Le chant des Aquadèmes – Jean Lavie

Titre : Le chant des Aquadèmes
Auteur : Jean Lavie
Éditeur : La compagnie littéraire
Nombre de pages : 383
Quatrième de couverture : Saint-Colomban-les-Vignes, 1278, le 3 août. Les travaux de construction du pont allaient bon train jusqu’au jour où Thomas, jeune moine pontifice, rapporte les nouvelles d’une succession de noyades inquiétantes sans que la grève ne retourne aucun cadavre. Serait-ce la malemort ? Quelques temps après le jeune homme s’éprend de Maud, une belle et jeune paysanne curieusement attirée par le pont déserté car jugé maudit par certains. L’histoire dit que lorsqu’ils sont bâtis par les hommes au-dessus des rivières, des lacs et des étangs, les ponts abritent d’étranges créatures connues sous le nom d’Aquadèmes.

Avant tout, je tiens à remercier Masse Critique Babelio ainsi que La compagnie littéraire pour l’opportunité qu’ils m’ont offert de découvrir ce passionnant roman qu’est le chant des Aquadèmes.
Le résumé m’avait bien plu, mais j’étais loin d’imaginer une telle épopée : un voyage à travers les époques et les ponts qui traversent toute les rivières du monde.

Dans ce roman, on suit plusieurs personnages :
en 1278, Maud est une Aquadème c’est-à-dire une créature pensante (boule de lumière translucide) qui vit dans les piles des ponts avec d’autres membres de son espèce – je vais éviter d’en dire trop sur ce peuple complet et complexe, afin de laisser la surprise aux lecteurs. Chacun a un rôle dévolu et celui de Maud est d’être une chasseresse : elle tue les humains afin de fournir aux siens des corps qu’ils pourront s’approprier et utiliser.
Les choses changent quand elle tombe amoureuse de Thomas, un moine de l’ordre des pontifices. Elle le rencontre, tous deux tombent amoureux et… non, je vais m’arrêter là pour ne pas spoiler.
en 1676 à Florence, c’est l’humain Fabbricio qui nous est présenté : assassiné par le frère de son amante, il tombe dans l’Arno où l’Aquadème Ludivici prend possession de son cadavre. Le souvenir de Victorina, la maîtresse de l’homme tué, hante l’être des ponts, il se met à sa recherche et fait la connaissance du brillant docteur Balthazar Bianco.
en 1944 en France, les trois frères et sœur Thibault, Manon et Vincent commettent leur premier acte de terrorisme et détruisent un pont au nom de la résistance. Ils vont rapidement rencontrer un Aquadème survivant et s’en faire un ami…

Les années énoncées couvrent les deux premières parties du roman et ce sont celles que j’ai le mieux aimées.
La plume de l’auteur, Jean Lavie, est fluide. Il est passionné d’histoire et ça se sent, il est parvenu à m’emporter au fil des pages dans un récit moyenâgeux ou s’entremêlent différentes intrigues religieuses (entre le prieuré, les templiers, les pontifices) puis lors de la Renaissance avec ses références artistiques (peinture aussi bien que musique). Je n’ai eu aucun mal à m’immerger dans l’ambiance instaurée et j’ai adoré ça.

J’ai moins apprécié la troisième partie parce qu’elle se déroule à une époque plus moderne : 1970, 2009 et jusqu’à 2029. C’était moins stressant et moins dépaysant, pourtant le récit nous emmène plus loin, en Asie (Thaïlande, Japon, etc.). Malheureusement, on y passe aussi moins de temps, donc c’est plus difficile de s’imprégner de l’atmosphère zen qui s’en dégage.
Ce dernier tiers est malgré tout important parce qu’il répond à bon nombre de questions que je me suis posées depuis le début, et surtout il explique le titre : le chant des Aquadèmes.

