To your eternity, tome 06 – Yoshitoki Oima

Titre : To your eternity, tome 06
Auteur : Yoshitoki Oima
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Imm a passé avec succès toutes les manches du tournoi, jusqu’à l’arrivée inattendue d’Hayase ! Il va devoir affronter celle qui a tué March et Palona, ce qui le met dans une colère noire. Malheureusement, elle parvient à gagner en l’endormant et l’enlève. Tonali est bien décidée à arracher Imm des griffes d’Hayase !

Comme à chaque fois avec ce manga, j’en ai pris plein la tronche… j’ai tellement accroché qu’à peine levée, j’ai repris la lecture interrompue hier.

Hayase a enlevé Imm. Tonali se voit la possibilité de quitter l’île avec 700 personnes si elle laisse Imm derrière elle. Une telle offre, impossible de la rejeter ! Mais une fois sur le bateau, elle est prise de remords et débarque pour sauver Imm. Malheureusement, les knockers attaquent l’île.

La trame de l’histoire peut sembler récurrente : Imm rencontre des gens qui finissent par mourir (ben oui, on est dans to your eternity, les héros meurent systématiquement quelqu’en soient les raisons), les knockers débarquent et mettent tout à mal… pourtant chaque tome est différent (pour combien de temps ?).
Les personnages rencontrés par Imm sont pour la plupart sympathiques et touchants. La mangaka leur donne une véritable profondeur, ce qui les rend attachants.

Les illustrations sont remplies de détails, j’aime m’y attarder. Ça ajoute du charme à cette série et permet une immersion totale (en ce qui me concerne).
Le gros plus pour moi, c’est le résumé en début de tome. Avec ma mémoire de poisson rouge (ou parce que ma charge mentale est trop lourde donc mon cerveau fait du tri sélectif), j’ai parfois du mal à me souvenir de ce qu’il s’est passé dans le tome précédent…
Je conclurai en disant que cette lecture est un gros coup de cœur.

Toilet-bound Hanako-kun, tome 10 – Iro Aida

Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 10
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 176
Quatrième de couverture : Enfermés dans le tableau créé par le quatrième mystère, Shijima, Nene et Kô apprennent par cette dernière qu’ils pourront regagner leur monde uniquement s’ils ôtent la vie d’Amane Yugi, ainsi que celle de Sôsuke Mitsuba. Les deux amis, révulsés par cette idée, préfèrent chercher un autre moyen pour s’échapper de ce paradis infernal. De son côté, Kô tente de convaincre Mitsuba de retourner dans la réalité. Nene, quant à elle, essaie de quitter cet univers pictural en emmenant Amane le plus loin possible à la recherche des limites de ce monde. Mais la jeune fille va se confronter à un obstacle inattendu…

Heureusement que dès le début, Yashiro nous fait un résumé des événements précédents parce que je ne me souvenais de rien !
Donc Nene et Minamoto sont coincés dans une des toiles de Shijima qui représente l’école de nos héros avec tous les élèves. Pour pouvoir sortir de ce piège, ils doivent tuer Mitsuba et Amane. Vont-ils réaliser les desseins du quatrième mystère ?

Une fois de plus, je n’ai pas vu défiler les pages. Il se passe beaucoup de choses, il y a pas mal de dialogues, mais c’est fluide et rapide à lire tellement j’étais prise dans le récit.
Je prends toujours autant de plaisir à m’attarder sur les illustrations. Je devrais être habituée au charadesign, et limite être blasée, mais ce n’est pas le cas : ils me fascinent comme au premier jour. J’avoue que prendre le temps de contempler chaque planche me plaît bien : ça me permet de ne pas arriver trop vite à la fin.

En ce qui concerne les personnages, je les apprécie toujours autant. Même la version monde pictural de Mitsuba… pourtant, ce n’était pas gagné.
Shijima est flippante… elle est partout ! Pire que l’œil de Moscou !
J’aurais bien aimé que Nene et Minamoto fassent équipe dans ce dixième tome, mais ce n’est pas le cas : ils sont séparés et pendant que notre exorciste préféré confronte son ami Mitsuba, l’assistante d’Hanako décide de fuir avec Amane.

Bref, il est tard (0h20 à l’heure où je rédige ma lecture), c’est donc le moment de conclure : c’est un coup de cœur pour cette lecture.

Soul eater, tome 01 – Atsushi Ohkubo

Titre : Soul eater, tome 01
Auteur : Atsushi Ohkubo
Éditeur : Kurokawa
Nombre de pages : 201
Quatrième de couverture : Afin d’accéder au rang suprême de « Death Scythe », une arme démoniaque doit ingérer 99 âmes humaines et une âme de sorcière. Cette mission est confiée aux Meisters, des spécialistes du combat qui vont récolter les âmes au péril de leur propre vie. Dans Soul Eater, partez à la chasse aux âmes en compagnie des élèves de l’institut Shibusen, école de formation pour faucheurs d’âmes !

Ça fait longtemps que j’ai cette saga dans ma pile à lire, depuis sa première sortie donc 2009 pour ce premier tome… ça commence à remonter.
Je l’ai souvent sorti de ma bibliothèque, mais j’ai été incapable de le lire. Pour une raison toute simple : j’ai adoré de fou l’animé et je redoutais qu’il n’en soit pas de même pour le manga.

