Death Note, tome 05 – Tsugumi Ohba & Takeshi Obata

Titre : Death Note, tome 05
Scénario : Tsugumi Ohba
Illustrations : Takeshi Obata
Éditeur : Kana (Dark)
Nombre de pages : 199
Quatrième de couverture : Light et Misa sont toujours isolés, Ryuzaki cherchant à les faire parler de Kira. Mais le chef Yagami ne peut pas laisser faire sans rien dire. il demande donc à être enfermé lui aussi, jusqu’à la libération de son fils. Mais voici que les meurtres reprennent…

On arrive à la partie de l’animé que j’aime le moins.
Light a demandé à Ryûzaki de l’enfermer afin d’être fixé sur son identité : est-il Kira ou pas ? C’est pendant cette captivité que Light renonce au Death Note. Pendant un temps, les meurtres s’arrêtent avant de reprendre. L a dû mal à accepter l’évidence : Light est innocent. Au bout de deux mois, il n’a pas trop le choix et le libère. Ensemble, ils enquêtent sur le nouveau Kira et leur piste les mène à la société Yotsuba.

C’était long : il y a beaucoup de dialogues et le rythme de l’histoire est lent. C’est normal entre doutes, suspicions et investigations, tout doit se décanter.
Autant les parties avec L, Light ou même Misa dans leur nouveau quartier général ne m’ont pas dérangée ; ce qui m’a ennuyée, c’est surtout les réunions des huit – leur premier conseil permet de comprendre ce qui se passe, mais les suivants n’apportent pas grand-chose.

Les dessins sont aussi beaux que d’habitude. J’ai pris le temps de m’attarder sur les visages des personnages, leurs expressions ; leurs yeux sont fascinants et je me suis surprise à en suivre les contours avec un crayon imaginaire.
Je n’ai pas grand-chose d’autre à dire de plus. Cette lecture m’a laissée indifférente. Je sais ce qu’il va se passer dans les prochains, mais je suis quand même curieuse de découvrir ce que les auteurs nous réservent (notamment les différences susceptibles d’apparaître par rapport à l’animé).

Netsuzou Trap : NTR, tome 2 de Naoko Kodama

Titre : Netsuzou Trap : NTR, tome 2
Auteur : Naoko Kodama
Éditeur : Taifu comics (Yuri)
Nombre de pages : 166
Quatrième de couverture : Après un court séjour au ski, un fossé s’est creusé entre Yuma et Takeda, son petit copain. Il commence à douter de la sincérité des sentiments de son amoureuse, et malgré tout ses efforts, celle-ci ne peut s’empêcher de penser à son amie Hotaru et à ses caresses plus qu’insistantes. Mais alors que Yuma tente de mettre de l’ordre dans ses idées, elle va se rendre compte que la relation entre Hotaru et son copain, Fujiwara, n’est peut-être pas aussi idyllique qu’elle n’y paraît …
Une histoire secrète entre deux lycéennes. Comment va évoluer leur relation ?

Je ne vais pas avoir grand-chose à dire ce second tome, parce qu’il ne se passe quasiment rien.
Le week-end à l’auberge se termine et Takeda se montre courtois avec Yuma. Il aurait pu en profiter, mais il ne le fait pas. Et j’ai grandement apprécié… d’ailleurs, même si on ignore tout du passé de Takeda, je l’aime bien : il est gentil… enfin, pour l’instant.
Malgré des relations tendues au ski entre Yuma et Hotaru, leur intimité reprend doucement, avec l’inquiétude de Yuma pour son amie : Hotaru a quelque chose à l’œil et elle donne une excuse bidon.
Fujiwara commence à dévoiler son jeu et il n’est pas top.

Le point positif, c’est qu’on en apprend davantage sur le passé de nos deux héroïnes : leur arrivée au collège, et l’éloignement qui s’en est suivi. Ça les rend un peu plus consistantes.
Voila, j’ai fait le tour de l’histoire. Ça risque de devenir de plus en plus malsain au sein du quatuor, l’autrice a prévenu donc je me fais à l’idée et si je continue cette saga, il faudra que je prenne du recul. Je suis contente qu’elle ait mis un avertissement, comme ça, je sais à quoi m’en tenir.

Les dessins sont sympathiques, suffisamment suggestifs pour être dans la catégorie yuri. J’ai pris le temps de les détailler et ils m’ont plu.
L’histoire est plutôt succincte, plus que le premier tome, pourtant j’ai préféré ce second volume. Bref j’ai aimé cette lecture et je lirai volontiers la suite.

Frieren, tome 4 – Kanehito Yamada & Tsukasa Abe

Titre : Frieren, tome 4
Scénario : Kanehito Yamada
Illustrations : Tsukasa Abe
Éditeur : Ki-oon (Shônen)
Nombre de pages : 188
Quatrième de couverture : En pleine forêt, Stark se fait mordre par un monstre venimeux ! Hélas, Frieren ne s’y connaît pas vraiment en poisons, il va lui falloir de l’aide… Il se trouve heureusement qu’il y a une église dans les environs. C’est là que vit Sein, un prêtre que les trois compagnons ont sauvé d’un péril mortel quelque temps auparavant !
Grâce à sa magie, il soigne le jeune guerrier, qui est instantanément remis sur pied. Ébahi par son talent, le trio apprend alors du frère aîné de Sein que son cadet rêve depuis des années de partir à l’aventure, sans oser sauter le pas : l’elfe lui propose donc de rejoindre son groupe ! Mais contre toute attente, l’homme refuse…

Chaque fois que je lis Frieren, je suis dans tous mes états : ce manga réveille en moi des envies folles de jouer à des RPG et c’est dur d’y résister.

