Blue Exorcist, tome 01 – Kazue Kato

Titre : Blue Exorcist, tome 01
Auteur : Kazue Kato
Éditeur : Kazé
Nombre de pages : 180
Quatrième de couverture : Adopté dès son plus jeune âge par un exorciste de renom, Rin apprend un jour qu’il est le fils du mal incarné, quand son véritable père, Satan lui-même, apparaît pour l’emmener dans son monde. Mais impossible pour le jeune homme d’oublier tout ce qui lui a été enseigné jusqu’ici… Confronté à un adversaire invincible qui a consumé le seul homme à l’avoir jamais aimé, Rin fait alors le choix de combattre aux côtés des exorcistes, quitte à libérer, en dégainant l’épée de son père, la puissance démoniaque qui sommeille en lui !

Je me suis pris ce premier tome parce que c’était une offre découverte avec les deux premiers volumes et j’avais entendu parlé de l’animé en bien. D’ailleurs, je pense que j’ai dû voir au moins le premier épisode parce que le second chapitre de ce manga me disait quelque chose, comme une impression de déjà-vu.

Rin a été élevé par le père Fujimoto. Lorsque les démons apprennent que le jeune homme est le fils de Satan  (il le découvre en même temps), le prêtre tente de l’éloigner, mais l’homme de foi meurt avant d’en avoir le temps. Peu importe, le plan est déjà en marche : Méphisto Phélès, directeur de l’académie de la Croix-Vraie, récupère Rin qui intègre l’école afin de devenir exorciste.

Ce premier tome introductif met en place l’histoire, le contexte et les personnages. Les deux premiers tiers m’ont ennuyée, j’ai mieux aimé le dernier chapitre.
Rin m’a laissée indifférente. Il a un caractère de délinquant et n’en fait qu’à sa tête.
Son frangin, Yukio, paraissait insipide d’un premier abord, finalement, il cache bien son jeu… et je ne suis pas sûre de l’apprécier.
Celle qui me botte bien, c’est Shiemi. Je redoutais qu’elle ne soit que de passage, il semblerait que ce n’est pas le cas. Et j’ai hâte de voir la manière dont va évoluer la relation de ce trio.

Quant aux dessins, rien à dire, c’est joli, mais assez typique des shōnen donc rien d’original.
Ce premier tome s’est laissé lire, sans plus. Le début m’a paru long, la fin est beaucoup mieux.

Fullmetal Alchemist, tome 03 – Hiromu Arakawa

Titre : Fullmetal Alchemist, tome 03
Auteur : Hiromu Arakawa
Éditeur : Kurokawa
Nombre de pages : 182
Quatrième de couverture : Après un combat dévastateur contre l’énigmatique Scar, Edward et Alphonse se rendent dans leur village natal afin de réparer leurs corps meurtris. C’est l’occasion pour les frères Elric de retrouver Winry Rockbell, leur amie d’enfance ainsi que sa grand-mère Pinako Rockbell qui sont les mécaniciennes les plus réputées de la région. Mais le repos est de courte durée et nos alchimistes partent rapidement pour la capitale : Central, afin de percer le secret de la pierre philosophale et du Laboratoire N°5.

Une fois de plus, je ne sais pas quoi dire de cette lecture, alors je vais essayer de résumer et peut-être que l’inspiration viendra.

Suite à leur combat contre Scar, les frères Elric se sont fait défoncer : le bras mécanique d’Edward est en charpie, et Alphonse a été démembré.
Escortés par Armstrong, ils se rendent à la campagne, chez Pinako et Winry pour faire réparer le ras de notre héros.
Je pense que les deux réparatrices sont des personnages que j’aurais pu apprécier, mais leur apparition est trop courte pour m’en faire une idée plus précise. En même temps, ça m’aurait saoulée si ça avait duré plus longtemps, d’autant que nos héros doivent retourner à Central le plus vite possible afin de récupérer les carnets de Marcoh et ainsi trouver comment fabriquer la pierre philosophale. Et c’est ce qu’ils font.
Ils trouvent une piste qu’ils suivent.

Ben je pense que j’ai dit tout ce que j’avais à dire.
En écrivant cette chronique, j’ai l’impression que ce troisième tome est vide… pourtant, ce n’était pas le cas en le lisant. J’ai passé un bon moment, j’ai rigolé quand il y avait de l’humour, notamment lors de la confrontation entre Alphonse et Barry le boucher, j’étais on ne peut plus sérieuse dans les moments cruciaux… néanmoins, je n’ai rien à dire.
Donc autant conclure. J’ai aimé ce troisième tome et j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain.

Solo Leveling, tome 13 – Chu Gong

Titre : Solo Leveling, tome 13
Auteur : Chu Gong
Éditeur : Delcourt (Kbooks)
Nombre de pages : 240
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.

Je n’étais pas super motivée pour lire ce treizième tome parce que le précédent n’était pas terrible, c’était probablement celui que j’ai le moins aimé. Mais ce tome-ci le rattrape largement !

Sung Jinwoo arrive aux États-Unis pour la conférence rassemblant les plus grands chasseurs mondiaux. Pendant qu’il est occupé au bureau fédéral des chasseurs, son second Jinho est enlevé.
Alors, il n’y a aucune surprise quant à l’identité du kidnappeur. Pas plus que sur le fait que notre héros va les retrouver et que ça va chier ! Mais j’avoue que je ne m’attendais pas à ce que ça prenne une tournure si extraordinaire. Par contre, c’était court, je pensais que ça prendrait la totalité du manga et ce n’est pas le cas.
Ce treizième tome s’est lu à une allure folle. Ça faisait longtemps que je n’avais pas torché une manga en une seule journée.
J’aime toujours autant la relation d’amitié qu’entretiennent Jinwoo et Jinho. Heureusement d’ailleurs qu’ils ont une telle complicité, sinon le second ne serait plus là.

