Divergent, tome 3 : Allégeance – Veronica Roth

Titre : Allégeance
Saga : Divergent, tome 3
Auteur : Veronica Roth
Éditeur : Nathan
Format : E-book
Nombre de pages : 460
Quatrième de couverture : Tris et ses alliés ont réussi à renverser les Érudits. Les sans-faction mettent alors en place une dictature, imposant à tous la disparition des factions. Plutôt que de se plier à ce nouveau pouvoir totalitaire, Tris, Tobias et leurs amis choisissent de s’échapper. Le monde qu’ils découvrent au-delà de la Clôture ne correspond en rien à ce qu’on leur a dit. Ils apprennent ainsi que leur ville, Chicago, fait partie d’une expérience censée sauver l’humanité contre sa propre dégénérescence. Mais l’humanité peut-elle être sauvée contre elle-même ?

Je l’ai enfin fini ! Ce fut une lecture interminable ! Le second tome était déjà moyen, mais celui-là est nul ! D’une force !
Il ne se passe quasiment rien, ça n’avance pas : les événements auraient pu être contés en 100 pages, il y en a au moins 300 de trop.

Les sans-factions ont pris le pouvoir dans la ville et les différentes factions sont interdites, ce qui ne plaît pas à tous. Un groupe de loyalistes se forme. Tris, Tobias et certains de leurs amis quittent la ville pour découvrir ce qui se passe au-delà du mur d’enceinte.
Les révélations d’Edith Pryor sont-elles exactes ?
On le sait rapidement : ils découvrent un laboratoire remplis de scientifiques.

Il n’y a pas grand chose à dire de plus. Une histoire de guerre génétique qui revient en force, des inégalités entre déficients (attention, je n’ai pas dit divergents) et purs.
À peine arrivés, ils foutent déjà la merde. Ils ne connaissent pas le contexte historique ni social, mais ils se mêlent de ce qu’ils ne comprennent pas sur les dires de personnes qu’ils viennent à peine de rencontrer.
Que ce soit Tris ou Tobias, les deux m’ont gonflée. Leurs réactions sont à l’opposé l’une de l’autre et c’est un grand n’importe quoi au final.
Y a que les personnages secondaires qui m’ont plus, Uriah, Christine ou même Cara, mais ils sont peu présents.
Pas la peine de m’étaler. Je me suis ennuyée et j’ai détesté cette lecture.

Coupe des 4 maisons :
Gred et Forge (5ème année) – un livre avec une narration à deux voix50 points

Elegant Yokai Apartment Life, tome 3 – Hinowa Kôzuki & Waka Miyama

Titre : Elegant Yokai Apartment Life, tome 3
Scénario : Hinowa Kôzuki
Illustrations : Waka Miyama
Éditeur : Noeve grafx
Nombre de pages : 191
Quatrième de couverture : Yushi est devenu le maître d’un grimoire ramené par le libraire. Ce qu’il pensait d’abord être un rêve, il s’entraîne maintenant à devenir un mage. Pour compliquer les choses, même Hase découvre ses nouveaux pouvoirs ! Le moment est venu pour Yushi de parler à son meilleur ami du grimoire et de l’appartement. De plus, les talents surnaturels d’un individu inattendu sont révélés !

Dans ce troisième tome, l’histoire fait un bond spectaculaire et cohérent avec la fin du précédent.
Yûshi a hérité du grimoire du petit Hierozoïcon, il en est le maître et peut donc invoquer les 22 créatures magiques qui composent les cartes de tarot illustrées dans le bouquin. Ce qui est bien pratique quand Hase et lui se font attaquer par une bande de motards… ou pas en fait, parce que chaque invocation est plus ridicule l’une que l’autre. Mais je dois avouer que j’ai trouvé ça très drôle et j’ai bien ri en découvrant leur apparence aussi bien que leurs pouvoirs dérisoires.
Malheureusement, tout a toujours un prix et notre héros apprend que les apparitions de ses sujets pompent ses forces vitales. Heureusement, Akine est là pour l’entraîner. Le pauvre !
Quant à Hase, il connaît maintenant le secret de son ami. Comment va-t-il réagir quand il découvrira l’endroit où il vit, entouré de fantômes ?

