Assassination classroom, tome 01 – Yusei Matsui

Titre : Assassination classroom, tome 01
Auteur : Yusei Matsui
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Qui d’entre vous parviendra à me tuer ?! La Lune est détruite à 70 %, la Terre est en sursis ! La menace vient d’un extraterrestre au physique de poulpe, aux capacités hors du commun et réputé indestructible !! Toutefois, comme il trouve que les Terriens sont de trop piètres adversaires, il décide de former la plus mauvaise classe d’une école aux techniques d’assassinat : à la fin de l’année, Nagisa et ses camarades de classe devront parvenir à tuer leur professeur !!

Ça fait des mois et des mois que mon fils me parle de ce manga. Il a d’abord vu les animés puis je lui ai pris les mangas.
Je connaissais donc globalement l’histoire :
La classe E a pour mission de tuer leur professeur, Koro Sensei, – l’espèce de poulpe jaune emblématique de cette saga qui a détruit une partie de la lune et qui menace la Terre.

J’en ai davantage appris sur les élèves et j’avoue être déçue… je pensais qu’ils avaient quelque chose de spécial, des pouvoirs exceptionnels, mais non, ce sont juste les cancres du lycée. Ils utilisent de simples armes (à base d’un caoutchouc seul capable de tuer Koro). C’est n’importe quoi !
Les cours qu’ils reçoivent sont classiques, alors Koro oriente leurs tentatives d’assassinat pour qu’ils aient quand même une infime chance de le tuer, mais ça m’a une fois de plus semblé débile.

En ce qui concerne les personnages, pas grand-chose à en dire. Que ce soit Koro ou Nagisa, ils m’ont laissée indifférente.
J’ai à peu près apprécié Karma ; je me suis ennuyée jusqu’à son arrivée. C’est un p***** de psychopathe, mais il se montre surprenant et ingénieux. Ça a relancé un peu de mon intérêt pour l’histoire.

Les dessins ne sont pas terribles. Rien d’original : ni beau, ni laid… il paraît que l’animé est mieux en tout point, si je n’accroche pas au manga, je pourrais me rabattre sur cette option.
Pour l’instant, j’ai trouvé ce premier tome assez nul. Je suis sacrément déçue. Je lirai quand même au moins un tome supplémentaire pour lui laisser une chance, mais je doute que la sauce prenne…

Death Note, tome 07 – Tsugumi Ohba & Takeshi Obata

Titre : Death Note, tome 07
Scénario : Tsugumi Ohba
Ilustrations : Takeshi Obata
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 210
Quatrième de couverture : La police est parvenue à encercler Higuchi, l’actuel possesseur du Death Note. Light parviendra-t-il à remettre la main sur le cahier ? ! Va-t-il réussir à mener à bien le plan qu’il avait mis au point avant d’être placé sous surveillance ? ! Voici un un tome riche en révélations ! !

Une fois de plus, un tome très dense avec une première partie pas forcément très intéressante, même si elle a une importance capitale : elle clôture l’arc Ryūzaki.

Le dernier Kira en date, Higuchi, a été arrêté et meurt peu après que Light a récupéré le Death Note puisque c’est le moment où il retrouve la mémoire… et comme par enchantement, on découvre que son plan roule ma poule, et ce, sans accroc. Résultat : L a perdu.
Il y a pas mal de redondances dans la première moitié : L et son équipe découvrent l’existence du cahier de la mort, et toutes les règles qui y sont notées et donc répétées par nos héros. De plus, Light réfléchit à son plan et Rem qui comprend au fur et à mesure les conséquences de sa stratégie a les mêmes réflexions. C’était un peu lourd et ennuyeux.

La seconde partie se déroule quelques années après : Kira continue de sévir, la cellule qui lutte contre lui est toujours en activité et les successeurs de Ryūzaki font leur apparition.
C’était vraiment une introduction au prochain arc : ce qui a changé au sein de la société, l’évolution des personnages issus de la cellule de crise, qui sont les deux nouveaux protagonistes et les agissements des uns et des autres pour découvrir l’identité de Kira.
J’ai bien mieux aimé cette partie que j’ai trouvée plus intéressante.

J’ai apprécié ce septième tome, j’essaierai de lire le prochain en septembre.

My Hero Academia, tome 01 : Izuku Midoriya, les origines – Kohei Horikoshi

Titre : Izuku Midoriya, les origines
Saga : My Hero Academia, tome 01
Auteur : Kohei Horikoshi
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Dans un monde où 80 % de la population possède un super-pouvoir appelé alter, les héros font partie de la vie quotidienne. Et les super-vilains aussi ! Face à eux se dresse l’invincible All Might, le plus puissant des héros ! Le jeune Izuku Midoriya en est un fan absolu. Il n’a qu’un rêve : entrer à la Hero Academia pour suivre les traces de son idole.
Le problème, c’est qu’il fait partie des 20 % qui n’ont aucun pouvoir…
Son destin est bouleversé le jour où sa route croise celle d’All Might en personne ! Ce dernier lui offre une chance inespérée de voir son rêve se réaliser. Pour Izuku, le parcours du combattant ne fait que commencer !

Je ne m’attendais pas à une telle lecture : les super-héros vu par les japonais. Pourtant entre le titre et la présence de All Might sur la couverture, j’aurais dû l’anticiper.

