Flying Witch, tome 10 – Chihiro Ishizuka

Titre : Flying Witch, tome 10
Auteur : Chihiro Ishizuka
Éditeur : Nobi nobi ! (Shôjo kids)
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Après de longs mois dans la verdure luxuriante d’Aomori, Makoto replonge dans la jungle de la ville le temps d’un petit séjour chez ses parents. L’apprentie sorcière est ravie de retrouver ses amies d’enfances, la discrète Yayoi et l’espiègle Miko. Mais les vacances prennent bien vite un tour plus sérieux lorsque le trio est chargé d’élucider un mystère dans un célèbre temple…

J’ignorais que le 10 était sorti, quelle ne fut pas ma surprise lorsque je l’ai vu à la médiathèque… j’ai hésité à l’emprunter : j’aime bien cette saga, mais ce n’est pas non plus fou-fou et je n’ai pas de temps à perdre ces prochains mois. Pourtant, la curiosité de découvrir ce que nous réservait la mangaka était plus forte que mon hésitation.

Il y a un gros changement dans ce dixième tome : Makoto rentre chez elle, pas définitivement, mais elle retourne chez ses parents où elle compte bien remplir quelques missions pour le bureau des sorcières.
On découvre donc plein de nouveaux personnages :
les parents de Makoto et Akane semblent sympathiques, leur mère me paraît un brin exubérante comme la fille aînée de la famille.
Miko, meilleure amie et rivale de Makoto. Je ne suis pas certaine de l’apprécier.
Yayoi est l’amie moldue de Miko. Elle se montre joviale et ça équilibre le caractère réservé de Makoto. Je l’aime bien.

J’ai aimé l’ambiance qui se dégageait de ce manga. Ça fait un sacré contraste avec les précédents : c’était étrange de retrouver notre sorcière dans un univers plus urbain, et tout aussi dépaysant.
La mission que Makoto et son amie doivent remplir est amusante, un peu dingue par certains côtés, mais drôle et mignonne. Ça m’a fait passer un bon moment.
Ce fut une lecture plaisante que j’ai bien aimée.

Blue Lock, tome 01 – Muneyuki Kaneshiro & Yûsuke Nomura

Titre : Blue Lock, tome 01
Scénario : Muneyuki Kaneshiro
Illustration : Yûsuke Nomura
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 208
Quatrième de couverture : Coupe du monde 2018, l’équipe de football du Japon est éliminée en huitièmes de finale… Ce nouvel échec incite l’Union japonaise de football à fonder le “Blue Lock” : un centre de formation révolutionnaire rassemblant les 300 meilleurs attaquants lycéens du pays. L’objectif du coach du Blue Lock, Jinpachi Ego, est clair : détecter l’unique attaquant qui écrasera tous ses rivaux par son talent et son hyperindividualisme ! Pour Yoichi Isagi, joueur bouillonnant encore inconnu, il n’y a pas d’alternative… S’il veut survivre au programme hautement sélectif qui l’attend, il devra abandonner le jeu collectif et se transcender pour devenir l’attaquant ultime !

Je ne comptais pas lire ce manga jusqu’à ce que j’apprenne qu’il ferait partie de la sélection « 48h BD ». Mon fils a vu et aimé l’animé donc il voulait le premier tome… autant en profiter pour le lire.
Et je suis contente d’avoir tenté l’aventure, j’ai été agréablement surprise par cette lecture. Je ne m’attendais pas à ce que cette histoire tienne plus de Squid Game que d’Olive et Tom.

Blue Lock est un programme qui réunit 300 jeunes attaquants du Japon. Le but est de dénicher LE buteur d’exception qui manque à l’équipe nationale pour gagner la coupe du monde.
Les participants sont enfermés pendant un temps dans un complexe sportif, ils sont répartis en fonction de leur niveau dans différentes équipes. Et ils affrontent des épreuves qui les élimineront à vie de tout recrutement dans l’équipe nationale de Japon. Alors d’accord, ils ne meurent pas, mais pour ces jeunes gens, ça reste la fin du monde.
On suit Isagi qui est avant-dernier donc 299ème dans le classement.

