20th Century Boys, tome 02 – Naoki Urasawa

Titre : 20th Century Boys, tome 02
Auteur : Naoki Urasawa
Éditeur : Panini
Nombre de pages : 206
Quatrième de couverture : Kenji continue tranquillement son enquête et découvre que cet « Ami » pourrait en fait être un ancien de ses camarades d’enfance. Il retrouve aussi la belle Yukiji qui, alors qu’ils étaient enfant, était réputée pour être « la fille la plus forte du monde ». Entre les deux jeunes gens semble se nouer une drôle de complicité, mais Kenji a du mal à passer le cap !

J’ai pris beaucoup de plaisir à reprendre cette saga. Certes, je me souviens de détails marquants, mais j’en ai occulté d’autres pourtant, ils sont tout aussi importants.
Par l’intermédiaire de différents personnages, on découvre davantage la secte Ami, ses origines, ses ramifications, sa prochaine cible, etc.

Kenji se débat avec ses problèmes financiers : il a transformé le magasin d’alcool de son père en konbini, sauf qu’il ne fait pas les ventes prévues et le responsable de la franchise est sur son dos. Il laisse un peu de côté l’énigme Ami, mais son passé le rattrape.
Un nouveau personnage fait son apparition : Dieu. C’est un vieillard sans domicile fixe qui voit l’avenir. Je sais qu’il a une grande importance par la suite, mais je ne me souvenais plus du tout qu’il avait ces « pouvoirs ». Par contre, je sais que je l’aimais bien.

J’apprécie toujours autant les personnages. De base, ils sont sympathiques, mais plus je découvre leur passé, plus ce sentiment est renforcé.

L’histoire se met doucement en place, mais elle a déjà de bonnes bases et est bien ficelée. Le seul inconvénient pour moi est qu’ayant lu les tomes suivants, même si ça commence à remonter maintenant, je me souviens de certains détails et je ne parviens pas à déterminer si mes connaissances sont des réminiscences des tomes précédents ou des suivants.

Bref, concluons puisque je dois retourner travailler : j’ai adoré ce second tome ; j’ai hâte de lire le prochain.

Bilan lecture du mois de juillet 2025

Bilan de lectureJ’aurais dû pouvoir lire beaucoup plus en ce mois de juillet 2025 puisque j’ai eu deux semaines de vacances, mais les événements ont fait que je n’ai pas pris le temps désiré. Dommage !
J’ai lu 6 livres (5 mangas et donc 1 roman).
Commençons sans plus tarder:


J’ai adoré
:
   


Gif heureux
J’ai aimé:



Je n’ai pas aimé
:

On arrive donc à un total de 1453 pages (995 en mangas et donc 458 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 13/20

Challenge Goodreads : 42/100

Challenge Réduit ta PàL à néant (illimité) : 27/385


Actuellement, je lis :
Messe noire
Peter Straub
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :

Les cerfs-volants de Kaboul – Khaled Hosseini

Titre : Les cerfs-volants de Kaboul
Auteur : Khaled Hosseini
Éditeur : France loisirs
Nombre de pages : 458
Quatrième de couverture : Dans les années 70 à Kaboul, le petit Amir, fils d’un riche commerçant pachtoune, partage son enfance avec son serviteur Hassan, jeune chiite condamné pour ses origines à exécuter les tâches les plus viles. Liés par une indéfectible passion pour les cerfs-volants, les garçons grandissent heureux dans une cité ouverte et accueillante. Ni la différence de leur condition ni les railleries des camarades n’entament leur amitié. Jusqu’au jour où Amir commet la pire des lâchetés…
Été 2001. Réfugié depuis plusieurs années aux États-Unis, Amir reçoit un appel du Pakistan. « Il existe un moyen de te racheter », lui annonce la voix au bout du fil. Mais ce moyen passe par une plongée au cœur de l’Afghanistan des talibans… et de son propre passé.

Je ne sais pas trop quoi dire à propos de cette lecture. J’en avais entendu beaucoup de bien et je confirme : il est vraiment bien.

C’est une histoire qui se déroule sur une trentaine d’années : des années 70 jusqu’à 2001.
Les personnages sont Afghans : donc on découvre leur vie avant et après.
Amir grandit avec Hassan, le fils de leur domestique Ali qui est le frère de lait de Baba, le père d’Amir, mais surtout un Hazara (ethnie méprisée par les autres Afghans).
Lors du traditionnel concours de cerfs-volants à Kaboul, un événement va frapper Amir et Hassan et les éloigner l’un de l’autre.
J’avoue que c’était un passage éprouvant et la suite l’est tout autant. Ça m’a mise en colère.

Puis on a droit à une ellipse de 5 ans : Baba et Amir fuit l’Afghanistan pour les États-Unis où ils s’installent. Qu’est devenu Hassan ?
En ce qui me concerne, j’étais tout aussi intriguée par les événements historiques que par le sort d’Hassan. Je ne me souvenais plus de ce qui s’était passé là-bas. En faisant des recherches, ça m’est revenu : les talibans montés au pouvoir, des images vues aux informations quand j’étais adolescente… par contre, j’ignorais qu’avant ça, les russes avaient envahi l’Afghanistan. Donc ça m’a permis de replacer cette histoire dans ma temporalité historique déficiente.

