Battle Game in 5 seconds, tome 03 – Kashiwa Miyako et Saizou Harawata

Titre : Battle Game in 5 seconds, tome 03
Scénario : Saizou Harawata
Illustration : Kashiwa Miyako
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 222
Quatrième de couverture : Akira est un lycéen passionné de jeux vidéo tombé dans les griffes d’une mystérieuse organisation. Ses compagnons d’infortune et lui sont désormais les participants d’un jeu d’un genre nouveau. Radiés des registres de la population,
les voilà devenus des sujets d’expérimentations et ils vont se découvrir, chacun leur tour, des pouvoirs dévastateurs.
La décision d’Akira est prise : il va utiliser ces nouvelles facultés pour détruire l’organisation qui les retient captifs.Ses armes : un pouvoir que personne n’attend et un sens de la stratégie hors du commun.
Mais attention, pour tous les participants, le danger peut survenir à tout moment… Préparez-vous ! Combat dans 5, 4, 3…

Comme les 2 premiers, ça a été une excellente lecture.

Nos héros passent au troisième programme : ils sont séparés puisqu’ils doivent prendre des couloirs différents.
Akira arrive dans un espace vert : il a 100 points et doit en gagner 1000 en 30 minutes pour passer à la suite. Et pour obtenir des points supplémentaires, il doit assommer ses adversaires.
Il n’est donc pas seul. Il découvre que 2 groupes s’affrontent : les verts et les rouges. Et il y a les bleus qui sont neutres. Donc il rejoint les verts avec Yûri… franchement, quand tu vois les rouges, tu comprends son choix.
Pour autant, il ne leur fait pas confiance et il a raison. La difficulté pour lui est d’appliquer son pouvoir aux nouveaux tout en essayer d’en développer d’autres…

Il y a un gros contexte mis en place avec cette nouvelle épreuve. Je pense qu’on est loin d’en voir le bout. Donc il y avait beaucoup de blablas, mais pour le coup, ça m’a convenu.
J’apprécie toujours autant le côté stratégique d’Akira. Ça rend le scénario passionnant. Peut-être qu’à la longue, ça va me saouler qu’il ait toujours une longueur d’avance sur les autres, mais pour l’instant, ça rend la lecture plaisante et le personnage agréable.
Et pour le coup, il a une acolyte sur qui s’appuyer : Yûri.

Les dessins sont toujours aussi beaux. Je me suis attardée à plusieurs reprises sur des planches qui me plaisaient. Je n’ai pas trouvé de soucis de proportionnalité, donc ça aussi, ça me convient.
Bref, je ne vais pas développer davantage et je vais conclure en disant que j’ai adoré cette lecture.

Jusqu’à ce que la mort nous sépare, tome 02 – Hiroshi Takashige & Double S

Titre : Jusqu’à ce que la mort nous sépare, tome 02
Scénario : Hiroshi Takashige
Illustrations : Double S
Éditeur : Ki-oon
Nombre de pages : 226
Quatrième de couverture : La jeune Haruka Tôyama possède un pouvoir singulier, celui de prédire l’avenir avec une précision de 90%. Pour échapper à la mort, elle fausse compagnie en pleine rue aux yakuzas qui veulent l’exploiter et supplie un simple aveugle de l’aider. Mais elle ne l’a pas choisi au hasard. Malgré sa cécité, Mamoru est un mercenaire à la solde d’une organisation privée financée par des victimes de crimes.

Autant le premier tome m’a enthousiasmée, autant ce n’est pas le cas de celui-ci. Je l’ai trouvé très long. Y a beaucoup de blablas et je n’avais pas la tête à lire un manga complexe (sinon j’aurais repris death note).
Je ne sais même pas comment je vais pouvoir résumer ça…

Les événements s’enchaînent : attentats, espionnage industriel avec une histoire de biopuces données ou extorquées et volées à ex-solid… c’est un peu le foutoir et je n’ai pas eu le courage de relire les passages qui m’ont semblé obscurs.
Et nos héros dans cette histoire ? Mamoru intervient lors du cambriolage des locaux d’ex solid. Suite à ça, il est envoyés pour régler l’histoire des biopuces…

Et je vais m’arrêter là pour le résumé fouillis avant que ça ne soit encore plus indigeste.
Bref, beaucoup de connexions contextuelle ne se sont pas faites et je suis incapable de dire si j’en suis là cause ou si c’est le scénario qui est bancal.
Il y a tellement de personnages qu’ils m’ont tous laissée indifférente
Les dessins sont aussi sympathiques que dans le premier.
Voilà, je n’ai rien d’autre à dire donc autant conclure : je me suis ennuyée sur les deux premiers tiers. J’avoue que j’attendais mieux de cette lecture qui est une déception.

De l’autre côté de l’horizon, tome 2 – Hinata Nakamura

Titre : De l’autre côté de l’horizon, tome 2
Auteur : Hinata Nakamura
Éditeur : Delcourt-Tonkam (Moonlight)
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture : Miyake menait jusqu’à présent une vie éreintante, mais il a décidé de changer de cap et a accepté un nouveau poste sur une île éloignée, où la vie est plutôt paisible. Hiyoko, la petite-fille de son logeur, qui vit sous le même toit que lui, doit aller visiter son futur campus universitaire. Miyake décide de l’y accompagner et c’est ainsi qu’ils partent tous les deux pour Tokyo ! Ensemble, ils commencent à savourer les précieux moments qu’ils arrivent à partager…

J’ai nettement mieux aimé ce second tome que le premier. Pourtant, le principe de base est le même : tranches de vie de nos deux héros.

