz de Buruko, dirigé par Merra que Kai a bien connu.
Et là, vous vous dites : mais c’est quoi ce résumé décousu ? Je vous répondrai : un peu comme le récit dans ce manga.

Franchement, c’est à se demander quel âge avait le mangaka quand il l’a écrit. C’est assez immature : la vie rêvée des gangs, violence, sexe…et vu que les illustrations sont dégueulasses (surtout pendant les scènes de combat), on n’a même pas la consolation de s’y attarder pour le plaisir.
Par contre, ce qui est super bizarre, c’est que malgré tout le mal que je pense de ce premier tome, je lirai la suite parce que déjà, je l’ai et que ça a quand même titillé ma curiosité.
Je n’ai pas aimé ce premier tome, mais…

Blue Period, tome 11 – Tsubasa Yamaguchi

Titre : Blue Period, tome 11
Auteur : Tsubasa Yamaguchi
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : La première année à Geidai s’achève avec un sentiment d’amertume et de frustration pour Yatora, qui veut prendre ses distances avec la peinture. Décidé à faire autre chose tout en renflouant son compte en banque, il répond à l’annonce d’une école de dessin afin de donner des cours aux enfants. Mais il ne se doute pas que la gérante de l’atelier n’est autre que son ancienne professeure d’arts plastiques, Mme Saeki…

Pour l’instant, de tous, c’est celui que j’ai le moins aimé. J’ai mis une semaine pour le lire. Alors, d’accord, la période ne se prêtait pas à lecture puisque je passais tout mon temps à compléter mon mémoire de stage.
J’aurais pu trouver quelques minutes de-ci de-là pour grignoter quelques pages, mais franchement, je n’avais pas envie. Je me suis ennuyée, je l’ai trouvé long. Pourtant, y a Hashida, mon personnage préféré… c’est dommage !

Yatora ne dessine plus. Ce sont les vacances et il occupe ses journée en travaillant. Il a trouvé un poste dans l’atelier de madame Saeki et il assiste les enseignants auprès des enfants. Il demande conseils à Yashida au sujet de Picasso et lui aussi finit par bosser au même endroit que Yatora.
Je n’ai pas réussi à m’attacher aux élèves… y a bien eu un petit truc avec Sae, mais elle ne reste pas assez longtemps pour que je l’apprécie vraiment.

Je suis fatiguée et je n’ai rien de plus à dire. Je n’ai pas aimé cette lecture.

Fullmetal Alchemist, tome 03 – Hiromu Arakawa

Titre : Fullmetal Alchemist, tome 03
Auteur : Hiromu Arakawa
Éditeur : Kurokawa
Nombre de pages : 182
Quatrième de couverture : Après un combat dévastateur contre l’énigmatique Scar, Edward et Alphonse se rendent dans leur village natal afin de réparer leurs corps meurtris. C’est l’occasion pour les frères Elric de retrouver Winry Rockbell, leur amie d’enfance ainsi que sa grand-mère Pinako Rockbell qui sont les mécaniciennes les plus réputées de la région. Mais le repos est de courte durée et nos alchimistes partent rapidement pour la capitale : Central, afin de percer le secret de la pierre philosophale et du Laboratoire N°5.

Une fois de plus, je ne sais pas quoi dire de cette lecture, alors je vais essayer de résumer et peut-être que l’inspiration viendra.

Suite à leur combat contre Scar, les frères Elric se sont fait défoncer : le bras mécanique d’Edward est en charpie, et Alphonse a été démembré.
Escortés par Armstrong, ils se rendent à la campagne, chez Pinako et Winry pour faire réparer le ras de notre héros.
Je pense que les deux réparatrices sont des personnages que j’aurais pu apprécier, mais leur apparition est trop courte pour m’en faire une idée plus précise. En même temps, ça m’aurait saoulée si ça avait duré plus longtemps, d’autant que nos héros doivent retourner à Central le plus vite possible afin de récupérer les carnets de Marcoh et ainsi trouver comment fabriquer la pierre philosophale. Et c’est ce qu’ils font.
Ils trouvent une piste qu’ils suivent.

Ben je pense que j’ai dit tout ce que j’avais à dire.
En écrivant cette chronique, j’ai l’impression que ce troisième tome est vide… pourtant, ce n’était pas le cas en le lisant. J’ai passé un bon moment, j’ai rigolé quand il y avait de l’humour, notamment lors de la confrontation entre Alphonse et Barry le boucher, j’étais on ne peut plus sérieuse dans les moments cruciaux… néanmoins, je n’ai rien à dire.
Donc autant conclure. J’ai aimé ce troisième tome et j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain.

Perfect world, tome 04 – Rie Aruga

Titre : Perfect world, tome 04
Auteur : Rie Aruga
Éditeur : Akata
Nombre de pages : 164
Quatrième de couverture : Ayukawa a fait son choix et il semble irrévocable. Tsugumi a encore du mal à le croire, et pourtant… Kore-éda, resté dans l’ombre jusque-là, pourrait bien en profiter pour passer à l’action. Pour ne rien arranger, la jeune femme va également apprendre une autre nouvelle qui va profondément la bouleverser. Son quotidien bascule et… Le temps qu’Ayukawa réalise son erreur, ne sera-t-il pas trop tard ?

C’est le dernier tome que j’ai dans ma bibliothèque. Et je ne pense pas me procurer la suite. Ce quatrième tome est légèrement moins bien que le précédent, mais il ne m’a pas donné envie de continuer cette saga.

Ayukawa à rompu avec Tsugumi. Elle vit mal la situation, mais grâce au soutien sans faille de Koré-Éda, elle se prend en main et survit tant bien que mal.
Malheureusement, la vie ne fait pas de cadeau à notre héroïne : son père est gravement malade. Donc elle décide de démissionner et de repartir chez ses parents.
Ayukawa réalise qu’il a fait une erreur en repoussant Tsugumi. Est-il est trop tard pour faire marche arrière ?

L’histoire ne casse pas trois pattes à un canard. Ça s’est laissé lire, sans plus. Les personnages m’ont laissée indifférente… je ne vais pas pleurer : pour une fois, Tsugumi ne m’a pas exaspérée puisqu’elle ne pleurniche pas, ouf !
Dans l’ensemble, j’ai trouvé les dessins fades. J’ai scruté les planches à la recherche d’une possible émotion transmise, mais rien n’est passé.

Je me suis ennuyée. Et si je l’ai fini assez vite, c’est parce que j’avais envie de m’en débarrasser rapidement… dommage, cette série avait bien commencé, mais finalement, c’est trop neuneu.