Les enfants de la baleine, tome 07 – Abi Umeda

Titre : Les enfants de la baleine, tome 07
Auteur : Abi Umeda
Éditeur : Glénat (Seinen)
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture : Une petite baleine.Quelques murs de glaise.Un parfum d’herbe et de terre.Telle était leur « île » aux commencements. Phaleina et ses habitants continuent leur traversée vers l’inconnu et les terres d’Amonlogia, traversant en chemin les parois du temps.Qui rencontreront-ils aux milieux des sables ?

Ça fait plus d’un an que j’ai lu le sixième tome. Comme souvent, je ne me souvenais pas de grand-chose, heureusement que ma chronique était assez complète pour me rafraîchir la mémoire. C’est en grande partie pour ça que je tiens ce blog.

Phaleina continue son périple vers Amonlogia. Suoh, le nouveau capitaine, et les autres marqués décident d’apprendre à se battre, mais leur entraînement est interrompu par un vaisseau fantôme. Lorsqu’ils le croisent, des souvenirs apparaissent sur le Phaleina.
Après cette rencontre, Ohni s’évanouit. Byakuroku annonce que pour le sauver, il faut l’emmener dans la chambre de Midén. Encore faut-il la trouver !

Un septième tome intéressant : on découvre l’histoire de Phaleina à travers les écrits du premier capitaine. Ça m’a éclairé sur pas mal de points, notamment sur la manière dont la baleine de glaise est devenue une prison, mais également sur la création des daímonas.

De nouveaux personnages apparaissent, mais ne resteront pas puisqu’ils font partie du passé.
Je ne sais pas trop quoi penser de Dúo. J’apprécie le fait qu’elle veuille protéger Phaleina, je ne suis pas moins fan de ses méthodes, même si je les comprends. Pareil pour Midén.
J’aimais bien Ekato, dommage qu’il ne soit pas trop présent.

Le flashback était intéressant, mais j’ai l’impression que ça a pris toute la place dans l’histoire au détriment des protagonistes habituels.
J’ai beaucoup aimé ce septième tome et je suis curieuse de découvrir ce que me réserve le prochain tome.

La Sorcière aux champignons, tome 3 – Tachibana Higuchi

Titre : La Sorcière aux champignons, tome 3
Auteur : Tachibana Higuchi
Éditeur : Glénat (Shôjo)
Nombre de pages : 178
Quatrième de couverture : Luna a décidé de faire de Lisl son apprenti en magie. Le quotidien de Luna, qui passait jusqu’alors ses journées dans la solitude, est sur le point de changer radicalement…La sorcière aux champignons ne tisse plus son histoire seule, mais à deux !

Ça fait un moment que j’attendais ce troisième tome. Même si le second tome était une déception, j’en étais restée sur la première impression, que c’était trop bien.

Il ne se passe pas grand-chose dans ce troisième tome : Luna a réussi à sauver la vie de Lisl, en échange, elle a pour mission de l’empêcher de devenir une ruine.
Donc le gamin vit chez elle. Elle doit lui apprendre la magie, mais elle est trop gentille avec lui et ça fâche Claude.
On découvre comment fonctionnent les pouvoirs d’absorption du garçon, les conséquences des champignons purificateurs de Luna sur le corps de Lisé, mais aussi sur sa psyché, ainsi que les relations qu’il développe avec la sorcière.

J’ai mis beaucoup de temps à terminer ce second tome, pour deux raisons :
– il y a énormément de texte donc c’est un peu long à lire.
– les dessins me plaisent tellement que je m’y suis longuement attardée. Pourtant, il y a des inégalités dans les illustrations, parfois c’est même bancale notamment au niveau de la taille des bras. Même si je l’ai remarqué, ça ne m’a pas posé de soucis parce que les dessins sont tellement doux et apaisants que je m’y perds volontiers.
Le chapitre que j’ai préféré reste le spécial avec la sorcière des chats, ça nous plonge un peu plus dans le monde des sorciers et on découvre comment Luna a noué des liens avec elle, mais également avec le libraire.

J’ai adoré cette lecture et j’ai hâte que le quatrième sorte, mais ce n’est pas pour maintenant, parce qu’il est sorti récemment au Japon (en août) et aucune date n’a encore été annoncée en France.

Automne de l’étrange
La cueillette des champignons (forêt, récolte, poison)

The Quintessential Quintuplets, tome 02 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 02
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Fûtarô Uesugi a décroché un petit boulot très bien payé : professeur particulier. Mais ses élèves, des quintuplées, lui donnent du fil à retordre. Alors qu’il a enfin obtenu la confiance de Miku, il est malencontreusement surpris en flagrant délit de position douteuse envers Nino. Accusé d’agression sexuelle, parviendra-t-il à prouver son innocence seul face au clan des filles Nakano ?

J’avais déjà lu le début de ce second tome à la fin du premier. Je ne m’y attendais pas, donc c’était bizarre de relire ce passage.
Par contre, on a la conclusion du malentendu entre Fûtarô et Nino, et le verdict du procès qui est fait à Fûtarô.

Quasiment tout ce second tome est consacré à un dimanche tranquille :
Fûtarô est persuadé qu’il va pouvoir passer sa journée, mais c’est compter sans sa petite sœur, Raiha. Quand Itsuki vient apporte la paie de son professeur particulier, Raiha lui fait les yeux doux afin d’aller tous les trois au festival de feux d’artifice de Higashichô. Ils passent un bon moment avant de croiser les quatre autres filles Nakano.