Les premières pages ont été difficiles. Je n’ai pas pu m’empêcher de comparer avec l’animé. Les dessins sont moins beaux, le character design est semblable, mais moins classe ; c’est noir et blanc donc on perd tout le charme des couleurs harmonieuses ; les mouvements me semblent statiques. Pourtant, la trame de l’histoire est la même, le caractère des personnages est respecté et l’univers est tout aussi déjanté.

On suit trois meisters qui ont tous une arme démoniaque différente.
– Maka utilise Soul, une faux ;
– Black Star combat avec Tsubaki, grappin-faucheur ;
– Death the Kid travaille avec les sœurs Thompson ( Liz et Patty), un duo de pistolet.
Je ne sais pas exactement ce que sont les armes : elles peuvent prendre une forme humaine.
Leur but : avaler 99 âmes humaine et une âme de sorcière afin de devenir Death Scythe, larme ultime de Shinigami le dieu de la mort.

J’aime les personnages. Ils sont complètement timbrés. C’est abusé et ça pourrait saouler certains, mais je les trouve drôle.
J’ai beaucoup aimé cette lecture. Pas autant que l’animé, mais au moins, je ne suis pas déçue.

Touhou Forbidden Scrollery, tome 1 – Zun & Moé Harukawa

Titre : Touhou Forbidden Scrollery, tome 1
Scénario : Zun
Dessins : Moé Harukawa
Éditeur : Meian
Nombre de pages : 148
Quatrième de couverture : Bienvenue dans la plus étrange des librairies ! Nous avons tout en boutique : des livres du monde extérieur, des ouvrages rares… et bien sûr, des grimoires démoniaques ! Kosuzu Motoori tient la librairie  » Suzunaan « , dans le village des humains, au coeur des terres illusoires. Elle est collectionneuse de « grimoires démoniaques », des livres ésotériques que personne ne peut déchiffrer. Un jour, Kosuzu parvient soudainement à les lire ! Pendant ce temps, l’ombre d’un dangereux yôkai plane sur le village…
Découvrez la mystérieuse librairie des yôkais aux livres insolites… Suzunaan !

J’adore les couvertures de cette saga, elles sont classes et j’ai hésité souvent hésité à me les acheter. Je ne l’ai pas fait pour plein de raisons et j’ai bien fait. Si les dessins me plaisent malgré une inégalité dans le graphisme, le scénario est vraiment faible.

Kosuzu tient une librairie et collectionne les ouvrages mystiques : des parchemins, des manuscrits, des bouquins dans lesquels se cachent des yôkais. Sans surprise, certains s’évadent ou sont libérés, et il incombe à la libraire ainsi qu’à deux autres personnages (la magicienne Marisa et la chamane du paradis Reimu) de les rattraper.

Le début est très brouillon, la mise en place des personnages est bordélique ce qui est plutôt désagréable. Est-ce que c’est parce que le manga est inspiré d’un jeu vidéo donc les protagonistes connus que l’auteur n’a pas ressenti le besoin de mieux poser les bases ? Je me suis posée la question, mais je ne pense pas parce que le reste du récit est tout aussi confus.

Ça m’a paru long, c’était assez inintéressant. Les chapitres sont relativement courts, mais ça manque de détails intéressants, comme si le scénariste avait un train à prendre… pas le temps de s’attacher aux personnages.
Je suis déçue par cette lecture, je ne lirai pas les prochains.

Blissful Land, tome 2 – Ichimon Izumi

Titre : Blissful Land, tome 2
Auteur : Ichimon Izumi
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 159
Quatrième de couverture : Tibet, XVIIIe siècle, dans un village au milieu des montagnes. Même si Moshi Lati et Kang Zhipa sont fiancés, leur relation est pour l’instant plus amicale qu’amoureuse. L’apprenti médecin dévoué à ses patients est aussi un passionné d’herbes médicinales qui embarrasse un peu sa famille. Lati lui trouve néanmoins de plus en plus de charme. C’est alors que ressurgit une amie d’enfance très proche de Kang Zhipa…

J’avais adoré le premier tome de cette saga, pourtant, j’avais l’impression que ce n’était pas le cas. Heureusement que j’ai relu ma chronique, ça m’a motivé à lire ce second volet que j’ai dévoré.

Je ne peux même pas faire de résumé de cette lecture parce qu’il ne se passe rien de particulier. Ce sont des tranches de vie : Lati accompagne son fiancé Kang Zhipa et essaie de l’assister au mieux dans son travail d’apprenti médecin.
Donc ils croisent différents personnages et les aident :
– un homme qui a le poison des montagnes mais doit rejoindre sa sœur blessée ;
– un vieil homme qui a une angine de poitrine et dont la femme s’inquiète ;
– un vagabond qui se fait passer pour le petit-fils d’une vieille dame ;
– le retour d’une amie d’enfance de Kang Zhipa qui inquiète Lati.

Certains lecteurs pourraient trouver ça ennuyeux, ce n’est pas mon cas. Les personnages sont attachants, la manière dont ils vivent m’a intéressée.
Les dessins sont toujours aussi beaux, surtout les vêtements détaillés typiques du Tibet. J’ai pris un plaisir fou à m’y attarder.

Comme pour le premier, c’était calme et apaisant. C’est un coup de cœur pour cette lecture et je vais pouvoir emprunter le suivant à la médiathèque puisque la série complète y est.