En conclusion, j’ai adoré cette lecture et je suis ravie d’avoir découvert le peuple des ponts et son univers entêtant ; c’était frustrant de devoir m’interrompre pour dormir, certains passages m’ont tellement marquée que j’en ai rêvé et parfois, je me suis réveillée au milieu de la nuit avec l’envie de découvrir ce qui allait arriver à nos héros.

 

Coupe des 4 maisons :
Croc-en-manche (4ème année) – un livre pour lequel vous auriez souhaité une fin différente40 points

Cauchemars, tome 2 : Dullahan – Sophie Fischer

Titre : Dullahan
Saga : Cauchemars, tome 2
Auteur : Sophie Fischer
Éditeur : Voy'[el]
Nombre de pages : 310
Quatrième de couverture : Niamh continue de partager son temps entre ses études et son travail auprès de Mr Mardling, le médium. Lorsqu’elle décide de retourner à Cork où elle n’était pas revenue depuis la mort de son père (afin de vérifier si ce dernier hante toujours la maison familiale), elle se retrouve mêlée à une bien étrange affaire concernant des suicides en série. Avec l’aide de Ian et de Jack, elle se lance à corps perdu dans cette nouvelle enquête qui la voit affronter un nouveau Cauchemar : le Cavalier sans tête !

J’attendais avec impatience de pouvoir commencer cette lecture en plein milieu d’Halloween. Bon, finalement, ça n’a pas été possible : ayant participé à la Japan Addict Z tout le week-end, je n’ai pas réussi à lire la moindre page. Mais je m’en suis donnée à cœur joie cette semaine.
Honnêtement, je ne me souvenais que globalement du premier, plus de l’ambiance que des détails. Mais le roman est bien fait donc au fil des pages, les points importants me sont revenus en mémoire.

Niamh est toujours l’assistante de Mr Mardling. Maintenant qu’elle connaît un peu mieux le métier de médium et apprend à maîtriser ses dons, elle décide de retourner dans la maison de son enfance : avant que sa mère ne vende leur habitat, son père décédé venait lui rendre visite. Son fantôme est-il toujours là ou son esprit a-t-il rejoint l’autre côté ?
Elle se rend à Cork avec Ian et Jack pour en avoir le cœur net. Elle va devoir attendre pour obtenir une réponse parce qu’un autre Cauchemar hante la ville : Dullahan, le cavalier sans tête.

J’ai aimé retrouver Niamh et surtout l’ambiance d’Halloween, le royaume de Jack O’Lantern. J’avoue que les rêves sont meilleurs passages de ce roman… en tout cas, ce sont mes préférés. Ce n’est pas que le reste n’était pas intéressant, mais il n’y avait pas ou peu de surprise : j’ai compris assez vite l’identité de Dullahan, deviné le lieu auquel il est attaché et qui est le Marchand de Sable bien avant que son nom ne soit prononcé.
Malheureusement, pas mal de questions restent en suspens… j’espère qu’on aura quelques réponses dans le prochain.

Cette fois, Mr Mardling n’est pas trop présent – il a ses propres problèmes qu’on devrait découvrir dans le trois -, donc Niamh doit se débrouiller seule… enfin non, elle reçoit l’aide de Jack qui n’est pas aussi mauvais que ce que j’imaginais et de Ian qui est absent la plupart du temps, à se demander pourquoi il l’a accompagnée.
La relation entre Niamh et Jack m’a laissée perplexe. Je suis partagée : je la trouve un brin malsaine, parce que le Cauchemar est pervers et sadique, mais elle s’assainit petit à petit parce que le comportement de Jack change progressivement au fil des pages, je soupçonne une réminiscence de son passé.

J’ai beaucoup aimé cette lecture et il est certain que je lirai le troisième l’an prochain.