Les dessins sont toujours aussi beaux, les couleurs harmonieuses. J’ai passé beaucoup de temps à les contempler. Les ombres de Jinwoo continuent de me fasciner et je prends beaucoup de plaisir à les détailler, surtout quand elles sont réunies en une seule planche.
En conclusion, c’est un coup de cœur pour cette lecture… vivement le prochain.

Chillin’ Life in a Different World, tome 2 – Miya Kinojo & Akine Itomachi

Titre : Chillin’ Life in a Different World, tome 2
Œuvre originale : Miya Kinojo
Auteur : Akine Itomachi
Éditeur : Meian
Nombre de pages : 164
Quatrième de couverture : Voici le deuxième volume de la série qui a conquis le web japonais ! Pour cacher son identité et le fait qu’il était un candidat héros venu d’un autre monde, Banaza a désormais pris le nom de « Furio ». Aux côtés de Fenrys, la fille démon qu’il a acceptée comme épouse, il aspire à commencer une nouvelle vie paisible. Toutefois, les échos de sa puissance démesurée parviennent jusqu’aux oreilles de la capitale, mais aussi du Roi Démon, et tous se ruent vers Furio pour tenter de s’accaparer sa force ! Afin d’échapper à ces sollicitations qui troublent le calme de sa petite vie tranquille, Furio décide d’utiliser un sort de téléportation pour trouver un nouvel endroit où vivre…
En utilisant ses pouvoirs cheatés hors du commun, aurait-il malgré lui déclenché une guerre entre les humains et les démons ? !

J’ai conservé un bon souvenir de ma lecture du premier tome, mais la motivation n’était pas là pour celui-ci. J’ai donc pris tout mon temps pour avancer. J’ai quand même essayé de lire un ou deux chapitres par jour, mais je ne me suis pas mise la pression.

Furio vit avec sa femme Lys, entouré de ses disciples : un groupe de jeunes femmes chasseuses. Ils chassent les démons pour la guilde et se font remarquer par les deux camps : humains et démons. Notre groupe de héros est observé par l’une et l’autre race qui tient à l’avoir à leur côté, mais Furio refuse catégoriquement.
La situation commence à s’envenimer… malheureusement pas longtemps.

Les dessins sont super beaux, tout autant que dans le précédent. J’ai pris plaisir à détailler les personnages, l’expression de leur visage, les mouvements de leurs habits. C’était un vrai plaisir. Davantage que le récit qui est plutôt soft.
L’intrigue est plutôt lisse. Il ne se passe pas grand-chose. Ça se lisait, mais sans plus. Je me suis un peu ennuyée. De plus, certaines parties de la trame étaient plus que prévisibles.
En conclusion, c’était pas terrible comme lecture.

The Quintessential Quintuplets, tome 08 – Negi Haruba

Titre : The Quintessential Quintuplets, tome 08
Auteur : Negi Haruba
Éditeur : Pika
Nombre de pages : 189
Quatrième de couverture : Malgré son manque d’expérience et l’aversion totale des cinq soeurs pour les études, les efforts de Fûtarô Uesugi et ceux de ses chères étudiantes finissent par payer. Elles réussissent leurs examens et obtiennent le feu vert pour passer en terminale. C’est le moment que choisit Nino pour déclarer sa flamme à Fûtarô, qui semble totalement déconcerté par cet aveu. Heureusement, les vacances de printemps lui offriront un temps de réflexion…
Mais un surprenant concours de circonstances réunit, pour quelques jours, les familles Nakano et Uesugi au complet dans les mêmes thermes ! Déstabilisé par la situation, Fûtarô parviendra-t-il à sortir la tête de l’eau ?

Avant de commencer cette lecture, je redoutais de m’ennuyer et le premier chapitre m’a donné raison. J’ai eu du mal à le lire, c’était loin d’être palpitant… enfin, peut-être que ça l’aurait été si je me souvenais de la fin du 7.
Sur la moto, Nino a déclaré sa flamme à Fûtarô, mais ce boulet n’a rien entendu. Ce n’est pas grave, elle prend son courage à deux mains et recommence. Malheureusement, Ichika assiste à la scène. Aïe !

Par la suite, le récit devient plus intéressant. J’ai eu l’impression que ça se recentrait sur l’intrigue principale : qui est l’épouse de Fûtarô ? Je reste sur mon idée de base quant à son identité. Ce n’est pas forcément celle que je souhaiterais, mais c’est celle qui me semble le plus probant.
Notre héros gagne un concours et part en vacances avec son père et sa sœur. Une fois arrivé, quelle n’est pas sa surprise de découvrir que les quintuplées séjournent avec leur paternel dans la même auberge !

C’est le temps de la confrontation : les filles sont toutes déguisées en Itsuki, est-ce que Fûtarô va les reconnaître ?
Le pauvre, c’est loin d’être évident surtout qu’elles lui donnent du fil à retordre.
Ç’a titillé ma curiosité : comme lui, j’ai passé mon temps à chercher qui était qui et je n’ai pas réussi à les remettre.
Il y a quelques scènes prévisibles et surtout typiques des mangas harem comme celles dans les bains publics. Mais elles ont l’avantage d’être superbement dessinées. J’ai pris beaucoup de plaisir à m’attarder sur les planches.

Bref, j’ai passé un excellent moment : j’ai adoré ce huitième tome et je me demande ce que nous réserve le prochain.