J’aime toujours autant les dessins. Ils sont beaux ; le fait que ce soit Hase qui visite la pension permet de voir les lieux avec un œil nouveau. Certains décors sont féeriques, quelques yôkai sont effrayants (Sadako ou ce que contient la valise du libraire).
J’ai adoré l’ambiance qui se dégage de ce troisième tome, c’était aussi agréable que le premier tome.
Comme il n’y a pas de nouveaux personnages, je ne vais pas revenir sur ceux dont j’ai déjà parlés ni m’attarder davantage.

C’est un coup de cœur pour ce troisième tome et je suis curieuse de savoir ce que nous réservera le prochain épisode.

Netsuzou Trap : NTR, tome 3 – Naoko Kodama

Titre : Netsuzou Trap : NTR, tome 3
Auteur : Naoko Kodama
Éditeur : Taifu comics (Yuri)
Nombre de pages : 164
Quatrième de couverture : Blessée par sa séparation d’avec Takeda, Yuma parle de sa solitude à Hotaru, son amie. Mais alors qu’elles sont dans les bras l’une de l’autre, le petit ami de cette dernière, Fujiwara, les prend en photo, et leur demande s’il peut les rejoindre…
Afin de dissiper le malentendu, Hotaru reste seule avec Fujiwara, mais Yuma ne peut pas s’empêcher de ressentir de sombres sentiments. Et quand elle chercher à mettre la lumière sur ceux-ci, tout ce que Hotaru lui répond, c’est qu’elle est « son amie la plus précieuse »…
Après le début de la nouvelle année scolaire, Yuma sent que Hotaru s’éloigne de plus en plus d’elle… C’est alors qu’elle l’aperçoit un soir en centre-ville…

J’avais hâte de découvrir ce qui allait se passer dans ce troisième tome puisque Fujiwara avait surpris Yuma et Hotaru dans une position particulièrement hot et il avait même pris une photo de la scène.
On pouvait s’attendre à ce que ça prenne une tournure malsaine, mais finalement, c’est très sage, presque trop

Il y a quand même quelques changements : nos héros entament leur année de terminale, Takeda et Yuma se parlent à nouveau, ils suivent des cours du soir. C’est alors que la jeune fille aperçoit Hotaru entrant dans un immeuble, elle la suit et découvre que son amie travaille dans un neko maid café en tant qu’hôtesse. Pourquoi ? C’est une bonne question. A-t-elle réellement besoin d’argent ? Ou ce travail a-t-il un lien avec la photo prise par Fujiwara ?
Je table plutôt sur cette seconde hypothèse, un petit chantage ne m’étonnerait pas, puisque le petit copain de Hotaru a envoyé le cliché à son frère… et le gérant du café a la même coupe que le frangin en question – enfin vu de derrière, ça me semblait identique.

On retrouve une certaine inégalité dans les illustrations : il y a quelques planches où les corps des personnages n’ont pas les bonnes proportions. Pas grand-chose de plus à ajouter.
C’est toujours un peu pareil que ce soit au niveau des dessins ou de l’histoire.
Ça n’avance pas vraiment. Les personnages font un pas en avant pour reculer de deux… comment veux-tu… comment veux-tu qu’i’s’tricotent un pull ?
Ça en reste au statu quo. J’avoue que je suis un peu déçue.

Birdcage Castle, tome 1 – Toutarou Minami

Titre : Birdcage Castle, tome 1
Auteur : Toutarou Minami
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 224
Quatrième de couverture : Un beau jour, six lycéens se rendent dans un parc d’attractions désaffecté pour enquêter sur la disparition d’une camarade volatilisée sans laisser de traces. Mais à peine ont-ils mis les pieds dans ce mystérieux “château de la cage aux oiseaux” qu’ils perdent connaissance. À leur réveil, les lycéens sont enchaînés deux par deux… Parviendront-ils à sortir vivants de ce château truffé de dispositifs maléfiques disséminés çà et là par une inquiétante main invisible ?

J’ai acheté ce manga pour deux raisons : c’était un pack de quatre (deux achetés, deux offerts – je viens de découvrir que c’était une saga en quatre tomes, tout bénef) et les couvertures me plaisaient beaucoup.

