Escape ! Chi et la chasse au trésor – Fabien Fernandez & Konami Kanata

Titre: Escape ! Chi et la chasse au trésor
Auteur: Fabien Fernandez
Dessin: Konami Kanata
Éditeur: Glénat
Nombre de pages: 112
Quatrième de couvertureChi s’est échappée dans le parc. Sauras-tu la retrouver et découvrir avec elle tous les trésors que Yohei y a cachés ?

Quand j’ai vu ce livret à la médiathèque, je n’ai pas pu m’empêcher de l’emprunter, pour ma fille mais également pour moi.
Ça fait un moment que je vois tourner des livres « Escape » et je m’interrogeais sur leur contenu, est-ce une sorte de Livre dont vous êtes le héros ?
La réponse est oui à quelques différences près en ce qui concerne celui-ci (je ne parlerai pas des autres puisque je ne les ai pas lus). Ça ne se joue pas aux dés contrairement aux livres dont vous êtes le héros des années 80-90. Là, on choisit l’endroit où l’on veut aller, on a une description et on nous fixe un but. Pour ce faire, on a une carte avec des numéros qui nous renvoient à la page désirée et un tableau qui selon notre choix d’utiliser ensemble deux objets, nous dirige vers une page spécifique.

Ce petit livret se compose de deux aventures liées :
– la première qui est plus une introduction et permet au lecteur de découvrir le principe de l’Escape Book nous emmène au parc avec Yohei et Chi. L’espiègle chaton parvient à se détacher de son collier et s’enfuit dans le parc. À nous de le retrouver.
– dans la seconde aventure, Yohei prépare une chasse au trésor maintenant qu’on a retrouvé Chi. On doit chercher trois enveloppes contenant des croquettes pour le félin et de mignonnes photos du chaton ainsi que des cadeaux bonus. J’ai trouvé les enveloppes du premier coup. Malgré cela j’ai un peu continué, mais ça m’a un peu ennuyée.

Ça peut être une bonne idée pour faire lire un enfant qui n’ouvre jamais un bouquin, mais en ce qui me concerne, ça n’a pas convaincu mon âme d’enfant.
L’histoire est un peu comme le manga : gentillet. Et puis c’était vraiment trop facile, aucun challenge.
Ça ne m’a pas passionnée, ça s’est laissé lire, sans plus.