Colocataires à leur manière, tome 2 – Tsunami Minatsuki & As Futatsuya

Titre : Colocataires à leur manière, tome 2
Scénario : Tsunami Minatsuki
Dessins : As Futatsuya
Éditeur : Nobi nobi ! (Genki)
Nombre de pages : 152
Quatrième de couverture : Auteur d’histoires policières, Subaru Mikazuki se distingue par sa nature introvertie et misanthrope. En effet, considérant les gens comme une source de nuisance dans son processus d’imagination et de création, il fait tout pour éviter de sortir de chez lui et d’avoir des contacts humains. Un jour, il rencontre un chat errant. Il décide de l’adopter et de le nommer Haru. Petit à petit, les deux personnages s’apprivoisent l’un l’autre et alors qu’ils commencent à s’habituer à cette nouvelle cohabitation, Haru s’enfuit soudainement de la maison. Dans le même temps, Hiroto, un ami d’enfance de Subaru, débarque à l’improviste et va mouvementer le train-train du romancier… La vie à deux continue pour ces colocataires malgré eux, avec leur quotidien qui nous est conté à travers le point de vue de chacun !

Je ne me souvenais plus trop du premier, pas même du principe original de ce manga qui nous présentait chaque histoire de deux points de vue : celui de l’humain Subaru puis celui de la chatte Haru.

Il se compose de quatre tranches de vie :
– la fugue de Haru pendant l’arrivée de Hiroto, l’ami de Subaru.
– l’achat d’un collier d’identification à l’animalerie.
– le rendez-vous chez le vétérinaire.
– la visite de Nana, la vendeuse de l’animalerie, qui donne des conseils alimentation et jeu pour Haru.

Bon, ce n’était pas transcendant comme lecture. J’ai trouvé ce second tome moins amusant que le premier. Les liens entre Subaru et Haru se resserrent, pourtant, j’ai moins été touchée par leur relation. C’est peut-être dû au fait que comme il y a plus de personnages, le récit est moins centré sur eux. Je ne devrais pas me plaindre, c’est une bonne chose : leur monde s’agrandit, ce qui évite que l’histoire ne tourne en rond.

Les dessins m’ont semblé, dans la plupart des vignettes, plus brouillons et moins soignés. Donc je ne me suis pas attardée sur les illustrations, pourtant ça m’a semblé un peu longuet.
Je n’ai rien d’autre à ajouter. C’était une bonne lecture, sans plus.

Les enfants de la baleine, tome 09 – Abi Umeda

Titre : Les enfants de la baleine, tome 09
Auteur : Abi Umeda
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 191
Quatrième de couverture : Choisissez votre destin ! Quel qu’en soit le prix !
Des mystères ont été éclaircis.
Des séparations ont également eu lieu.
La “Baleine de glaise” se trouve à présent aux portes d’Amonlogia et ses cieux nouveaux.
Après une longue traversée des sables, Chakuro et les siens pourront-ils enfin vivre en paix ?

Je n’étais pas très motivée pour lire ce neuvième tome… les derniers trainaient en longueur et je redoutais de m’ennuyer une fois de plus. Ce n’est pas du tout le cas.

La baleine de glaise et son équipage arrivent enfin à Amonlogia où ils espèrent enfin vivre une vie sereine comme le leur a promis Roxalito.
C’est l’occasion de découvrir la ville et ses superbes bâtiments. Les décors sont impressionnants, j’ai pris un temps fou à les contempler, me noyant dans chaque détail, à chercher et à observer ce qui se cachait derrière les fenêtres.

On fait la connaissance des trois frères de Roxalito et le premier contact est loin d’être top. Dyctis est un imbécile imbu de sa personne, mais il est loin d’être le pire. Dès la première apparition d’Antikheiras et surtout de Paramésos, je les ai détestés sans véritable raison.
En ce qui concerne Roxalito, j’avais fini par l’apprécier au fil des tomes, j’avais la sensation qu’il avait changé au contact des habitants de la baleine de glaise, je crains de m’être trompée et ça m’attriste.

Bref, le débarquement sur Amonlogia ne se passe pas comme prévu. Les marqués doivent rester sur leur vaisseau tandis que les non-marqués se rendent au palais pour demander l’asile pour tous. Ça aurait été étonnant si tout s’était déroulé comme annoncé au début.
C’est triste et pourtant, c’est une bonne chose pour le lecteur : ça fait avancer l’histoire et ça relance l’intrigue.

C’était une lecture dense, mais passionnante. J’ai adoré ce neuvième tome, il me semble que j’ai le suivant dans ma Pile à Lire et si c’est le cas, je le lirai assez vite.

Solo Leveling, tome 9 – Chu Gong

Titre : Solo Leveling, tome 9
Auteur : Chu Gong
Éditeur : Delcourt (Kbooks)
Nombre de pages : 272
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.

Un neuvième tome impressionnant qui m’en a mis plein la vue.
C’est le combat final contre la fourmilière, sur l’île de Jeju et les chasseurs de rang S se sont fait massacrer par l’espèce de fourmi humanoïde. Heureusement, Jinwoo débarque, mène un combat époustouflant et, sans surprise, gagne.

L’histoire est rondement menée : elle est équitablement partagée entre baston et discussions. On découvre des détails intéressants : sur la formation de guildes en Corée, sur les Scavengers, mais surtout sur l’attrait que le gouvernement américain peut provoquer chez les puissants chasseurs des autres pays, etc.
L’intrigue avance tout doucement : les elfes de glace reviennent sur le devant de la scène et il commence à se profiler un conflit entre eux et les humains. À voir ce que donnent les prochains.

