Reprise

Bon, j’en ai marre du repos. j’en ai marre, j’peux rien faire!!!! Je passe mon temps à dormir, jouer, manger et boire. Pas forcément dans ce sens là, ni même dans cette fréquence. J’ai envie de sortir, et j’peux pas, je tiens 15 minutes à tout péter avant que mes jambes ne fatiguent. Semaine prochaine, c’est décidé, que ça aille ou pas, je sors, j’emmène les petiots à l’école et je les cherche, si je suis pas trop naze, j’irai même faire les boutiques (oui, là, je m’avance un peu :p). Et p’is, j’fais un peu de ménage, au moins la bouffe et les lessives!

Là, je me sens inutile, et je déteste ça. De plus, peu importe ce que je fais, rien ne me va. Je rentre de nouveau dans un cercle où la morosité gagne du terrain, et ça, c’pas top: j’ai l’impression de ne rien faire d’intéressant ni de constructif, sûrement parce que je ne tente rien et ne fais rien de tel depuis pas loin d’un mois, ça commence à être long là. Et le pire, c’est que moins j’en fais, moins j’ai envie d’en faire. Là, par exemple, je n’avais nulle envie d’écrire, pourtant je me suis forcée et l’envie a fini par arriver (donc oui, ces prochains jours, il y aura peut-être ou peut-être pas, de quoi lire :P), et maintenant, je n’ai nulle envie de m’arrêter. Alors autant en profiter pour écrire mes mails, j’en ai plein en retard… Bon, allez, je donne à manger aux monstres (oui, 14h30 pour un déjeuner, c’est une heure convenable, je trouve :p) et je me lance ^^

Repos

Je vais devoir me reposer ces prochains temps. Je laisse donc de côté mon site, je ne sais pas combien de temps, sûrement pendant un long moment. Je l’ai déjà mis en partie en stand by, j’espérais que le repos me permettrait à nouveau d’écrire, mais rien… Je me sens totalement vide, incapable de la moindre pensée, la douleur paralyse tout raisonnement. J’en suis arrivée au point où je n’ai plus envie de rien, ni de manger, ni de boire, pas davantage de lire ni de regarder la télé. Vide… c’est le terme exacte…

Pour que les choses aillent mieux, j’entre à l’hôpital demain, après-demain, c’est l’opération et ensuite… Ensuite, c’est le flou. Je ne sais comment j’en ressortirai, je ne sais pas si ça ira vraiment mieux. J’espère au moins que la douleur lancinante et incessante qui me vrille les bras et le dos cessera enfin, que les sensations perdues au niveau des mains et des jambes reviendront progressivement. Je ne suis pas folle, si cela ne marche pas, mon espoir ne sera que peu déçu… je ne m’attends pas à un miracle… je reste dans l’expectative… je compte les heures qui me sépare de ma convalescence. Alors pour que je me remette du mieux que je puisse, je vais me consacrer au repos, suivre au mieux les conseils des médecins et prendre soin de moi. Me reposer un maximum, lire, me détendre autant que faire se peut, me requinquer entièrement et encore une fois attendre… Je vais donc commencer de suite et vous dire à très bientôt… ou pas…

Bonne année 2012

Décidément, je manque à tous mes devoirs: la nouvelle année est arrivée, et je n’ai même fait  aucun post sur mon site…
Je vous souhaite donc une bonne et fastueuse année 2012, que celle-ci vous apporte une bonne partie de ce que vous espérez (pas tout parce qu’on n’a jamais tout ce qu’on veux! :p), une bonne santé ou une meilleure que l’année passée pour certains :p et surtout plein de joie dans vos vies!

Allez, j’ai fait au mieux vue mon état d’esprit! Encore bonne année! (Un bébé à la fin de l’année? :p… ou pas!)

