To your eternity, tome 03 – Yoshitoki Oima

Titre : To your eternity, tome 03
Auteur : Yoshitoki Oima
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 204
Quatrième de couverture : Imm s’est retrouvé face à un ennemi et a réussi à le vaincre de justesse. Il continue cependant sa route, accompagné de la vieille Piolan. C’est ainsi qu’il va faire la rencontre de Googoo, un jeune garçon malmené par la vie. À son contact, Imm va expérimenter de nouvelles sensations et se découvrir des capacités inattendues… Le voyage initiatique d’Imm va prendre une nouvelle dimension…

On m’a offert quelques tomes pour mon anniversaire, en août. Je vais donc pouvoir continuer cette saga.

À la fin du second tome, Imm se retrouve seul avec la vieille Piolan. On pouvait donc espérer que l’histoire reprendrait à ce moment-là. Ce n’est pas le cas, ce qui est assez perturbant.
On découvre l’histoire de Googoo, un gamin qui vit seul avec son grand frère Shin et qui travaille dur pour gagner sa vie. Malheureusement le frangin l’abandonne et il se retrouve seul. En sauvant la jolie Linh, il est victime d’un accident qui le défigure. Il est sauvé par un vieillard, « Vieux Saké », qui prend soin de lui. C’est alors qu’arrivent Piolan et Imm qui passent un certain temps chez eux.
Tout le début avec Googoo m’a semblé long. On sait bien que Imm va bientôt entrer en scène et rencontrer tous ces personnages, mais j’ai eu l’impression que ça n’allait pas finir.

J’ai beaucoup aimé les nouveaux personnages :
Linh est gentille, on sent la petite fille gâtée qui n’a pas trop le sens des réalités, mais sa réaction après la disparition de Googoo m’a émue. Ça me l’a rendue attachante.
Googoo est sympathique au début, beaucoup moins par la suite quand il se montre jaloux d’Imm. Je comprends son sentiment, mais sa réaction est inexcuable, c’était vraiment pas cool. Par contre, après sa fuite, il est top ! La relation qui se noue alors entre Imm et lui est tout bonnement géniale : l’atmosphère de bonheur pur qui se dégage de leurs échanges, de leurs jeux ! Ça m’a touchée.

Les dessins, rien à en dire, toujours aussi chouettes. Le masque de Googoo est classe. Linh est mignonne comme tout. Et quand Imm se transforme, ça me fout toujours une claque pas possible.
Les décors, quand il y en a, sont travaillés et j’ai aimé m’attarder sur chaque détail.

J’ai adoré ce troisième tome et j’ai hâte de pouvoir lire le prochain.

Toilet-bound Hanako-kun, tome 04 – Iro Aida

Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 04
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Confrontés au cinquième mystère de l’école, c’est au prix de leur dignité que Nene et Kô parviennent à en apprendre plus sur Hanako. Nene réalise alors que son ami fantôme cache un passé tragique et n’arrive plus à le regarder en face. C’est à grand renfort de donuts que l’atmosphère finit par se détendre. Mais voilà qu’un esprit menaçant fait son apparition et déclare avoir péri des mains de Hanako ! Nene doit-elle vraiment rester l’amie d’un meurtrier ? De son côté, Kô ne souhaitant plus exorciser d’esprits, décide plutôt de les aider à réaliser leur dernière volonté, en commençant par le défunt Mitsuba !

Ça fait un moment que j’avais très envie de lire ce quatrième tome, mais chaque fois, je repoussais sans réelle raison.

Dans le dernier tome, on en a appris plus sur le passé de Hanako grâce à l’un des mystères et ça a grandement perturbé notre héros, au point qu’il n’apparaît pas des masses dans ce tome-ci.
Nene se voit proposer de devenir princesse sirène. Et les avantages qui lui sont offerts sont bien tentants… seulement pour la jeune fille.
Kô se retrouve face à un esprit, Mitsuba. Il refuse de l’exorciser et décide de l’aider à partir sereinement.

Si la première partie ne m’a pas convaincue, il y avait trop de flou et de questions sans réponse, la seconde avec Kô m’a d’abord fait beaucoup de bien et m’a émue.
On en apprend davantage sur les rumeurs modifiées, donc comment elles sont changées et la manière dont elles se propagent, mais toujours pas d’explications claires sur la raison de ces changements.

Les dessins me plaisent toujours autant. J’aurais pu lire plus rapidement ce quatrième tome, mais je me suis longuement attardée sur les illustrations, à contempler les postures des personnages, la fluidité de leurs vêtements et de leurs cheveux, l’expression de leur visage – leurs yeux sont expressifs et me plaisent énormément. Je suis décidément fan de cette saga.
J’ai adoré ce quatrième tome et je prévois de lire le suivant le mois prochain.

Automne frissonnant
Ghost Hunt (exorcisme, chasseur de fantôme, possession, enquête)

 

The Quintessential Quintuplets, tome 02 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 02
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Fûtarô Uesugi a décroché un petit boulot très bien payé : professeur particulier. Mais ses élèves, des quintuplées, lui donnent du fil à retordre. Alors qu’il a enfin obtenu la confiance de Miku, il est malencontreusement surpris en flagrant délit de position douteuse envers Nino. Accusé d’agression sexuelle, parviendra-t-il à prouver son innocence seul face au clan des filles Nakano ?

J’avais déjà lu le début de ce second tome à la fin du premier. Je ne m’y attendais pas, donc c’était bizarre de relire ce passage.
Par contre, on a la conclusion du malentendu entre Fûtarô et Nino, et le verdict du procès qui est fait à Fûtarô.