Automne douceur de vivre
Its just a bunch of Hocus (Halloween/ Samain/ Automne)

Coupe des 4 maisons :
Canon de Chudley (3ème année) – un livre dont le héros ou l’héroïne est roux.sse30 points

Absolument Normal, tome 1 : Tous différents – Kid Toussaint, Alessia Martusciello & Alberto Aurelio Pizzetti

Titre : Tous différents
Saga : Absolument Normal, tome 1
Scénario : Kid Toussaint
Illustrations : Alessia Martusciello & Alberto Aurelio Pizzetti
Éditeur : Dupuis
Nombre de pages : 48
Quatrième de couverture : Tout le monde le sait : à la puberté, le corps se transforme. Mais dans le monde légèrement futuriste où vit Cosmo, ces transformations ne se limitent pas à l’apparition de poils et de boutons d’acné ou à la mue des voix. Ici, les adolescents développent des pouvoirs bien plus intéressants : yeux laser, lévitation, apparition de nageoires et de branchies, force extraordinaire, etc. Mais pour certains, la mutation est nase, mineure… voire nulle ! C’est le cas de Cosmo, notre héros, qui est… absolument normal. Et donc terriblement vulnérable. La solution ? Confier Cosmo au Centre « Nouvel horizon » qui développe des méthodes d’éducation afin d’enfin développer un pouvoir digne de ce nom…

J’ai eu envie de découvrir ce premier tome d’Absolument normal parce que le scénariste est Kid Toussaint. Du coup, je savais que d’un ça me plairait, de deux ce serait relativement original et c’est le cas.

Pour une fois, le héros n’est pas un gars avec des pouvoirs dans une école d’humains lambdas, mais un ado normal, sans pouvoirs dans une école où tous ont des dons fabuleux… le problème est la sécurité de ce pauvre Cosmo (oui, c’est son nom/surnom). L’école ne pouvant pas garantir sa sécurité, une autre solution est trouvée : l’envoyer dans un centre spécialisé qui abrite d’autres enfants sans talents, où il ne risquera pas sa vie à chaque instant. Vous la sentez là, l’arnaque ?

Comme cette bande-dessinée était classée en jeunesse, je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit si sombre (c’est pas non plus super dark, mais ce n’est pas très gai non plus) surtout que le début annonçait une saga assez bon enfant.
Le héros, Cosmo, est agréable. J’adore la réponse qu’il finit par donner quand on lui demande quel est son pouvoir caché… ça m’a chaque fois fait sourire et j’acquiesçais toujours par un « c’est pas faux ».
Je me suis particulièrement attachée à Buggy : il est très sympa et possède un énorme potentiel qui s’ignore.
Mes préférés sont les triplés, leur chara-design est trop chou.

Le style de dessins se marient bien avec l’histoire. Certains personnages monstrueux sont particulièrement réussis et j’ai aimé détailler les illustrations à la recherche d’un indice permettant de découvrir leur pouvoir.
J’ai bien aimé ce premier tome et malgré une fin annonciatrice de la suite, je me demande ce que nous réserve le prochain.

Apostasie – Vincent Tassy

Titre : Apostasie
Auteur : Vincent Tassy
Éditeur : Editions du Chat Noir (Griffe sombre)
Nombre de pages : 333
Quatrième de couverture : Anthelme croit en la magie des livres qu’il dévore. Étudiant désabusé et sans attaches, il décide de vivre en ermite et de s’offrir un destin à la mesure de ses rêves. Sur son chemin, il découvre une étrange forêt d’arbres écarlates, qu’il ne quitte plus que pour se ravitailler en romans dans la bibliothèque la plus proche.
Un jour, au hasard des étagères, il tombe sur un ouvrage qui semble décrire les particularités du lieu où il s’est installé. Il comprend alors que le moment est venu pour lui de percer les secrets de son refuge.
Mais lorsque le maître de la Sylve Rouge, beau comme la mort et avide de sang, l’invite dans son donjon pour lui conter l’ensorcelante légende de la princesse Apostasie, comment différencier le rêve du cauchemar ?