Kumo a disparu sans laisser de traces. On l’aurait vue partir avec un garçon. Six de ses camarades se réunissent afin de la retrouver. Selon une légende urbaine, si un couple entre dans le château de la cage aux oiseaux, il en ressort unis pour la vie. Kumo a-t-elle été là-bas ?
En tout cas, c’est l’hypothèse de ses amis puisqu’ils s’y rendent et tombent dans un piège. Lorsqu’ils se réveillent, ils ont une collier de métal autour du coup et sont reliés à l’un de leur camarade. Un rapace leur donne les règles du jeu : ils doivent trouver le « hiboux bleu » qui, à priori, est le maître du jeu. Ils ont bien sûr des contraintes : ils doivent toujours agir par paire et il leur est impossible de revenir sur leur choix.

C’est un premier tome, ils découvrent le jeu, les règles, les conséquences mortelles s’ils ne s’y plient pas. Pour l’instant, ce n’est pas transcendant. L’intérêt tient dans les personnages.
Gin est sympathique, il est bizarre à parler tout seul, mais je caricature : il est évident que ça lui permet de structurer sa pensée et ça m’a fait sourire parce que je fais pareil. Je crois que je l’aime bien.
Je ne sais pas trop quoi penser de Kaede, de Yusuke ou de Aoï. Je crois que je les apprécie, mais ce n’est pas une certitude.
En ce qui concerne Yuki, je suis mitigée. Elle tombe à pic et c’est bizarre. Elle est extravertie et ça ne me plaît pas trop, son comportement est étrange : elle ne semble pas plus stressée que ça par la disparition de sa sœur Kumo.
Il reste Yuma que je déteste. C’est une sale gosse égoïste qui n’en fait qu’à sa tête et qui maltraite les autres sans vergogne.

J’ai bien aimé ce premier tome et je lirai les prochains parce que j’apprécie grandement Gin et que je veux savoir ce qu’il va lui arriver.

L’Ombre du chardon, tome 3 : Suisen – Aki Shimazaki

Titre : Suisen
Saga : L’Ombre du chardon, tome 3
Auteur : Aki Shimazaki
Éditeur : Actes Sud
Nombre de pages : 144
Quatrième de couverture : Chef d’entreprise prospère, marié et père de famille censément comblé, Gorô se voit contraint de reconsidérer l’équilibre de son existence et de se regarder en face le jour où toutes ses convictions sont ébranlées.

J’avais hâte de commencer cette lecture et de découvrir quel personnage nous présentait Aki Shimazaki dans ce troisième tome de l’ombre du chardon.
Et là, j’ai eu la mauvaise surprise de constater que c’était Gorô, un personnage qui me dérangeait dans le premier tome.

Faisons donc le point sur ce personnage : il est le président de la sakaya Kiya (marchand de spiritueux). Il a hérité de la société fondée par son grand-père. Il est marié et a deux enfants. Son aînée est à l’université et il compte lui organiser un miai avantageux. Son fils est lycéen, il le destine à reprendre la société familiale. Il a aussi plusieurs maîtresses à qui il impose sa volonté.
Bref, vous l’aurez compris, c’est un personnage arrogant, hautain et tyrannique. Il est loin d’imaginer que sa vie va progressivement déraper.

Sur les deux tiers du roman, on le suit, on découvre sa vie. Puisqu’il est le narrateur, le lecteur se prend en pleine tronche sa suffisance. En un mot comme en cent, c’est un connard : que ce soit avec ses enfants, sa femme, sa belle-mère qui l’a aimé comme un fils, ou avec sa demi-sœur et sa famille qu’il méprise parce qu’ils sont plus brillants que lui.
Puis il se prend le retour de bâton et ça a fait du bien. Je suis peut-être mauvaise, mais je me suis réjouie de son malheur ; il n’a eu que ce qu’il méritait. Par contre, quand il commence enfin à se comporter comme un humain et qu’il éprouve un peu de la compassion qui lui manquait pour être humain, le roman s’est terminé. Une fin prématurée qui était frustrante.

J’espérais aimer autant ce troisième tome que les deux autres, mais ce n’est pas le cas en raison du personnage m’as-tu-vu qu’est Gorô. Je mentirais si je disais que je n’étais pas déçue.
Malgré ça, j’ai hâte de lire le prochain tome et de découvrir quel personnage nous sera dévoilé.

Coupe des 4 maisons :
Filet du diable (5ème année) – un livre que vous pensiez aimer mais qui est une déception50 points