Le groupe d’aventuriers a réussi à convaincre le prêtre Sein de les accompagner. Ils partent donc vers le nord, un chemin semblable mais des buts différents : Frieren, Fern et Stark se rendent à Außerst afin de passer l’examen de mage niveau et être ainsi autorisés à traverser la frontière nord, tandis que Sein est à la recherche de son meilleur ami parti il y a plus de dix ans.
Ils passent donc de villages en villages. Rien de passionnant, pourtant l’ambiance qui se dégage de cette lecture est apaisante. Je me sens bien aux côtés de nos héros : ils sont proches et sont attachants.

On pouvait redouter qu’avec l’arrivée de Sein au sein du groupe, les rapports changent, mais pas tant que ça en fait. Il soude davantage l’équipe en réglant les conflits entre Fern et Stark, il est un appui pour l’elfe. Sa présence apporte beaucoup au groupe, mais aussi à l’histoire.
J’aime énormément personnage : au début, je ne savais pas quoi en penser, mais finalement je l’apprécie vraiment.

Pas la peine que je parle des dessins, ils sont superbes comme dans les précédents et j’ai pris du temps et du plaisir à les détailler.
C’est un coup de cœur pour ce quatrième tome et j’ai hâte de lire le prochain.

The Quintessential Quintuplets, tome 03 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 03
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Fûtarô n’a pas encore gagné la confiance totale des cinq sœurs, cependant, être parvenu à les réunir pour le feu d’artifice annuel lui a permis de marquer des points. Mais voilà que le couperet tombe : le père Nakano ne prolongera le contrat du jeune professeur particulier que si ses filles obtiennent de bons résultats à leur examen de mi-semestre. Malheureusement, il ne leur reste qu’une semaine de révisions. Fûtarô parviendra-t-il à relever le défi ?

Je ne sais pas trop quoi dire de ce troisième tome. Il ne se passe pas grand-chose.
Les examens approchent et Uesugi a la pression : si les quintuplées échouent, il perdra son boulot de professeur. Non pas que ça l’éclate, mais il a besoin de cet argent.
Donc une bonne partie de ce manga est consacré aux révisions entre celles qui se laissent aider et celles qui refusent.
Je me suis ennuyée sur tout cette partie de l’histoire. Les dernières pages sont un peu plus sympathiques : il se prépare une classe nature et Uesugi est en charge de l’épreuve de courage. Ce sera à suivre dans le prochain.

Si le récit n’était pas terrible, les dessins sont toujours aussi chouettes. Je me suis attardée sur bon nombre d’illustrations. Dans ce troisième tome, celle qui est le mieux dessinée, c’est Itsuki : son visage, ses cheveux et surtout ses yeux sont superbement expressifs. Je n’avais pas remarqué dans les précédents.
Ma préférée est Miku, mais c’est l’apparence d’Itsuki qui me fascine.

Je pense avoir fait le tour. C’était loin d’être une lecture passionnante et je n’ai d’ailleurs pas aimé.

Le Monstre d’Einstein, tome 3 – Ryu Miyanaga

Titre : Le Monstre d’Einstein, tome 3
Auteur : Ryu Miyanaga
Éditeur : Casterman
Nombre de pages : 272
Quatrième de couverture : Le docteur et Lerew poursuivent leur voyage à travers des eaux glacées et parviennent sur des terres gelées que Doc a bien connues autrefois. . . Un village de sorcières jadis prospère et animé, aujourd’hui dévasté. Quelle tragédie s’est produite ?

C’est le troisième et dernier tome de cette saga et je ne m’attendais pas du tout à une telle fin.

Ein et Lerew sont à la recherche d’un moyen pour les deux de cohabiter… et de survivre avec un seul cœur. Leur quête les conduit sur les traces du passé de Ein. Au passage, ils sauvent la jeune Chishiro qui le mène jusqu’à son village… le village de sorcière ou Ein a vécu il y a bon nombre d’année.
Malheureusement, quand ils arrivent, ils découvrent que le village a été détruit. Que s’est-il passé ?

Je pensais en apprendre davantage sur les origines de Ein, et pas vraiment, on ne découvre qu’un pan de sa vie : son passage dans le village de sorcière, un moment essentiel puisqu’il a beaucoup appris de Perote et ça lui a donné un but.
J’aime toujours autant le duo Lerew-Doc.
J’adorais le personnage de Perote à l’époque, mais beaucoup moins la nouvelle. Je comprends sa réaction et sa douleur, mais ça rend ses actes injustes.

Les dessins sont à nouveau plus sympathiques, j’ai pris beaucoup de plaisir à m’y attarder… sauf pendant le combat entre Lerew, Doc et leur adversaire (je tais sciemment son nom pour garder le suspens… ou la surprise), ce qui a rendu la compréhension des illustrations difficile, c’était un peu brouillon.

J’ai adoré ce troisième tome, même si la conclusion n’était pas ce que j’espérais. La fin est ouverte… on pourrait espérer une suite, mais je crois que ce n’est pas prévu. Dommage !