Quasiment tout ce second tome est consacré à un dimanche tranquille :
Fûtarô est persuadé qu’il va pouvoir passer sa journée, mais c’est compter sans sa petite sœur, Raiha. Quand Itsuki vient apporte la paie de son professeur particulier, Raiha lui fait les yeux doux afin d’aller tous les trois au festival de feux d’artifice de Higashichô. Ils passent un bon moment avant de croiser les quatre autres filles Nakano.

Fûtarô se pose des questions sur sa relation avec les quintuplées.
On apprend aussi ce que cache Ichika et quels sont ses rapports avec le moustachu qui l’a ramenée en voiture dans le premier tome. Et à la fin, on découvre même un pan du passé de notre héros.
C’était très chouette de passer un après-midi tranquille avec eux tous. J’y ai pris beaucoup de plaisir, non seulement c’était reposant, mais ça m’a permis de voir les filles sous un jour nouveau, je les ai même trouvées attachantes.

Les dessins sont tout aussi beaux que dans le précédent, j’ai aimé détailler les illustrations : l’expression des quintuplées, leurs mouvements, la texture de leurs habits, les décors.
Cette fois, il y a moins de passages ecchi, et les mises en scène sont plus subtiles, sauf la première.

J’ai adoré ce second tome, et je lirai volontiers la prochain.

Le Conte des Parias, tome 7 – Makoto Hoshino

Titre : Le Conte des Parias, tome 7
Auteur : Makoto Hoshino
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 184
Quatrième de couverture : Quand une jeune fille désœuvrée lie son destin à celui d’un diable solitaire…
Assoiffés de guerre, Dantalion et Luther prennent d’assaut le QG de l’ordre de l’épée, mais les membres de l’organisation les attendent de pied ferme. Marbas et Wisteria accourent à leur tour pour sauver un être cher.
La bataille de Londres entre dans sa phase ultime. L’affrontement est aussi celui des passions exacerbées.

Je me triture la cervelle depuis au moins 7h pour savoir ce que je vais pouvoir dire de cet avant-dernier tome… et rien ne me vient. Donc sans surprise, ma chronique va être courte.

Il ne se passe pas grand-chose :
Dantalion et Luther affrontent le Grand Maître de l’Ordre de l’épée et démolissent le quartier de Londres où ils se battent.
– On découvre le passé du Grand Maître.
Des démons attaquent le quartier général de l’Ordre de l’épée.
– En se rendant au QG de l’Ordre, Marbas et Wisteria sont confrontés à Sytry et son nouveau contractant.

On voit très peu Marbas et Wisteria, et c’est bien dommage. Par contre, Dantalion et Luther sont bien trop présents à mon goût, et comme je ne les aime pas vraiment, ça m’a paru long.
Pourtant, ça bouge beaucoup, les combats s’enchaînent, mais ça m’a ennuyée.

En ce qui concerne les dessins, je suis partagée. Dans les grandes planches, les illustrations sont travaillées, les diables ont la classe, mais dans les vignettes classiques, c’était assez moyen.
C’était une lecture moyenne qui m’a laissée indifférente. J’essaierai de lire le huitième et dernier tome le mois prochain, histoire de terminer cette saga.

Deadpool Samurai, tome 01 – Hikaru Uesugi & Sanshiro Kasama

Titre : Deadpool Samurai, tome 01
Scénario : Sanshiro Kasama
Dessins : Hikaru Uesugi
Éditeur : Panini
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Deadpool, le plus irrévérencieux des super-héros débarque à Tokyo ! Il répond à une invitation d’Iron Man afin de rejoindre la nouvelle escouade de samouraïs des Avengers. Attiré par l’argent et une escapade à l’étranger tous frais payés, le mercenaire prend ses aises et compte bien profiter de son séjour. Mais entre l’arrivée de «collègues» super-héros, de nouveaux héros et de duels titanesques, Deadpool va avoir peu de temps pour se reposer!

Bon, alors… que ce soit clair : je n’ai pas acheté ce manga pour moi ! Ma fille le voulait donc je lui ai pris et puisque je l’avais, autant le lire tout de suite. Avant même de commencer, je n’étais pas convaincue.

Les Avengers proposent à Deadpool d’intégrer leur équipe au Japon : le Samuraï Squad. Il aime tellement être adoré qu’il accepte. Son nouveau groupe est composé d’une seule personne : Sakura spider qui a les mêmes pouvoirs que Spiderman.
Ils affrontent Loki, mais ne sont pas de taille. Ils tentent donc de recruter Neiro, une idole qui porte un symbiote semblable à Venom.

Le gros point fort de ce manga, ce sont les nombreuses références qui parcheminent le récit : que ce soit à d’autres héros Marvel (comme Colossus ou Spiderman), mais aussi à des mangas (Dr Slump, Inuyasha, Dragon Ball).
J’ai dû en louper quelques unes parce que si je connais la plupart relatives aux comics, il m’en manquait probablement pour les mangas.

Dans ce manga, Deadpool a le même humour décalé que dans les films et je ne m’y attendais pas… du moins pas autant. C’est drôle au début (je n’ai pas pu m’empêcher d’entendre la voix du doubleur Pierre Tessier chaque fois qu’il ouvrait la bouche), malheureusement à la longue, ça devient lourd et c’est moins fun.
Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages secondaires. Sakura spider est fade et inintéressante. Neiro est imbue d’elle-même et m’a exaspérée. Loki est loin d’être aussi amusant que dans le MCU.

Les dessins ne sont pas terribles. Deadpool est bien fait, il reste sous son masque et il est aussi expressif que dans les films. Mais le visage des autres est assez mal dessiné.
Je n’ai pas aimé ce premier tome. Je me suis ennuyée, à vrai dire… donc je ne pense pas lire le suivant.