Les Loups-Garous de Thiercelieux, tome 1 : Lune rousse – Paul Beorn & Silène Edgar

Titre : Lune rousse
Saga : Les Loups-Garous de Thiercelieux
Auteurs : Paul Beorn & Silène Edgar
Éditeur : Castelmore
Format : E-book
Nombre de pages : 261
Quatrième de couverture : L’une vit le jour, l’autre vit la nuit…
1846. Un soir d’automne, le ciel est rouge au-dessus du village de Thiercelieux.
Lapsa et Lune ont grandi ensemble mais cette nuit-là, l’appel de la lune rousse va les séparer. Lapsa découvre qu’on lui a menti sur la mort de ses parents et se jure de découvrir la vérité. Lune se lance à la poursuite d’un loup noir, jusqu’à un coffre caché sous un rocher. À l’intérieur : des masques de loups, un poème oublié qui parle de vengeance…
Un masque sur le visage, la jeune fille se sent soudain investie d’une force animale. Elle fait le serment de lutter contre les injustices qui frappent le village.
Mais la malédiction des loups, surgie du passé, ne risque-t-elle pas de bouleverser Thiercelieux et de les dépasser toutes les deux ?

J’ai mis un temps fou à lire ce roman : 3 semaines. Ce n’est parce qu’il était compliqué, ou inintéressant, mais je n’ai pas réussi à entrer dans le récit.
J’ai joué au jeu de société les loups garous de Thiercelieux les premières années de sa sortie, peu après 2001, parce qu’on était un gros groupe d’amis et qu’on n’avait peu de jeux qui nous permettait de jouer tous ensemble. Il n’y en avait que 2 : Elixir et les loups garous de Thiercelieux. On a donc souvent alterné entre les deux.

J’étais donc curieuse de découvrir la vision de Silène Edgar et Paul Béorn (qui a priori, est également celle des créateurs du jeu). J’avoue que je ne la partage pas. Pour moi, c’était un univers inquiétant… quand la nuit tombe, les monstres sortent… à la fin du tour, on se concerte, on vote, avons-nous trouvé l’un des loups-garous ou avons-nous condamné un innocent ? Si on a ouvertement soupçonné un vrai loups-garous, serons-nous sa victime la nuit suivante ?
Là, les loups-garous sont gentils… ce sont 3 jeunes du villages qui n’ont pas eu la vie facile ou qui sont en colère et ils s’en prennent aux villageois qui se comportent mal. Il y a bien un quatrième larron beaucoup moins sympathique.
Mon avis instinctif sur ce dernier était bien différent de celui des personnages principaux et je me suis doutée de son identité vers la moitié du roman. Tout était cohérent, mais quelque chose me dérangeait.

Les personnages sont sympathiques, suffisamment pour qu’on les trouve attachants.
Le récit est bien ficelé : cohérent et fluide.
Le binôme Paul Beorn et Silène Edgar fonctionne bien, comme toujours.
Malheureusement, la sauce n’a pas pris.Ça a été une bonne lecture, sans plus.

Soul eater, tome 03 – Atsushi Ohkubo

Titre : Soul eater, tome 03
Auteur : Atsushi Ohkubo
Éditeur : Kurokawa
Nombre de pages : 180
Quatrième de couverture : Black*Star et Death The Kid font équipe dans une quête qui les mènera à l’épée sacrée, Excalibur. La légende dit que celui qui arrivera à retirer l’épée de son socle sera sacré roi et considéré comme un héros dont on louera le nom sur plusieurs générations. Mais en découvrant la vraie nature de cette lame légendaire, nos deux meisters risquent de vite déchanter. Dans la seconde partie du tome, le trouble passé de Tsubaki remontera à la surface pour hanter la malheureuse jeune fille ?

Un troisième tome aussi bien que les précédents.
Des morceaux d’histoires qui s’enchaînent et nous présentent de nouveaux personnages :
– l’épée Excalibur que Kid et Black Star trouvent au fin fond d’une grotte. Après cet épisode, on comprend mieux pourquoi cette arme légendaire est restée (sciemment) introuvable.
deux sorcières (de la grenouille et des souris) s’opposent à Medusa. Les pauvres ne font pas le poids.
le frère de Tsubaki qui menace de devenir un dévoreur d’âme.
– le démon qui hante Soul depuis qu’il a été contaminé par le sang noir. J’attendais avec impatience ce passage pour voir s’il était aussi bien que dans l’animé et ce n’est pas le cas. Il est moins dissonant que ce soit visuellement ou musicalement (forcément, il n’y en a pas), ce qui est un vrai partie pris. Et puis le passage est lent dans la série, ce qui renforce l’angoisse. C’est juste génial, alors que là, c’est fugace et beaucoup moins intense.

Il y a deux autres personnages qui prendront de l’importance par la suite (de ce que je me souviens de l’animé), mais là, ils ne font qu’une apparition éclair.
Certaines de ces rencontres ouvrent la porte aux souvenirs et au background de personnages comme Black*Star et Tsubaki. J’ai beaucoup aimé ça.
J’ai passé un super moment avec ce troisième tome et j’ai hâte de lire le suivant.
Bref, j’ai adoré cette lecture.