Dans ce monde, 80% des humains ont un alter, c’est-à-dire des pouvoirs. Malheureusement, ce n’est pas le cas d’Izuku. Il n’a aucun alter alors qu’il rêve d’être un super-héros. Il prévoit de passer les examens d’entrée pour le lycée Yuei réputé pour former les meilleurs super-héros.
Ses ambitions ne sont pas du goût de Bakugo, un élève de sa classe qui le harcèle depuis des années.
Tout change le jour où un vilain attaque Izuku puis Bakugo, obligeant All Might à intervenir.

L’histoire est originale… oui et non. Y a du bon et du stéréotypé. Ce qui fait la force de ce récit, ce sont les personnages.
Izuku est un pleurnichard, mais j’ai trouvé que c’était souvent justifié. J’adore quand il fait ses yeux larmoyants, c’est drôle… autant que son surnom « Deku » qui signifie « bon à rien », ce n’est pas très flatteur, mais il le porte bien.
En ce qui concerne Bakugo, je ne l’apprécie pas… pour le moment. C’est le personnage préféré de ma fille et je ne comprends pas pourquoi. Il est arrogant, antipathique et harceleur. Je verrai par la suite comment il évolue.
Pour All Might, je déteste le character design de son alter, il me fait penser au Protecteur dans la série The Boys. Pourtant, la similitude n’est que physique. Je l’apprécie énormément lorsqu’il n’est pas transformé.
Il y a d’autres personnages, mais ils sont trop nombreux et pas assez présents dans ce premier tome pour que je m’attarde dessus.
J’ai adoré cette lecture, c’était dépaysant à souhait.

The Quintessential Quintuplets, tome 06 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 06
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Alors que les examens de fin de semestre approchent à grands pas, Nino et Itsuki se sont violemment disputées et ont chacune quitté la maison. Yotsuba, quant à elle, se laisse accaparer par le club d’athlétisme. Pas facile pour Fûtaro d’honorer ses engagements auprès du père Nakano quand trois élèves sur cinq manquent à l’appel ! Et comble de malchance, c’est le moment que choisit la petite fille de la photo pour réapparaître dans sa vie !

Je ne suis toujours pas super motivée pour poursuivre cette saga, mais comme je l’ai commencée et qu mon fils a toute la collection, je vais continuer tant que je ne tombe pas sur un tome qui me dégoûte.

Il n’y a pas beaucoup d’événements, l’histoire suit son cours :
– Uesugi se retrouve face à une fille qu’il a aidé cinq ans auparavant. Il me semble que c’est l’une des quintuplées, mais je ne me souviens plus si on sait laquelle. Et il est tellement nul qu’il est incapable de les reconnaître. Quel boulet !
– Nino et Itsuki sont toujours fâchées. L’une vit à l’hôtel tandis que l’autre s’est installée chez Uesugi.
– Yotsuba est débordée entre les révisions et le club d’athlétisme.
– Les examens approchent et Uesugi prend une décision drastique.
Voilà pour les faits. Et je n’ai malheureusement pas grand-chose d’autres à dire.

C’était une lecture sans surprise, c’était malgré tout plaisant : je me suis laissé porter par le récit, sans me poser de questions.
Celle que j’aime définitivement, c’est Miku. Elle est posée, elle a des paroles très sages et surtout justes. J’ai adoré le discours qu’elle fait à Nino sur les changements. Ça m’a parlé.

En conclusion, je dirais que j’ai bien aimé cette lecture, ça ne m’a pas paru long pour une fois.

Beyond The Clouds : La fillette tombée du ciel, tome 5 – Nicke

Titre : Beyond The Clouds : La fillette tombée du ciel, tome 5
Auteur : Nicke
Éditeur : Ki-oon (Kizuna)
Nombre de pages : 212
Quatrième de couverture : Mia et Théo partent en direction de Karatope, la cité aux mille marchands, à la recherche d’un professeur capable d’aider la fillette à maîtriser ses pouvoirs. Sur place, ils consultent un voyant peu coopératif.

Ça fait un moment que ce cinquième tome est dans ma Pile À Lire, j’aurais pu le lire à sa sortie puisqu’il est le dernier de cette saga, mais j’en ai été incapable pour deux principales raisons :
– le précédent m’avait déçue et je redoutais qu’il en soit de même pour celui-ci
– j’aime tellement l’univers que terminer cette saga signifie le quitter définitivement et je n’en avais pas envie.

Théo et Mia quittent la famille de boulanger et reprennent la route pour débusquer un magicien à Holpe afin qu’il apprenne à Mia à contrôler ses pouvoirs. Malheureusement, la poisse les poursuit : le bonhomme est mort et il ne reste plus que son incompétent d’apprenti.

De nouveaux personnages apparaissent : Rag et Gina. J’ai aimé ce duo qui est tout aussi sympathique que les protagonistes rencontrés dans les tomes précédents et chacun apporte quelque chose au récit et permet à nos héros d’évoluer, de grandir et de s’améliorer.
On découvre également le passé de Théo. Il me semble qu’on avait quelques informations au sujet de sa famille et de son frère, mais pas grand-chose. Là, un pan de sa vie et de ses relations familiales nous sont dévoilés, ce qui était pas mal.
Parmi les révélations importantes, on sait enfin qui est Mia. Je n’ai pas trouvé ça surprenant, pourtant, c’était plaisant d’écouter son histoire aussi poétique qu’onirique.

Les dessins sont beaux, surtout le character design. Les paysages sont toujours moins bons qu’au début, mais dans la postface, on a une explication à cette baisse graphique et ce qui me semblait incompréhensible l’est soudain devenu, ce qui est moins frustrant pour moi.
Bref, je conclurai en disant que j’ai passé un excellent moment avec ce cinquième tome que j’ai adoré.