Miyake est invité à Tokyo pour assister à l’exposition organisée pour son frère. Hiyoko en profite pour l’accompagner afin de visiter la fac.
À partir de là, l’ambiance change légèrement. Les personnages se posent des questions sur leur avenir. Hiyoko prend des décisions surprenantes au vu des objectifs qu’elle se définissait dans le premier tome. Ça pousse Mikage à se remettre en question. A-t-il fait le bon choix en s’installant sur l’île pour reprendre le bureau de poste ?

Je me suis beaucoup attachée aux personnages. Ils gagnent en profondeur.
C’est un tome plein de nostalgie, de réflexions sur le temps qui passe. Il a un côté très poétique, ce qui m’a beaucoup plu.
Les illustrations sont superbement détaillées que ce soient les décors ou les vêtements. J’ai pris beaucoup de plaisir à m’y attarder. Le visage des personnages est expressif, ce qui rajoute au charme de ce second tome.

Bref, vous l’aurez compris, c’est un coup de cœur pour cette lecture.

Oneira, tome 2 – CAB (FR) & Federica Di Meo

Titre : Oneira, tome 2
Scénario : CAB
Auteur : Federica Di Meo
Éditeur : Kana
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Sortis des tréfonds de nos esprits, les cauchemars ont pris vie. Animés par leur seul désir d’éliminer leurs hôtes, ces monstres, aux multiples formes, sont devenus un fléau à éradiquer. Devant cette menace grandissante, la caste des Epeires s’est vue ériger en bras armé de l’église afin de se dresser contre les créatures des songes. Arane Heos, la tristement célèbre « Croque-Mitaine », est l’une de ces Epeires. Tout en affrontant les cauchemars, elle devra faire face au tumulte grandissant au sein de l’église et de sa caste, menaçant désormais le secret entourant son enfant.

Ce qui manque à ce second tome : un résumé du tome précédent. J’en avais bien entendu fait un succinct dans ma chronique, mais elle ne reprenait que les principes de ce manga. Zut !

Donc le récit se poursuit : Arane et Bastione sont chargés par la Duchesse de la sauver elle et l’enfant qu’elle porte.
Quand j’ai découvert nos héros, j’ai tiqué sur Bastione : il avait cette tête là ? Oui et non… on est dans un souvenir et j’avais complètement zappé le truc.

Bon, malgré ce léger oubli, ça s’est quand même laissé lire et le scénario était relativement sympa. J’ai apprécié découvrir davantage les relations entre Arane et Bastione. Qu’est-ce qui les a éloignés ? Venus ? J’espère qu’on aura encore quelques scènes issues du passé, ça ajoute de la consistance aux personnages.
Je reste partagées en ce qui concerne les illustrations. Certaines planches passent bien, d’autres moins.
Comme souvent, la fin m’a laissée sur ma faim et j’ai bien envie de savoir comment nos trois héros vont se sortir de la panade.

J’ai bien aimé cette lecture et je lirai volontiers le troisième tome qui est dans ma Pile à Lire.

The Quintessential Quintuplets, tome 09 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 09
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : L’implication des quintuplées dans leurs études et celle de Fûtarô dans sa mission a fini par payer : ils font tous leur rentrée en terminale. Comble de bonheur pour les filles et de malchance pour Fûtarô, ils se retrouvent dans la même classe ! Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la bande des six ne passe pas inaperçue ! Entre études, petits boulots, amours et amitiés, l’année risque de ne pas être de tout repos !

Ça fait un moment que je n’ai pas avancé dans cette saga. Il était temps que je la reprenne.
Donc qu’est-ce qui se passe dans ce neuvième tome ?

Ichika a décidé de ne plus tout payer pour ses sœurs (et elle a bien raison). Elles doivent donc trouver du travail.
Nino et Miku postulent dans la pâtisserie où travaille Uesugi, malheureusement, il n’y a qu’une seule place. Laquelle des deux sera prise ?
Une nouvelle année scolaire commence : les quintuplées et notre héros sont dans la même classe. Yotsuba devient déléguée et entraîne Uesugi dans l’aventure.
Le père des filles entre à nouveau en scène et la pression monte.
Mais je ne vais pas en dire plus.

L’histoire passe bien. C’est une lecture sans prise de tête. Je me suis laissé porter par le récit.
Chaque personnage fait son petit bout de chemin et les relations entre les uns et les autres continuent à se développer.
J’ai apprécié que Uesugi fasse confiance aux filles pour travailler et soit moins derrière elles. Leurs rapports sont apaisés et ça fait du bien.
Un nouveau personnage fait son apparition : Takeda. Autant il m’a soûlée au départ, autant j’ai aimé les décisions qu’il prend vers la fin. Ça me l’a rendu plus sympathique.

Les dessins sont toujours aussi plaisants. Le charadesign des quintuplées est chouette, leur visage est expressif. Bref, j’adore.
Je suis fan de la couverture. Je crois que des neufs tomes, c’est ma préférée.
J’ai fait le tour, il n’y a plus grand-chose à dire si ce n’est que j’ai beaucoup aimé cette lecture.