To your eternity, tome 06 – Yoshitoki Oima

Titre : To your eternity, tome 06
Auteur : Yoshitoki Oima
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Imm a passé avec succès toutes les manches du tournoi, jusqu’à l’arrivée inattendue d’Hayase ! Il va devoir affronter celle qui a tué March et Palona, ce qui le met dans une colère noire. Malheureusement, elle parvient à gagner en l’endormant et l’enlève. Tonali est bien décidée à arracher Imm des griffes d’Hayase !

Comme à chaque fois avec ce manga, j’en ai pris plein la tronche… j’ai tellement accroché qu’à peine levée, j’ai repris la lecture interrompue hier.

Hayase a enlevé Imm. Tonali se voit la possibilité de quitter l’île avec 700 personnes si elle laisse Imm derrière elle. Une telle offre, impossible de la rejeter ! Mais une fois sur le bateau, elle est prise de remords et débarque pour sauver Imm. Malheureusement, les knockers attaquent l’île.

La trame de l’histoire peut sembler récurrente : Imm rencontre des gens qui finissent par mourir (ben oui, on est dans to your eternity, les héros meurent systématiquement quelqu’en soient les raisons), les knockers débarquent et mettent tout à mal… pourtant chaque tome est différent (pour combien de temps ?).
Les personnages rencontrés par Imm sont pour la plupart sympathiques et touchants. La mangaka leur donne une véritable profondeur, ce qui les rend attachants.

Les illustrations sont remplies de détails, j’aime m’y attarder. Ça ajoute du charme à cette série et permet une immersion totale (en ce qui me concerne).
Le gros plus pour moi, c’est le résumé en début de tome. Avec ma mémoire de poisson rouge (ou parce que ma charge mentale est trop lourde donc mon cerveau fait du tri sélectif), j’ai parfois du mal à me souvenir de ce qu’il s’est passé dans le tome précédent…
Je conclurai en disant que cette lecture est un gros coup de cœur.

Solo Leveling, tome 16 – Chu Gong

Titre : Solo Leveling, tome 16
Auteur : Chu Gong
Éditeur : Delcourt (Kbooks)
Nombre de pages : 224
Quatrième de couverture : Jin Woo part à la conquête du portail de classe A avec la Guilde des Chevaliers, mais en même temps, une rupture d’un donjon se produit au lycée que fréquente sa jeune sœur, Sung Jin-Ah ! Les orcs libérés attaquent les étudiants les uns après les autres, et une scène horrible se déroule… La voie de fuite de Jin Ah est bloquée et elle devient une cible pour les orcs.

J’ai eu la bonne idée de commencer cette lecture hier soir, juste avant de me coucher… sauf qu’il était déjà 1h du matin… J’ai été raisonnable, je me suis forcée à éteindre, mais il m’a fallu une de ces volontés ! Ce matin, je me suis speedée pour attraper le tram à une heure où il y a moins de monde et j’ai pu continuer.
Je ne suis pas là pour vous raconter ma journée, mais ce que j’ai pensé de ce seizième tome.

Ça a été une lecture passionnante. La terre est mal barrée : les monarques sont apparus avec leur armée, loin de la position de Jinwoo et déciment en masse les chasseurs aussi bien que les humains. Jinwoo a beau être puissant, il ne fait pas le poids. Il n’a donc d’autres solutions que de gagner du temps pour… ben non, je ne vais pas vous révéler son plan !

Une fois de plus, je n’ai pas vu les pages défiler. Je suis passée par tout un panel d’émotions : excitation, angoisse, exaspération, crainte pour les personnages, doute quant aux intentions de notre héros, soulagement, joie, etc.
Les dessins sont aussi beaux que dans les précédents. Les couleurs pètent et  sont harmonieuses, ce qui ajoute au charme de cette série.

Par contre, en ce qui concerne la fin, je reste dubitative. Ça sonne comme une conclusion définitive à l’aventure de Jinwoo, mais également à la série. Sauf qu’il y a un ajout de 4 ou 5 pages dont les derniers mots sont : à suivre… et le tome 17 est annoncé pour mars 2025.
Mon fils m’avait dit que l’arc Jinwoo se terminait, mais qu’il y avait une continuité dans l’univers. Est-ce cela ? Il faudra que j’en discute avec lui ce soir.

En conclusion, c’est un coup de cœur pour cette lecture.

Toilet-bound Hanako-kun, tome 10 – Iro Aida

Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 10
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Enfermés dans le tableau créé par le quatrième mystère, Shijima, Nene et Kô apprennent par cette dernière qu’ils pourront regagner leur monde uniquement s’ils ôtent la vie d’Amane Yugi, ainsi que celle de Sôsuke Mitsuba. Les deux amis, révulsés par cette idée, préfèrent chercher un autre moyen pour s’échapper de ce paradis infernal. De son côté, Kô tente de convaincre Mitsuba de retourner dans la réalité. Nene, quant à elle, essaie de quitter cet univers pictural en emmenant Amane le plus loin possible à la recherche des limites de ce monde. Mais la jeune fille va se confronter à un obstacle inattendu…

Heureusement que dès le début, Yashiro nous fait un résumé des événements précédents parce que je ne me souvenais de rien !
Donc Nene et Minamoto sont coincés dans une des toiles de Shijima qui représente l’école de nos héros avec tous les élèves. Pour pouvoir sortir de ce piège, ils doivent tuer Mitsuba et Amane. Vont-ils réaliser les desseins du quatrième mystère ?