Le personnage principal est plutôt sympathique et n’importe qui pourra s’identifier à lui sans problème. Il faudra voir comment il tourne par la suite : ce premier tome laisse entendre que pour réussir, il faut être égocentrique, imbu de sa personne et ne pas hésiter à écraser les autres pour réussir… bref, seuls les buteurs se la jouant perso seront hissés au sommet… euh, le football, c’est pas un jeu d’équipe ? -_-
En ce qui concerne l’entraîneur, Jinpachi Ego (il porte bien son nom, lui) est particulièrement antipathique. Ça a l’air d’être un connard fini. Les jeux qu’il invente pour éliminer les uns et les autres semblent un grand n’importe quoi sans rapport avec le foot… et pourtant, ses explications après coup (du moins celles qu’il donne pour le « loup ») font sens.

Ce premier tome n’est pas un chef d’œuvre, mais j’ai passé un bon moment. J’ai beaucoup aimé cette lecture et je lirai volontiers les suivants.

Frieren, tome 5 – Kanehito Yamada et Tsukasa Abe

Titre : Frieren, tome 5
Scénario : Kanehito Yamada
Illustrations : Tsukasa Abe
Éditeur : Ki-oon (Shônen)
Nombre de pages : 188
Quatrième de couverture : Stark, guerrier et disciple d’Eisen, a rejoint les deux mages dans leur périple. Ensemble, ils arrivent dans le comté de Granat, mais une surprise de taille les attend : des démons à l’apparence humaine se baladent comme si de rien n’était en ville ! Frieren n’est cependant pas dupe, elle sait que leur présence n’augure rien de bon…
La suite des événements lui donne malheureusement raison. Tandis que les éclaireurs tentent de briser la barrière magique de la cité de l’intérieur, une armée dirigée par nulle autre qu’Aura la Guillotine, qui fait partie des sept sages du chaos, se tient prête à attaquer à quelques kilomètres de là ! L’elfe parviendra-t-elle à l’arrêter ?

Je ne me souvenais plus de ce qui m’attendait dans ce sixième tome, mais une fois commencé, ça m’est revenue très vite et il m’a été très difficile de mettre en pause ma lecture tant l’histoire m’a captivée.

Fern et Frieren participent aux épreuves pour devenir mage de première catégorie. La première se déroule en groupe, les équipes ont été formées à la fin du tome précédent, donc on sait que nos deux héroïnes ne sont pas ensemble.
Il y a une quinzaine de groupes, chacun composé de trois mages. Tout le monde se retrouve dans une zone délimitée par un bouclier, ils ont des règles à respecter : ils ont pour objectif d’attraper un stille, un oiseau tellement sensible à la magie qu’il la fuit, et ce, dans le temps imparti. Bien sûr, leur épreuve n’est validée que s’ils ont conservé leur proie jusqu’au moment de l’arrêt du test donc rien n’empêche les vols. Et si l’un des membres du groupe meurt, c’est disqualifiant.

C’est l’occasion de découvrir de nouveaux personnages. J’ignore s’ils auront une place importante dans les prochains tomes, ni pour combien de temps on les aura, mais pour le moment, ils ont un rôle conséquent… suffisamment pour me faire une idée à leur sujet.
Lawine et Kanne m’ont laissée indifférente. Elles se connaissent depuis un moment, néanmoins, elles passent leur temps à se disputer, c’est pénible.
Übel me déplaît fortement. Je la sens mauvaise… juste pour le plaisir de faire du mal.
Je ne sais pas trop quoi penser de Land. J’ai aimé sa réaction dans les derniers chapitres, mais il est très froid, ce qui ne le rend pas sympathique.
En ce qui concerne Denken, c’est mitigé. Les autres mages le présentent comme quelqu’un d’intéressé, ce qui est démenti par l’attention paternaliste qu’il a envers ses coéquipiers, surtout Laufen qui ne semble pas très expérimentée. Je réserve mon avis pour lui.
J’adore Wirbel. Non seulement il a la classe, mais il dégage un sacré charisme. Il a l’air fort et ses activités de défense de la frontière nord le rendent sympathique. Il devrait bien s’entendre avec Stark qu’on ne voit quasiment pas au passage.
Les autres personnages ne m’ont pas fait grande impression. Peut-être que ça changera par la suite.