En ce qui concerne les personnages, je suis partagée. Ils sont attachants, mais Amir est décevant, du moins, tant qu’il vit à Kaboul. Par la suite, la vie se charge de rééquilibrer les forces.
Quant à Hassan, il est trop gentil et trop aimant envers Amir qui ne le mérite pas.

J’ai eu des moments où le récit était tellement passionnant que c’était compliqué de s’arrêter et d’autres où c’était tout aussi intéressant pourtant moins captivant. L’ambiance est prégnante, je pense que je vais avoir du mal à prendre du recul et à passer à la prochaine lecture.
J’ai adoré cette lecture.

Solo Leveling, tome 18 – Chugong, Disciples (Redice Studio) & h-goon

Titre : Solo Leveling, tome 18
Auteurs : Chugong, Disciples (Redice Studio) & h-goon
Éditeur : Delcourt (Kbooks)
Nombre de pages : 240
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.

Je savais que ce dix-huitième tome contiendrait des spin-offs de la saga. Je m’attendais vraiment à suivre des personnages secondaires rencontrés au fil des aventures de Jinwoo. Finalement, non.
On en croise certains dans ce tome, on découvre ce qu’ils sont devenus, mais ils ne sont pas les héros des chapitres.
Sauf les ombres qui ont des passages dédiés, ce que j’ai grandement apprécié. La manière dont c’est traité est plaisante : ils nous partagent leur ressenti, les relations qu’ils avaient avant d’être au service de Jinwoo et leur première rencontre avec le maître des ombres. J’ai adoré ces parties.

Ce tome est un tremplin vers la suite puisqu’on suit notre héros dans sa nouvelle vie, notamment avec Cha Hae-In et on fait la connaissance de son fils.
J’avais trouvé le tome précédent inintéressant. Celui-ci l’est beaucoup plus et a aussi plus de sens : une transition vers la suite avec un contexte et surtout le background mis en place du prochain héros. Le fils de Jinwoo ne vient pas de nulle part, on le connaît un peu.
D’ailleurs, j’adore sa relation avec Ber ou les disputes incessantes qu’il provoque entre Igrit et Bellion. C’était très drôle.

L’histoire n’est certes pas aussi passionnante que les tomes précédents, mais j’ai passé un excellent moment, j’ai ri par moment ce qui m’a fait du bien.
J’ai beaucoup aimé cette lecture et maintenant, j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain et si le scénario réussira à se renouveler.

Battle Game in 5 seconds, tome 04 – Kashiwa Miyako & Saizou Harawata

Titre : Battle Game in 5 seconds, tome 04
Scénario : Saizou Harawata
Illustrations : Kashiwa Miyako
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 208
Quatrième de couverture : Le combat à mort entre l’équipe verte et l’équipe rouge est sur le point de commencer.
Pour remporter des points, Akira et ses camarades partent à la chasse aux goules. Mais l’équipe verte se retrouve dans une impasse quand surgit une goule géante, contre laquelle le canon d’Akira et les attaques de Yûri ne peuvent rien… Comme si ça ne suffisait pas, voilà que les rouges, les ennemis des verts, débarquent sur les lieux du combat…
La tension monte entre les deux équipes qui se font face, mais Mion annonce soudain un nouveau jeu… La chasse au roi va commencer !

Un quatrième tome aussi bien que les précédents.
Nos héros sont dans une phase de jeu stagnante. Tous les joueurs qui sont arrivés à ce niveau y restent parce que c’est moins risqué : ils gagnent des points en remplissant des quêtes et peuvent acheter ce dont ils ont besoin pour survivre.
Ils se sont organisés en 3 groupes :
– les bleus sont des électrons libres où chacun fait ce qu’il lui plaît,
– les rouges sont des psychopathes qui récupèrent les nouveaux pour en faire leurs esclaves et les envoyer au casse-pipe quand ça leur chante,
– les verts se sont réunis en une communauté solidaire et sont constitués de vieux comme d’enfants.

Dans ce quatrième tome, une grosse quête est lancée : les verts s’organisent, les rouges les espionnent. C’est galère, mais nos héros s’en sortent, mais c’est sans compter Mion (l’arbitre cruelle du jeu) qui leur tend un piège.
Akira étant un fin stratège, on ne peut pas dire que cette lecture était très reposante. Toutefois, ça m’a plu. Le rythme combat-scénario est bien équilibré, je n’ai donc pas eu la sensation de lourdeur comme dans le quatrième tome de A fantasy lazy life, peut-être aussi parce que le scénario est mieux ficelé… je ne sais pas.

Le seul bémol sont certains dessins lors des combats, parfois, ils font très brouillons avec les 10 millions de traits simulant le rapidité de mouvement ; j’abuse un peu, mais c’est un fait que ça a quand même ralenti ma lecture alors que je n’en avais pas particulièrement envie.
Ça ne m’a pas empêché d’adorer ce quatrième tome et vu la manière dont ça se termine, j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain tome.