Une fois de plus, je n’ai pas vu défiler les pages. Il se passe beaucoup de choses, il y a pas mal de dialogues, mais c’est fluide et rapide à lire tellement j’étais prise dans le récit.
Je prends toujours autant de plaisir à m’attarder sur les illustrations. Je devrais être habituée au charadesign, et limite être blasée, mais ce n’est pas le cas : ils me fascinent comme au premier jour. J’avoue que prendre le temps de contempler chaque planche me plaît bien : ça me permet de ne pas arriver trop vite à la fin.

En ce qui concerne les personnages, je les apprécie toujours autant. Même la version monde pictural de Mitsuba… pourtant, ce n’était pas gagné.
Shijima est flippante… elle est partout ! Pire que l’œil de Moscou !
J’aurais bien aimé que Nene et Minamoto fassent équipe dans ce dixième tome, mais ce n’est pas le cas : ils sont séparés et pendant que notre exorciste préféré confronte son ami Mitsuba, l’assistante d’Hanako décide de fuir avec Amane.

Bref, il est tard (0h20 à l’heure où je rédige ma lecture), c’est donc le moment de conclure : c’est un coup de cœur pour cette lecture.

Soul eater, tome 01 – Atsushi Ohkubo

Titre : Soul eater, tome 01
Auteur : Atsushi Ohkubo
Éditeur : Kurokawa
Nombre de pages : 201
Quatrième de couverture : Afin d’accéder au rang suprême de « Death Scythe », une arme démoniaque doit ingérer 99 âmes humaines et une âme de sorcière. Cette mission est confiée aux Meisters, des spécialistes du combat qui vont récolter les âmes au péril de leur propre vie. Dans Soul Eater, partez à la chasse aux âmes en compagnie des élèves de l’institut Shibusen, école de formation pour faucheurs d’âmes !

Ça fait longtemps que j’ai cette saga dans ma pile à lire, depuis sa première sortie donc 2009 pour ce premier tome… ça commence à remonter.
Je l’ai souvent sorti de ma bibliothèque, mais j’ai été incapable de le lire. Pour une raison toute simple : j’ai adoré de fou l’animé et je redoutais qu’il n’en soit pas de même pour le manga.

Les premières pages ont été difficiles. Je n’ai pas pu m’empêcher de comparer avec l’animé. Les dessins sont moins beaux, le character design est semblable, mais moins classe ; c’est noir et blanc donc on perd tout le charme des couleurs harmonieuses ; les mouvements me semblent statiques. Pourtant, la trame de l’histoire est la même, le caractère des personnages est respecté et l’univers est tout aussi déjanté.

On suit trois meisters qui ont tous une arme démoniaque différente.
– Maka utilise Soul, une faux ;
– Black Star combat avec Tsubaki, grappin-faucheur ;
– Death the Kid travaille avec les sœurs Thompson ( Liz et Patty), un duo de pistolet.
Je ne sais pas exactement ce que sont les armes : elles peuvent prendre une forme humaine.
Leur but : avaler 99 âmes humaine et une âme de sorcière afin de devenir Death Scythe, larme ultime de Shinigami le dieu de la mort.

J’aime les personnages. Ils sont complètement timbrés. C’est abusé et ça pourrait saouler certains, mais je les trouve drôle.
J’ai beaucoup aimé cette lecture. Pas autant que l’animé, mais au moins, je ne suis pas déçue.

Solo Leveling, tome 15 – Chu Gong

Titre : Solo Leveling, tome 15
Auteur : Chu Gong
Éditeur : Delcourt (Kbooks)
Nombre de pages : 224
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.

J’attendais ce quinzième tome avec beaucoup d’impatience, d’autant que c’est l’avant-dernier de la saga.
Malheureusement, je ne peux pas m’empêcher d’être déçue. Je l’ai trouvé long… il ne se passe pas grand-chose :

Dans un premier temps, Jinwoo affronte la monarque des fléaux, mais c’est plié super vite. Il prend cher lors de son combat contre le monarque des crocs et celui du givre.
Et pouf, on a un retour en arrière, voilà donc notre héros à l’hôpital à la suite du double donjon dans le deuxième tome…

Le seul point positif est qu’on a enfin le fin mot de l’histoire : la raison pour laquelle Jinwoo est devenu aussi fort, comment il a été choisi, qui lui confère ses pouvoirs, etc.
Après cette révélation, le reste m’a paru long : la guerre approche, donc beaucoup de blabla qui ne fait pas forcément avancer le récit.
Habituellement, les tomes sont plus rythmés et la répartition combat/discussion est mieux équilibrée.

Quant aux illustrations, elles semblent plus classiques, peut-être parce que comme y a beaucoup de bulles, les planches sont un peu tronquées. Dommage.
J’ai à peu près fait le tour et j’ai encore du travail donc je vais conclure : ça s’est laissé lire, sans plus.