Fûtarô se pose des questions sur sa relation avec les quintuplées.
On apprend aussi ce que cache Ichika et quels sont ses rapports avec le moustachu qui l’a ramenée en voiture dans le premier tome. Et à la fin, on découvre même un pan du passé de notre héros.
C’était très chouette de passer un après-midi tranquille avec eux tous. J’y ai pris beaucoup de plaisir, non seulement c’était reposant, mais ça m’a permis de voir les filles sous un jour nouveau, je les ai même trouvées attachantes.

Les dessins sont tout aussi beaux que dans le précédent, j’ai aimé détailler les illustrations : l’expression des quintuplées, leurs mouvements, la texture de leurs habits, les décors.
Cette fois, il y a moins de passages ecchi, et les mises en scène sont plus subtiles, sauf la première.

J’ai adoré ce second tome, et je lirai volontiers la prochain.

Le Conte des Parias, tome 7 – Makoto Hoshino

Titre : Le Conte des Parias, tome 7
Auteur : Makoto Hoshino
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 184
Quatrième de couverture : Quand une jeune fille désœuvrée lie son destin à celui d’un diable solitaire…
Assoiffés de guerre, Dantalion et Luther prennent d’assaut le QG de l’ordre de l’épée, mais les membres de l’organisation les attendent de pied ferme. Marbas et Wisteria accourent à leur tour pour sauver un être cher.
La bataille de Londres entre dans sa phase ultime. L’affrontement est aussi celui des passions exacerbées.

Je me triture la cervelle depuis au moins 7h pour savoir ce que je vais pouvoir dire de cet avant-dernier tome… et rien ne me vient. Donc sans surprise, ma chronique va être courte.

Il ne se passe pas grand-chose :
Dantalion et Luther affrontent le Grand Maître de l’Ordre de l’épée et démolissent le quartier de Londres où ils se battent.
– On découvre le passé du Grand Maître.
Des démons attaquent le quartier général de l’Ordre de l’épée.
– En se rendant au QG de l’Ordre, Marbas et Wisteria sont confrontés à Sytry et son nouveau contractant.

On voit très peu Marbas et Wisteria, et c’est bien dommage. Par contre, Dantalion et Luther sont bien trop présents à mon goût, et comme je ne les aime pas vraiment, ça m’a paru long.
Pourtant, ça bouge beaucoup, les combats s’enchaînent, mais ça m’a ennuyée.

En ce qui concerne les dessins, je suis partagée. Dans les grandes planches, les illustrations sont travaillées, les diables ont la classe, mais dans les vignettes classiques, c’était assez moyen.
C’était une lecture moyenne qui m’a laissée indifférente. J’essaierai de lire le huitième et dernier tome le mois prochain, histoire de terminer cette saga.

Overlord, tome 1 – Satoshi Oshio & Kugane Maruyama

Titre : Overlord, tome 1
Scénario : Kugane Maruyama
Illustrations : Satoshi Oshio
Éditeur : Ototo (Seinen)
Nombre de pages : 180
Quatrième de couverture : Faites d’Ainz Ooal Gown une légende immuable. S’il existe de nombreux héros, gommez leur nom avec le mien. Faites savoir à tous qu’Ainz Ooal Gown est le plus grand des héros. Face à des êtres plus puissants que nous, employez un moyen autre que la force. Face à un magicien protégé par une armée, employez autre chose que le nombre. Nous n’en sommes encore qu’aux préparatifs, mais agissez le moment venu, dans le seul but de leur apprendre qu’Ainz Ooal Gown est le plus grand homme au monde.

Bon…. par où commencer ?
Je m’attendais à une histoire typique de fantasy, mais pas vraiment. Ça commence par un jeu vidéo.

Le héros joue à Yggdrasil grâce à des lunettes VR. Il est un Overlord, chef d’une puissante guilde. Malheureusement, le serveur du jeu est censé s’arrêter à minuit, sauf que lorsque l’heure fatidique arrive, le héros est coincé dans le jeu qui n’en est plus un.
Le principe aurait pu être sympa (un isekai bête et méchant), mais c’est un grand n’importe quoi.

Le héros est particulièrement inintéressant : on ne connaît rien de son passé, on ne sait même pas comment il s’appelle. Il est très laid (c’est l’espèce de squelette qu’on voit sur la couverture). Il est super trop fort, ne parlons même pas des gardiens qui l’accompagnent. Personne ne peut le battre… le souci, c’est qu’il n’a aucun but. Il pénètre dans je-ne-sais-quel bâtiment (un donjon, je crois), on en ignore la raison, mais il doit être escorté donc il décide de se camoufler dans une armure, et il est démasqué au premier coup d’œil. Puis il va dans un village sans raison, le traverse, revient sur ses pas toujours sans raisons apparentes… et il sauve tout le monde sans qu’on ne sache pourquoi.

Bref, c’est un non-sens total. J’ai relu certains passages deux ou trois fois pour comprendre ce qui motivait cette histoire puis vers les trois quart du manga, j’ai abandonné l’idée de comprendre. Ça n’a pas rendu cette lecture moins laborieuse.
Les dessins sont assez sympa dans l’ensemble, mais ça ne sauve pas l’histoire.

Je ne vais pas m’attarder plus longtemps sur ce premier tome. Je me suis ennuyée, c’était inintéressant au possible. J’ai détesté cette lecture et je donnerai pas sa chance au prochain.

Automne frissonnant
Le portrait du mal (une couverture/affiche sur laquelle un visage -sinistre- est dessiné)