C’est un coup de cœur pour cette lecture et j’ai hâte de lire le septième qui devrait nous proposer la seconde épreuve.

The Quintessential Quintuplets, tome 05 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 05
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Après une classe nature rocambolesque, Fûtarô a enfin gagné la confiance des quintuplées. Mais dès son retour, le jeune professeur particulier, qui est tombé malade durant le séjour, se retrouve à l’hôpital. C’est alors qu’Itsuki vient lui rendre visite et lui demande avec détermination pour quelle raison il étudie. L’occasion pour Fûtarô de laisser remonter des souvenirs à la surface qui pourraient bien chambouler ses relations avec les sœurs Nakano…

Je n’étais pas très motivée pour lire ce cinquième. Je ne suis décidément pas fan de cette saga et à chaque nouveau tome se pose la question : vais-je continuer ou pas ? Je ne suis toujours pas décidée et ce n’est pas cette lecture qui m’aidera.
Il ne se passe rien. Pas de fil rouge. Des petites scènes de vie, mais j’ai trouvé le récit décousu.

Ils sont revenus de la classe d’hiver et Fûtarô est à l’hôpital. Les filles viennent le voir, même si elles ne sont pas vraiment là pour lui.
Puis on passe au chapitre suivant où Fûtarô mène l’enquête, mais sur quoi ? Mystère ! Est-ce que c’est sur la fille qu’il a rencontré cinq ans auparavant et qui pourrait être une des quintuplées ? Est-ce que son but est de découvrir laquelle a eu zéro dans telle ou telle matière ? Ou simplement celle qu’il a vu au sortie de la douche la veille ? Bref, ce n’est pas clair.
Le reste ne l’est pas davantage. La raison de sa journée passée avec Yotsuba est bancale.

Il a enfin réussi à réunir les quintuplées pour réviser, ben c’était trop beau pour être vrai ! Nino pète un câble, on ignore pourquoi. Et le groupe de révision vole en éclat. J’avoue que de toutes les cinq, c’est Nino qui me gave le plus. C’est vraiment une connasse ! J’espère que par la suite, on aura une explication sur ses réactions excessives… on verra (si je tiens jusque là).
Bref, ce n’était pas terrible comme lecture. C’était très brouillon, on n’en revient toujours à la même finalité : même quand Fûtarô réussit à les gagner à sa cause, elles finissent toujours par lui échapper et leur prof particulier doit tout recommencer ; c’est pénible et ça m’a saoulée.

To your eternity, tome 04 – Yoshitoki Oima

Titre : To your eternity, tome 04
Auteur : Yoshitoki Oima
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 182
Quatrième de couverture : Imm a décidé de rester auprès de Googoo. L’absence de stimulations et de métamorphoses l’a fait grandir. C’est le moment que choisit le frère de Googoo pour réapparaître…

J’avais hâte de commencer ce quatrième tome et de retrouver Googoo, Linh et Imm. J’ai d’ailleurs été ravie de passer du temps avec eux.

Quatre années se sont passées. Googoo et Imm sont amis et j’adore leur relation.
Shin revient vers son frère, ce n’était pas particulièrement étonnant, mais je me suis demandée ce qu’il préparait. On n’a malheureusement pas le temps de le découvrir parce que l’anniversaire de Linh arrive et un Knocker attaque nos héros.
Je sais bien que je ne dois pas m’attacher aux personnages, que tous ceux qui fréquentent Imm y passent, mais c’est plus fort que moi, je n’y parviens pas… donc je souffre à chaque séparation.

Ça s’est lu très très vite… et pourtant, je suis malade et passe mon temps à m’endormir. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai du mal à rassembler et à synthétiser mes idées aujourd’hui, mais je vais aire au mieux.
L’homme en noir est un peu plus présent, mais je ne sais pas trop quoi penser du personnage. Il distille les informations au compte goutte et ça m’énerve. Il continue de pousser Imm à s’améliorer pour sa propre survie, mais pas que… on sent qu’il y a d’autres enjeux derrière, mais on ignore lesquels.

Je pense avoir fait le tour. À la fin, de nouveaux personnages apparaissent, mais pas assez pour que je puisse me faire un avis. Je verrai dans le prochain.
Bref, il se fait tard. Je conclurai en disant que j’ai adoré cette lecture.