Bilan lecture du mois de septembre 2025

Bilan de lectureZut, j’ai oublié de faire mon bilan du mois de septembre, comme quoi je suis vraiment surbookée. On est début novembre, donc un mois de retard – pas grave, je planifierai cette publication pour qu’elle soit publiée à la bonne période.
J’ai lu 7 livres (5 mangas et donc 2 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:



J’ai adoré
:
 


Gif heureux
J’ai aimé:
 



Ça m’a trop déçue:

On arrive donc à un total de 1776 pages (906 en mangas et donc 870 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 13/20

Pumpkin Autumn Challenge : 05/12

Challenge Goodreads : 56/100

Challenge Réduit ta PàL à néant (illimité) : 036/385


Actuellement, je lis :
Lune rousse
Paul Béorn et Silène Edgar
(0%)

 

 

Le renard et le petit tanuki, tome 7 – Mi Tagawa

Titre : Le renard et le petit tanuki, tome 7
Auteur : Mi Tagawa
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 191
Quatrième de couverture : Animaux magiques et folklore japonais : un conte touchant pour faire grandir les petits… et les grands !
Senzo fait enfin face au diabolique Gyokumen, prêt à prendre sa revanche pour toutes les épreuves qu’il a subies à cause de lui… mais l’esprit maléfique n’est pas seul ! Funazuki et Shizukaze, à présent sous l’influence des miasmes, attaquent non seulement le renard noir mais aussi leurs collègues loups, qu’ils ne reconnaissent plus.
C’est là que Manpachi et ses compagnons, guidés à travers la brume par les bruits du combat, arrivent sur le champ de bataille… Le petit tanuki se métamorphose, bien décidé à sauver la situation !

C’est le dernier tome de cette saga. Je suis un peu triste de quitter Senzo et Manpachi,, mais on a un peu fait le tour de l’histoire, donc c’est pas plus mal que ça s’arrête.

Gyokumen, le gros méchant qui veut tout détruire et s’est servi un temps de Senzo pour ça, a réussi à disperser des miasmes remplis de haine. Ce qui a pour conséquences de transformer les émissaires des dieux (les loups et les renards en l’occurrence) en êtres mauvais et violents, ne reconnaissant plus leurs proches. Senzo finit par se confronter à son nemesis. Manpachi, quant à lui, est suffisamment puissant pour aider les uns comme les autres.
Autant j’ai aimé l’affrontement entre le renard noir et Gyokumen, autant la fin m’a laissée un goût amer.

La première partie est top, elle est cohérente avec la trame de l’histoire. On apprend qui est réellement Gyokumen et pourquoi il agit ainsi. Et ce n’est absolument pas une bonne raison.
Nos héros réagissent de manière cohérente par rapport à leur caractère. J’ai été émue par certains passages qui m’ont touchés.
Par contre, j’ai eu un peu de mal à faire le lien entre les loups et leur version humaine, ce qui n’était pas forcément agréable. J’aurais peut-être dû relire la fin du tome précédent.

Pour moi, le gros bémol, c’est la seconde partie, ça part en cacahuètes. Des loups qu’on ne connaît pas abordent Senzo, son boss qui est producteur veut faire un film sur lui… n’importe quoi ! Il y a des scènettes mettant en lumière d’autres personnages qui viennent comme un cheveux sur la soupe, tu ne comprends pas ce qu’ils font là et surtout pas ce qui se passe.

En fait, ça donne l’impression que la fin est torchée. Ce qui est dommage pour une saga d’une telle qualité.
Même si dans l’ensemble, j’ai aimé ce septième tome, j’avoue que je suis quand même un peu déçue par la fin.

La Sorcière aux champignons, tome 5 – Tachibana Higuchi

Titre : La Sorcière aux champignons, tome 5
Auteur : Tachibana Higuchi
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Luna, accompagnée de Claude, Lisé et Minos, se rend en ville pour venir en aide à une vieille connaissance. Prise pour une sorcière noire troublant l’ordre public, elle se fait malheureusement arrêter par les sorcières blanches. Au même moment, la Ruine apparaît dans la ville…

C’est une lecture qui m’a paru très longue. Il m’a fallu une bonne semaine pour la lire sûrement parce que je n’étais pas motivée et puis, j’avais d’autres priorités professionnelles, notamment.
Comme les tomes précédents, le récit est très lent. Habituellement, ça ne me pose aucun souci, au contraire, j’apprécie ça : ça m’apaise. Cette fois, ça m’a ennuyée.

Le magicien du vent est chargé de faire passer à Lisé une première épreuve qui déterminera s’il doit vivre ou mourir puisqu’il est un enfant maudit et en tant que tel, il risque de provoquer la Ruine.
Après cette évaluation, les choses devraient logiquement bouger, ben non. On revient à un rythme normal, similaire aux tomes précédents et en attente de la prochaine étape.

On voit très peu Luna. On est focus sur les sentiments de Lisé, ses interrogations, ses craintes, etc.
Et à la fin, on découvre le passé du magicien du vent : comment il a découvert ses pouvoirs, les conséquences que ça a eu, son cheminement jusqu’à devenir un magicien noir, ce qui a aboutit à sa rencontre avec Luna.

C’est fou, mais tout m’a laissée indifférente. Je n’ai pas pris de plaisir à lire ce cinquième tome.
Les dessins sont toujours aussi beaux, mais je n’ai aucune envie de m’attarder dessus. Cette fois, la sauce n’a pas pris et je ne peux même pas dire que c’est une déception parce que je sais que le problème vient de moi et pas cette lecture.