Bilan lecture du mois de mai 2025

Bilan de lecturePas grand-chose à dire sur le mois de mai. Emploi du temps particulièrement chargé, donc la lecture est passé au troisième plan.
J’ai lu 8 livres (5 mangas et donc 3 romans dont 1 abandon).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
 


J’ai adoré
:
 

 

Gif heureux
J’ai aimé:

Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:


Ça m’a laissée indifférente
:


Je n’ai pas aimé
:


Ça m’a trop déçue:


J’ai détesté:

On arrive donc à un total de 1924 pages (902 en mangas et donc 818 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 13/20

Challenge Goodreads : 32/100

Challenge Réduit ta PàL à néant (illimité) : 021/385


Actuellement, je lis :

Le pain noir, tome 1
Georges-Emmanuel Clancier
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Un Jeu Interdit, tome 1 : Le Chasseur – L. J. Smith

Titre : Le Chasseur
Saga : Un Jeu Interdit, tome 1
Auteur : L. J. Smith
Éditeur : Michel Lafon
Format : E-Book
Nombre de pages : 282
Quatrième de couverture : Afin d’organiser la fête d’anniversaire la plus éblouissante de l’année, Jenny décide de préparer pour ses invités une aventure extraordinaire. Dans le nouveau magasin du quartier, un énigmatique vendeur aux yeux bleus la dirige immédiatement vers « le Jeu », une expérience unique… Alors qu’elle construit le plateau avec ses amis, Jenny comprend, trop tard, les véritables règles de ce jeu. Transportés dans un monde parallèle, ils vont devoir franchir une par une les pièces d’une maison maléfique, affrontant au cours de ce voyage infernal leurs pires cauchemars.
S’ils n’y parviennent pas avant l’aube, ils resteront emprisonnés dans la maison pour toujours, à leurs risques et périls.

Lecture abandonnée à 30%

J’ai longtemps hésité avant de laisser tomber ce bouquin, mais je n’ai pas beaucoup de temps ni suffisamment de liberté d’esprit pour m’infliger un tel ennui des semaines durant.

Pourtant, l’idée de base me plaisait bien :
Jenny organise une fête d’anniversaire pour son petit-copain Tom. Dans une obscure boutique vendant des jeux de société, elle se procure un jeu dont elle ne découvre les règles que le soir avec ses amis. Le but : arriver au sommet de la tour. À chaque palier, ils doivent affronter un de leur cauchemar.
Donc ils assemblent la tour, ils notent sur un papier leur pire cauchemar et les déposent face cachée à chaque étage.
Pas besoin d’être un génie pour comprendre ce qui va arriver : on est en plein isekai et qu’ils vont être transportés dans le jeu.

Malheureusement, ça n’a pas tenu ses promesses. Les personnages sont insipides. Aucune alchimie entre eux. Leurs cauchemars sont nuls. C’est peut-être parce que c’est très mal raconté ou trop clichés. Le seul intérêt aurait pu être le grand méchant, mais il est mièvre en amoureux transi. Il m’a gonflée.

La plume de l’autrice est très inégale : parfois elle va au fond des choses et c’est vraiment bien écrit, mais le plus souvent, c’est superficiel et immature – je me suis demandée si elle avait 15 ans quand elle a écrit son roman.
Bref, je ne vais rédiger un roman sur ce qui m’a déplu donc je conclurai en disant que je n’ai pas aimé cette lecture, c’était une perte de temps, donc j’ai préféré l’abandonner.

Les Carnets de l’Apothicaire, tome 09 – Natsu Hyuuga, Itsuki Nanao & Nekokurage

Titre : Les Carnets de l’Apothicaire, tome 09
Autrice : Natsu Hyuuga
Illustration : Itsuki Nanao
Scénario : Nekokurage
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 177
Quatrième de couverture : Intrigues et poisons au cœur du palais impérial !
Après s’être lancée dans de nombreuses enquêtes et avoir sauvé un chaton qui porte désormais son nom, Mao Mao profite d’un moment d’accalmie. En effet, une caravane de marchands est de passage en ville pour proposer les plus beaux articles aux concubines comme aux dames de compagnie : vêtements, bijoux, poudres diverses, thé, épices…
Seulement, rien n’échappe à l’œil acéré de la jeune fille, et plusieurs éléments attirent très vite son attention ! Même lorsque tout semble aller pour le mieux à la cour intérieure, le danger rôde…

J’avoue que ça a été compliqué de faire la part des choses entre l’animé qu’on a commencé à regarder cette semaine et ce neuvième tome. Je pense que c’est dû au fait qu’il y a eu une histoire de champignons dans les deux et ça m’a perturbée.

Au début, il ne se passe pas grand-chose donc je me suis ennuyée. Puis on embraye sur plusieurs intrigues : celle des champignons, du miroir et de la danseuse.
Elles ont un peu titillé ma curiosité, mais mes nombreuses surcouches de fatigue ont étouffé les étincelles d’intérêt qui commençaient à m’animer à chaque indice disséminé.