Jinwoo a encore une nouvelle invocation : une fourmi humanoïde du nom de Ber. Ce qui est intéressant avec cette créature, c’est qu’elle parle, contrairement aux autres.
Quand mon homme l’a vu, il m’a sorti : « je l’aime bien, lui ! Il est drôle. » – comme il lit la saga sur le net en webtoon, il l’a déjà terminée donc il sait de quoi il parle. Bon, pour l’instant, Ber n’est pas fun… j’attends le dix pour voir s’il me plaît.

J’ai passé un excellent moment avec cette lecture que j’ai terminé rapidement tellement c’était prenant. C’est un coup de cœur pour ce neuvième tome.

Toilet-bound Hanako-kun, tome 07 – Iro Aida

Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 07
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 178
Quatrième de couverture : Mission accomplie ! Il ne reste plus qu’une main à faire disparaître pour que les photos du club de jardinage reviennent à la normale. Mais voilà que la dernière main entraîne Nene à l’intérieur d’un miroir ! De l’autre côté, la jeune assistante fait la rencontre d’un esprit nommé Mitsuba. Ensemble, ils décident de s’allier afin de trouver un moyen de regagner le monde des vivants. Seulement, il semblerait que le maître de cette frontière, ne compte pas les laisser repartir si facilement…

J’avais grandement hâte de découvrir ce septième tome ; après tout, Nene s’était faite enlever par des mains à la fin du précédent.
Elle est emportée dans le monde du troisième mystère, celui de l’enfer des miroirs. Elle y est coincée avec Mitsuba, comme il a perdu la mémoire, il est un peu moins sympathique que lors de son aventure avec Kô ; il est surtout plus couard… mais pas que. Face à Nene, il se montre terrifié et la jeune fille tombe dans le panneau et se prend d’amitié pour lui.

J’étais partagée quant à Mitsuba : j’étais toujours très attachée à lui et j’espérais qu’au fond, il était toujours le même, pourtant ses réactions quand Nene a le dos tourné me poussaient à croire qu’il était malheureusement comme Tsukasa.
D’ailleurs en parlant du frère jumeau de Hanako, ce personnage a un grain, c’est terrible. Sur bien des points, je l’ai trouvé terrifiant

Les dessins sont tout aussi beaux que dans les précédents. J’ai été ravie de retrouver le second mystère, madame Yako (vous savez, le kitsune !) Elle est trop mignonne que ce soit en humaine ou en animal).
J’ai bien ri dans ce septième tome avec l’histoire du navet déformé (même si je plains la pauvre Nene) ou avec les dialogues entre Mitsuba et Nene ou entre Kô et madame Yako.

J’ai bien aimé cette lecture ; je crois que de tous, c’est pour le moment celui que j’aime le moins… j’espère que ça ne commence pas à s’essouffler. On verra.

Créatures fantastiques, tome 1 – Kaziya

Titre : Créatures fantastiques, tome 1
Auteur : Kaziya
Éditeur : Komikku
Nombre de pages : 184
Quatrième de couverture : La science a remplacé la magie dans le cœur des hommes. Elle est sur le point de faire basculer le monde dans une nouvelle ère, entraînant les créatures fantastiques dans l’oubli. Descendante d’une lignée de mages, la jeune Ziska est apprentie vétérinaire. Avec son maître Nico, elle cherche à soigner et préserver les bêtes mythiques menacées d’extinction… Mais n’est-il pas déjà trop tard ? À la croisée de la médecine et de la magie, découvrez un bestiaire hors du commun !

Ça fait longtemps que cette saga me fait de l’œil, mais je n’avais pas osé me la prendre, donc quand je l’ai trouvée d’occasion, je n’ai pas hésité. Et j’en suis ravie, cette lecture était à la hauteur de mes attentes.

L’histoire n’est pas super originale, mais c’est malgré tout intéressant : Ziska est apprentie vétérinaire auprès de son maître Nico. Elle a hérité de quelques pouvoirs magiques, malheureusement son don est affaibli, probablement parce que les hommes ne croient plus en la magie, mais plutôt dans la science, ce qui a également pour conséquence d’accélérer l’extinction des créatures fantastiques.
À chaque chapitre, nos héros viennent en aide à une bestiole qui s’avère être un animal magique : Nico grâce à la médecine moderne, aidé par la magie de Ziska.

Sans surprise, on sait que l’animal qu’ils soignent va se révéler fantastique, donc ça perd un petit peu de son charme, surtout que le titre du chapitre nous indique le nom de la créature. Mais le gros plus est qu’on en apprend beaucoup sur les plantes et leur effet curatif ou au contraire sur les effets secondaires voire néfastes, mais également sur les créatures dont traite le récit.

J’ai aimé les personnages, ils sont attachants.
Ziska est gentille et un brin naïve, mais ça passe. Nico est un peu bourru, mais ils se montre bon pédagogue.
Deux personnages secondaires font leur apparition, mais j’ignore s’ils prendront de l’importance par la suite : le vendeur Kamil et son apprentie Annie. Ils semblent sympathiques, mais ne sont pas assez présents pour que je m’en fasse une idée plus précise.

La couverture me plaisait bien, mais elle ne rend pas justice aux illustrations à l’intérieur qui sont beaucoup plus beaux. Le character design est plus travaillé. Les créatures fantastiques sont superbes et j’ai pris beaucoup de plaisir à les détailler. Les décors sont chouettes. On sent un gros boulot que ce soit sur les paysages, les textures, les ombrages. Je suis fan.

C’est un coup de cœur pour ce premier tome et je suis contente d’avoir le second tome – pas les autres, mais au moins celui-là.