Harry Potter et les Reliques de la Mort Partie 1

Comme tous les films d’Harry Potter, on a été voir celui là au cinéma… Contrairement à tous les autres, c’est probablement celui que j’ai le plus aimé. Peut-être parce que de tous les livres, le septième est celui que j’ai le moins apprécié. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant, et j’ai trouvé le film fidèle au livre tout en étant bien meilleur. L’histoire est ce qu’elle est… mais le réalisateur a vraiment réussi grâce au jeu d’acteurs (qui disons-le, est vraiment bon, on voit qu’ils ont quand même pris du galon) et aux décors qui sont vraiment magnifiques, en accord avec les événements et les sentiments des personnages, un film nettement plus adulte que les autres, de bien des points de vue. De plus, un de mes moments préférés était surement l’histoire des trois frères, graphiquement réussi, et loin d’être ce que je craignais, c’est-à-dire ennuyeux, ce que je redoutais lorsqu’Hermione a commencé à la raconter, mais du tout, ca a donc été une belle surprise ^^. Il y a également deux scènes qui m’ont marqué: celle ou seuls, Harry et Hermione malheureux et perdus essaient de retrouver un peu de l’insouciance qui devrait être leur à leur âge, en vain; et la seconde c’était après la scène de « torture » de Bellatrix sur Hermione (scène de torture qui a d’ailleurs été complètement nulle) mais le regard que lance la jeune sand-de-bourbe à ses amis lorsqu’ils arrivent… terrible!  D’ailleurs tout le film a été une bonne surprise et je suis bien contente de l’avoir vu.

Synopsis: Le pouvoir de Voldemort s’étend. Celui-ci contrôle maintenant le Ministère de la Magie et Poudlard. Harry, Ron et Hermione décident de terminer le travail commencé par Dumbledore, et de retrouver les derniers Horcruxes pour vaincre le Seigneur des Ténèbres. Mais il reste bien peu d’espoir aux trois sorciers, qui doivent réussir à tout prix.


Daybreakers

La semaine dernière nous avons regardé le film Daybreakers. On ne savait pas ce que c’était comme film, mais on a été agréablement surpris, ou presque ^^: le scénario était pas mal, malheureusement, il aurait pu être largement mieux exploité… et c’est bien dommage. Comme beaucoup de films, le scénario reste très superficiel, très vite, ça passe à de l’action pure et dure, même si de ce côté, ça reste plus light que bien des films que j’ai vu dernièrement… Malgré quelques faiblesses, je trouve que ca reste un bon film, les effets spéciaux sont pas trop mal, l’univers presque sympathique, même si c’est un grand n’importe quoi quelque part: les vampires sont fait pour être une minorité, pas une majorité ce qui rends l’histoire un peu prévisible quand même. De plus, omme chaque fois, Ethan Hawke joue bien, il est toujours aussi mignon bien qu’il ait pris de l’âge… Bref, je reste sur une note positive…

Synopsis: En 2019, les vampires ont pris le contrôle de notre planète. Les humains ne sont plus qu’une petite minorité, entretenue uniquement pour nourrir la population dominante. Edward Dalton, un vampire qui travaille dans la recherche, refuse de se nourrir de sang humain et cherche à créer un substitut au sang humain qui pourrait à la fois nourrir ses semblables et sauver les derniers spécimens d’hommes. Lorsqu’il rencontre Audrey, une jeune survivante humaine, il va découvrir un secret biologique qui peut tout changer. Désormais, fort d’un savoir que vampires et humains veulent s’approprier à tout prix, Edward va se retrouver au centre d’un affrontement absolu dont l’enjeu décidera de l’avenir des deux espèces…

