Juste un petit mot pour prevenir que rien ne sera fait sur mon site de la semaine pour cause de vacances ^^
Message ecrit entre une seance intensive de montee de pentes a velo et l’aide a la preparation du repas. Bonne semaine ^^
Juste un petit mot pour prevenir que rien ne sera fait sur mon site de la semaine pour cause de vacances ^^
Message ecrit entre une seance intensive de montee de pentes a velo et l’aide a la preparation du repas. Bonne semaine ^^
Hier, nous avons été voir Madagascar 3 avec les enfants. Des trois, c’est probablement celui que je préfère. Comme les autres, il est gros, invraisemblable, et aussi peu drôle que les précédents. Pourtant, l’histoire, le choix des couleurs, les personnages secondaires font qu’il est nettement mieux que les deux premiers. Je n’ai jamais trop apprécié ce dessin-animé, mais le deux était mieux que le un, il était donc normal que je préfère encore davantage le troisième volet. Je n’ai pas particulièrement ri, le début m’a saoulé, dans la même veine que les premiers, pourtant dès le moment où les quatre compères rencontrent le cirque, ça change tout! Certes, l’otarie pleurnicheuse est un peu chiante, mais les autres sauvent le film. Ça, sans compter que du moment où le cirque se modernise, c’est un festival de couleur, un regard d’enfant retrouvé, des étoiles plein les yeux! Et comme c’est cette dernière impression qu’on garde, notre avis final sur le film est plutôt positif! Bien joué!
Synopsis: Les pingouins ont abandonné en Afrique Alex, Marty, Melman, Gloria, King Julian et ses acolytes, dans le but de rejoindre Monte Carlo, se faire de l’argent et s’acheter un avion en or pour rentrer chez eux. Les laisser-pour-compte entreprennent de les rejoindre. Une fois l’entreprise réussie, commence alors une aventure à travers l’Europe digne d’un Madagascar avec pour nouveaux compagnons des animaux de cirque.
J’avais à nouveau envie de lire une œuvre japonaise, je me suis donc lancée et ai terminé la Marche de Mina de Yoko Ogawa en une petite semaine. J’ai un peu été déçu, je m’attendais à bien autre chose. Ce n’est pas qu’il n’était pas bien, c’est qu’il était loin d’être comme bon nombre de livre nippon que j’avais lu. Si on ne m’avait pas dit que c’était un livre japonais, j’aurai juré qu’il était plutôt québécois. J’ai trouvé que la façon d’écrire de l’auteure était très proche de celle de Lucy Maud Montgomery, avec bien sûr un côté un peu plus moderne vue que l’histoire se déroule en 1972 et avec une atmosphère quand même nettement moins fraîche, on sent que l’auteure a essayé, mais en vain. De plus, j’ai trouvé que ça aurait pu être un super livre, mais c’est resté trop superficiel: on a les événements, un bout de ce que la narratrice ressent, mais ça reste très vague, aucune vraie plongée dans l’univers de la protagoniste. Pas une fois j’ai eu l’impression d’être dans l’histoire, dans sa vie, de vivre au milieu de cette famille… Au final, je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé, mais je ne peux pas non plus dire que j’ai apprécié, mon avis sur le livre est aussi superficiel que le bouquin en lui-même. Il manque quelque chose pour qu’il soit vraiment bien.
Résumé: Après le décès de son père, alors que sa mère part suivre une formation professionnelle, la petite Tomoko, douze ans, va passer un an chez son oncle et sa tante. Tout dans la belle demeure familiale est singulièrement différent de chez elle : sa cousine Mina passe ses journées dans les livres et collectionne des boîtes d’allumettes illustrées qui lui inspirent des histoires minuscules ; un hippopotame nain vit dans le jardin ; l’oncle a des cheveux châtains, il dirige une usine d’eau minérale et sa mère se prénomme Rosa.
A travers la littérature étrangère, les récits de Rosa sur son Allemagne natale et la retransmission des Jeux Olympiques de Munich à la télévision, Tomoko découvre l’au-delà de son archipel, un morceau d’Europe et une autre réalité.
Hommage aux amitiés rêveuses de l’enfance, La Marche de Mina est un roman d’initiation combinant étrangeté et tendresse, nostalgie et ironie insouciante.
Second volet des Annales du Disque-Monde, le huitième Sortilège est relativement égal au premier tome de Pratchett, c’est-à-dire relativement inégal narrativement parlant. J’ai mis beaucoup de temps à le lire et à le finir; après avoir terminé la huitième couleur, j’avais de suite enchainé sur le bouquin suivant, malheureusement, j’ai eus du mal à accrocher au début, donc j’ai trainé, trainé… Et je l’ai même abandonné un temps, me disant que je le reprendrai lorsque je serai d’humeur. Et ce temps est arrivé il y a peu. Bien entendu, j’ai dû reprendre en diagonale un bout du bouquin, mais j’ai réussi… Et si le début était laborieux, la fin était épique et beaucoup plus intéressante. certes, il y a eut des moments très vivants, bon nombre de phrases mythiques, certains passages et surtout discours très drôles. Si j’ai commencé sur une note plutôt négative, j’ai terminé le bouquin sur une note positive et je lirai probablement le troisième tome lorsque le temps s’en fera sentir. J’essaie de me faire une idée globale sur ce tome, mais je n’y arrive pas vraiment, ça reste très superficiel, mais sûrement est-ce dû à mon état d’esprit très apathique en ce moment…
Résumé: Octogénaire, borgne, chauve et édenté, Cohen le Barbare, le plus grand héros de tous les temps, réussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants? Question capitale, car le tissu même du temps et de l’espace est sur le point de passer dans l’essoreuse.
Une étoile rouge menace de percuter le Disque-Monde et la survie de celui-ci est entre les mains du sorcier calamiteux : dans son esprit (très) brumeux se tapit en effet le… huitième sortilège !
La suite de l’épopée la plus démente de la fantasy, avec, dans les seconds rôles, une distribution prestigieuse : le Bagage, l’In-Octavo, Herrena la harpie, Kwartz le troll, Trymon l’enchanteur maléfique et, naturellement, La Mort…