Ça fait très longtemps que je désirais lire ce roman (la couverture que je trouve sublime y était pour beaucoup), mais je redoutais la déception – c’est souvent mon cas pour des livres dont on parle beaucoup… ce qui fut le cas pour Apostasie, donc je connaissais un peu la Sylve Rouge, cette forêt si particulière qui envoûte les voyageurs errants.

Anthelme est dans ce cas-là. Il passe trois années de solitude dans les bois, et n’en sort que pour emprunter des livres à la bibliothèque du village. Sa vie bascule lorsque qu’il trouve un livre « la sylve rouge » où le narrateur Alvaron décrit la forêt dans laquelle vit le héros avec une telle justesse, qu’il est certain que l’auteur a arpenté cette terre magique… ou maudite, comme on l’apprendra par la suite.
Anthelme et Alvaron se rencontrent (quelle coïncidence ! Non, pas du tout !) et ce dernier le conduit au maître de la Sylve Rouge : Aphelion, une créature splendide et pourtant terrifiante.

Ce fut une lecture en dents de scie. C’est divisé en trois parties, donc je vais plutôt chroniquer chaque partie.
– La première partie m’a profondément ennuyée.
La plume de Vincent Tassy est magnifique, les métaphores sont puissantes, ça avait tout pour me plaire, moi qui aime les descriptions et les mises en atmosphère, pourtant j’ai trouvé ça interminable.
– La deuxième partie est indéniablement ma préférée : l’histoire d’Apostasie et surtout de ses parents, racontée par Aphelion. J’ai adoré, ça m’a captivée et j’avais très envie de découvrir ce qui allait suivre. Je l’ai d’ailleurs lue en peu de temps comparé au reste du livre.
– Pour la troisième partie, c’est compliqué. J’étais ravie de retrouver les Vermines, certains passages se sont lus tout seuls, d’autres ont été plus laborieux – fallait en passer par là pour en comprendre tous les tenants et les aboutissants. Par moment, j’ai bien pensé à abandonner cette lecture, mais c’était impossible : il me fallait le fin mot de l’histoire.

Les personnages passent bien dans l’ensemble : j’ai apprécié Anthelme, pas du tout Alvaron et sa clique.
Ambrosius, Lavinia et Ellaine m’ont touchée, ce qui n’est pas le cas d’Irvine que je n’ai pas aimé.
Quant aux Vermines, je les ai trouvés intéressants et un brin attachant, à part Lazare et Leandro.

Franchement, je ne sais pas quoi penser de cette lecture : longue par moment, dérangeante dans la Maison des Effraies, passionnante aux côtés de Lavinia, sombre et entêtante au niveau de l’ambiance.
Je ne peux pas dire que j’ai aimé, je n’ai pas non plus détesté et ça n’a pas pu me laisser indifférente. J’en reste perplexe.

ABC Imaginaire 2021 – lettre D :
22/26

Automne frissonnant :
Gare, gare à la main de gloire (Voleur/ Thriller/ Policier/ Superstition/ Horreur/ Épouvante)

Coupe des 4 maisons :
Venin d’acromentule (potion de longue décoction) – lire un livre “dark” (dark romance, dark fantasy…) – ??? points

Belladonna – Cécile Guillot

Titre : Belladonna
Auteur : Cécile Guillot
Éditeur : Editions du Petit Caveau
Format : E-book
Nombre de pages : 236
Quatrième de couverture : Fleurs aux senteurs enivrantes et baies charnues à la drupe colorée; autant de promesses d un plaisir sucré ou acidulé estompent la menace d’un poison pourtant parfois bien réel. Telles sont les histoires que renferme ce recueil, déposant sur vos esprits, avec une innocence suspecte, leur poésie vénéneuse. Des héroïnes fragiles au destin immuable et des créatures encore plus torturées que leurs proies composent le monde mélancolique de Cécile Guillot.
Belladona vous invite à le découvrir à travers le prisme de ses belles dames et de leur venin tantôt hypnotique, tantôt mortel.