Ces amours-là

Hier avec Barbouille, nous avons été voir au cinéma Ces amours-là de Claude Lelouch. Nous avons aimé aussi bien l’une que l’autre. J’ai trouvé qu’il était bien tourné, la Bande Originale est variée, parfois fraîche, parfois sombre, mais vraiment sympathique qui rappelle bien l’époque musicale de ce temps-là ^^ Le début était un peu long dans le sens ou on ne voyait pas trop ou la présentation des personnages va nous emmener, mais très vite, on a tout loisir de le découvrir. J’ai beaucoup aimé la mise en scène même si par moment, je trouvais étrange les changements de filtres, ça cassait la monotonie des images, mais bizarre quand même… Y a bien que des français pour faire ça 😛

Le moment que j’ai préféré est surement vers la fin, quand l’avocat entonne la chanson les deux oncles de Brassens… J’ai trouvé la mise en scène de ce moment précis terrible. J’adore Brassens, mais j’avoue que, même si l’air et le refrain me disait quelque chose, je ne connaissais pas vraiment cette chanson… étrange! ^^ Et que dire du moment ou un des personnage annonce: « Tout le monde sait chanter! »… Là, on a éclaté de rire avec Barbouille en pensant l’une à l’autre et en se disant que Lelouch disait ça parce qu’il ne nous avait jamais entendu chanté… Bref, le film nous a donné la pêche, on est sorti avec le sourire et avec la conviction que le chant sur Mumble risquait de fuser ces prochains temps… Je plains déjà les autres ^^

Synopsis: Le destin flamboyant d’une femme, Ilva, qui, sa vie durant, a placé ses amours au dessus de tout et se les remémore au rythme d’un orchestre symphonique. Dans cette fresque romanesque, Ilva incarne tous les courages et les contradictions d’une femme libre. Et si ce n’était pas Dieu qui avait créé la femme mais chaque homme qu’elle a aimé ?

C’est moi, Alice… Au Pays des Merveilles… Alice!

Ça y est, après des mois, on a enfin pu voir le film Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton… J’en avais entendu beaucoup de mal et très peu de compliments… Je comprends qu’on puisse être légèrement déçu par l’univers qui ne fait peut-être pas assez Timburtonesque, mais je trouve que c’est juste ce qu’il faut… Une pointe de folie dans un pays merveilleux…. En ce qui me concerne, j’ai tout bonnement adoré: je trouve que Tim Burton a réussi à garder intact l’univers d’Alice au Pays des Merveilles tout en y ajoutant une pointe de lui-même: les décors sont magnifiques, une touche de glauque quand même, mais terriblement beaux!… Pour moi, c’est une belle réussite!

Histoire: Dans l’Angleterre victorienne, Alice Kingsley, maintenant âgée de 20 ans, n’est plus une enfant. Pour fuir la pression familiale, elle s’échappe et suit à nouveau le Lapin Blanc qui était à sa recherche. Comme précédemment, elle tombe dans le trou et arrive au Pays des Merveilles, mais tout y a bien changé: ce monde merveilleux est gouverné par la tyrannique et crainte Reine Rouge. Un sauveur du nom d’Alice est attendu, Alice Kingsley n’est malheureusement pas encore celle de la prophétie…

Inception

Pour mon anniversaire, après un petit restaurant, nous avons été voir le film Inception. Je m’attendais à une grosse daube, mais j’ai été agréablement surprise… Il était sympa comme film. Le principe était bon, j’ai aussi bien aimé la façon dont il était tourné. Et la première partie était vraiment bien, sans trop de longueurs, bref, j’ai beaucoup aimé. Par contre, la seconde partie n’est faite que de baston, et j’avoue que ca gâche un peu le film, ils auraient au moins pu le raccourcir de quelques minutes. Mais bon, à part ça, c’était bien, et la fin me laisse un arrière gout de « Argh! nooooonnnnn! je veux une vraie fin! »

Histoire: Dom Cobb est un voleur expérimenté – le meilleur qui soit dans l’art périlleux de l’extraction : sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher et ne peut plus rentrer chez lui. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent  implanter une idée dans l’esprit d’un individu. S’ils y parviennent, il pourrait s’agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n’aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d’avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb connait l’existence.