Je n’ai pas grand-chose à dire sur ce neuvième tome. L’histoire s’est laissé lire. Les illustrations sont aussi jolies que dans les tomes précédents. Les relations entre les personnages n’évoluent pas vraiment.
Cette chronique aura décidément été courte. Même si je souhaitais affiner mon avis, j’en serais incapable puisque cette lecture m’a laissé indifférente.

Les enfants de la baleine, tome 14 – Abi Umeda

Titre : Les enfants de la baleine, tome 14
Auteur : Abi Umeda
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : En route vers un futur en lequel ils croient, ils ne peuvent laisser leurs amis derrière.
Lycos et Ohni ont été capturés par l’armée d’Orca.
Soucieux de protéger les habitants de l’île, Suoh déclare vouloir abandonner les deux jeunes gens à leur sort, afin d’avancer vers de nouvelles terres.
Chakuro s’y oppose violemment mais rien ne semble pouvoir ébranler la décision du capitaine…
De son côté, Orca se rebelle contre l’Empire et déclare l’indépendance du « Karxarias ». Sa majesté l’empereur a ordonné sa sanction.
Tout indique que la guerre est proche sur la Mer de sable… Chakuro, Lycos et Ohni pourront-ils se retrouver ?

La fin du tome précédent m’avait laissé sans voix.
Suoh avait pris la décision d’abandonner Lycos et Ohni à leur sort. Pour rappel, ils ont été capturés par Orca.

Bon, finalement, c’était un subterfuge pour mettre les habitants de la baleine de glaise à l’abri. En réalité, il a décidé de se rendre sur le vaisseau Karxarias afin de convaincre Orca de libérer les prisonniers et de laisser Phaleina tranquille.
Je suis tentée de dire que ce n’est pas une bonne idée. Il n’est pas le genre à changer d’avis, surtout pas depuis que les noùs lui ont bouffé ses émotions.

Franchement, il ne se passe pas grand-chose. Beaucoup de blablas… ils arrivent assez facilement jusqu’à leur interlocuteur. Puis chacun donne son opinion et sans surprise, Orca n’entend que ce qu’il veut entendre et pire : il se sert des arguments des autres pour déformer leurs propos et s’en servir pour imposer sa décision.
Le point positif est qu’il énonce clairement son plan. Je crois que ça avait déjà été évoqué précédemment, mais ça ne me semblait pas aussi explicite. Bref, les intentions et les raisons d’Orca sont claires et c’est loin d’être une bonne nouvelle.

Je n’ai rien d’autre à dire, je vais donc conclure. Ça s’est laissé lire, sans plus.

Black Butler, tome 19 – Yana Toboso

Titre : Black Butler, tome 19
Auteur : Yana Toboso
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 172
Quatrième de couverture : « Je vous en prie, sauvez monsieur ! » Une légende parle de loups-garous mystérieux dont la seule vue provoque la mort…
Pour savoir qui ils sont vraiment, Ciel et son majordome quittent l’Angleterre pour l’Allemagne. Les yeux de la descendante du clan des sorcières qui contrôle la forêt des loups-garous se mouillent de larmes.

Pour une fois, je me rappelle sans problème de ce qu’il s’est passé dans le 18. Probablement parce que ça changeait des intrigues habituelles et redondantes des tomes précédents.

Ciel, Sebastian et toute l’équipe domestique de la maison Phantomhive se rendent en Allemagne sur demande de la reine d’Angleterre afin d’enquêter sur des attaques de loups-garous. J’avoue que je ne me souviens pas trop des détails : qu’est-ce qui a motivé cette mission si loin des territoires anglais ? Le nom du village, etc. N’étant pas des points essentiels à l’avancée du récit, je les ai zappés.
Bref, nos héros enquêtent, ils traversent la forêt où vivent les loups-garous, et arrivent dans un village de sorcières au cœur des bois. Il y a évidemment un lien, mais quel est-il ?
Ciel et sa compagnie sont invités à rester pour la nuit.

On découvre de nouveaux personnages : la majorité ne sont pas hyper sympathique, mais la cheffe m’a bien plu. J’avoue que j’ai bien ri sur les méprises entre elle et Ciel dues à une incompréhension linguistique et les traductions de Sebastian n’aident pas toujours.
Ça fait longtemps que je n’avais pas passé un aussi bon moment avec cette saga. J’avais l’impression que l’auteur avait fait le tour en expliquant la rencontre entre Sebastian et Ciel qui a mené au pacte entre les deux, mais non : un événement relance les mauvais souvenirs donc ma curiosité est titillée.

J’ai rudement envie de lire la suite. J’ai le 20 dans ma pile à lire, mais pas davantage puisque vers le 10ème tome, la saga me saoulait donc j’ai arrêté de me les faire offrir.
En tout cas, j’ai adoré cette lecture, ça a fait du bien.