Je ne sais vraiment pas ce que je vais pouvoir dire de cette lecture… je vais déjà commencé par préciser que je n’ai pas eu beaucoup de temps à lui consacrer, difficilement plus d’un chapitre par jour donc ça n’a pas aidé à me plonger dedans.
C’est un recueil de 23 nouvelles.
J’avais prévu de prendre chaque nouvelle, d’en faire un résumé et c’est d’ailleurs ce que j’avais commencé à faire, mais je me suis rapidement rendu compte que je n’avais pas grand chose à dire ou alors tout le temps la même chose. Donc je vais plutôt donner mon avis sur chacune des trois parties, ce sera plus simple, moins long et moins laborieux.

La première porte le nom de « à l’ombre des pleurs » et regroupe 10 nouvelles. Je n’ai pas accroché à cette partie.
J’ai trouvé les textes trop courts (Roadways, l’appel du loup) pour beaucoup et certains superficiels (la fille aux barbelés). La plus longue est la première nouvelle (De larmes et de sang) qui est divisée en 18 chapitres, donc l’histoire est assez complète, mais pas autant que Cœur de cristal que j’ai adoré.
Une autre histoire est tout aussi complète (nuit d’obsidienne à Montego Bay), mais je l’ai trouvée un peu longue, sûrement parce que l’ambiance était plus estivale que pour les autres et pour moi, octobre ne se prête pas trop pour ça.
Les nouvelles de cette partie ont toutes un point commun : elles se terminent mal, sauf la dernière (Liberame) et j’ai trouvé les chutes prévisibles (sauf pour dans la chambre d’enfant qui m’a malheureusement laissée indifférente). Parfois, ça m’a un peu saoulée de connaître la fin à l’avance (Memento) et d’autres fois, je me suis laissé porter par le récit pour apprécier le cheminement des personnages (Une petite fille si attentionnée).
Dans l’ensemble, j’ai trouvé cette première partie assez moyenne, la suivante était beaucoup mieux.

La seconde s’intitule « là où s’elevent les sorcières » et comporte 7 nouvelles dont les titres sont des prénoms, celui du personnage principal.
Les récits nous font voyager à travers le monde et les époques : l’Égypte de l’Antiquité, Salel de 1692, Angleterre victorienne, Roumanie, États-Unis, Halloween en France et Jamaïque.
On y découvre différentes façons de pratiquer la sorcellerie : prêtresse, guérisseuse, préparatrice de potions, voyante, chaman, rituel du Samhain et de la Toussaint, vaudou.
J’ai adoré cette seconde partie. Je n’ai eu aucun mal à m’attacher aux personnages, j’ai aimé leur façon de penser et d’être… peut-être moins pour Jahlia que les autres.
Ça m’a tellement plus que j’ai lu les 7 nouvelles assez vite (quelques heures) malgré mon emploi du temps chargé.

La troisième « bonus » nous propse 4 histoires avec des titres en langue étrangère, sauf le premier (la dame de Caislean Na Mists).
On commence et on termine cette partie avec des récits « médiévaux », pas tout à fait, mais c’est l’ambiance générale qui en ressort et j’ai adoré ça.
Les deux histoires du milieu sont contemporaines :
– l’une sur le jour des morts au Mexique. J’ai beaucoup aimé ce que j’ai découvert sur le sujet, j’en connaissais une partie, mais pas tout et sûrement pas les différents au-delà.
– l’autre sur la musique et surtout le métal féminin. J’ai apprécié les références dont l’auteure se sert (Nightwish, Within Temptation, Épica…)
En tout cas, tous ont un fort côté féministe – c’est d’ailleurs un peu le cas de chacune des nouvelles de ce recueil, mais dans cette partie, ça se ressent davantage.

En conclusion, la première partie qui couvre la moitié du recueil a été laborieuse. La suite était indéniablement mieux.
Au final, ce fut une bonne lecture… sans plus.

 

Coupe des 4 maisons :
Queudver (5ème année) – un livre avec une trahison dans l’histoire50 points