 

Les bébés de la consigne automatique – Murakami Ryû

Après de nombreuses semaines, j’ai enfin réussi à venir à bout de ce bouquin. Je l’avais commencé il y a bon nombres d’années et pour diverses raisons, j’avais dû le mettre de côté un temps et par la suite, pas moyen de le reprendre. J’ai donc laissé passé du temps avant de le relire entièrement. Là, comme la première fois, les cent premières pages, super bien, je l’ai lu en quelques heures… Mais alors par la suite… Ça a été super long. J’ai vraiment galérer pour le continuer, non seulement le temps me manquait, mais j’étais partagé quant à mon avis sur le bouquin, jusqu’à la page 350 environ, j’étais bien incapable de savoir si j’aimais ou pas cette œuvre, et une fois passé cette limite, le verdict est tombé: je n’aimais pas. Depuis, j’ai accéléré l’allure et l’ai fini relativement vite histoire d’en être débarrassé, et là encore, j’ai changé d’avis: je le déteste, ça a été une perte de temps totale ! Déjà, j’ai eu bien des difficultés à accepter la façon d’écrire de l’auteur: la narration qui au beau milieu du paragraphe se transforme en dialogue, mais non un dialogue traditionnel avec les ponctuations qui vont avec, non, non, une simple suite de phrase accolées les unes aux autres; alors après, ne chipotons pas, ça a été tellement bien fait, qu’on comprend immédiatement que c’est un dialogue, et qu’on sait indubitablement qui parle, mais je reste vieux jeu sur ce point, on m’a toujours appris qu’en littérature la ponctuation était importante ! Autant que son absence de ponctuation, je dirai, et là, je fais allusion aux longs monologues sans points, sans virgule, des suites de phrases courtes séparées entre elles par… rien -_-‘ ! Hérésie ! Et surtout,  j’ai eu beaucoup de mal avec cela parce que l’auteur en abuse tout au long des 500 pages du volume et comme dirait l’autre quand c’est trop, c’est… Quant à la fin, ça n’en est pas une, une porte ouverte à une suite… En tout cas, il est surtout dommage que le livre ne tient pas ses promesses du début, ni celle du résumé, il est long, lent et chiant ! Un bouquin au début surprenant et par la suite, tellement prévisible que c’en est lassant !

Résumé: Bien qu’abandonnés dès leur naissance dans une consigne automatique, Kiku et Hashi vont vivre. À l’orphelinat où ils passent une majeure partie de leur enfance, ils font leurs premiers apprentissages dans la haine et la violence ; une initiation au crime. D’ailleurs, si Hashi semble bien s’en tirer, il devient un chanteur adulé du public, Kiku lui, après un passage par la compétition sportive, tue sa mère.
Le Japon décadent avec sexe, drogue, alcool et convulsions en tous genres. Le Japon malade, pourri. Les odeurs qui s’échappent de ces pages sont acides, un mélange d’urine, de transpiration, de stupre, de crasse. Après l’abandon, plus rien n’a vraiment d’importance, et la plongée sordide qui se met en place n’est qu’une suite nécessaire composée pour ces deux destinées. Une écriture décapante !

Le Chat Potté

Mercredi dernier (oui, je sais, ça fait un long moment maintenant) on a été voir avec les petiots le Chat Potté. On l’attendait depuis des mois et enfin, on a pu le voir :D. Les enfants étaient super contents, ils ont adoré et ont beaucoup rigolé. Ils étaient plus que ravis de l’avoir vu, ils en ont parlé tout le chemin du retour. En ce qui me concerne, ça a passé le temps, mais sans plus; d’accord, j’ai bien rigolé, mais j’ai eu beaucoup de mal à m’y faire, je pense que c’est l’ambiance générale du film qui ne passait pas, je n’ai jamais été fan des atmosphères à la desperados… Oui, le côté mexicain m’a un peu rebuté, climat un peu caliente quand il fait 2 degrés chez toi… Bof, ça serait peut-être mieux passé en été… 😛
Mais sinon, à part ça, le chat potté est fidèle à ce qu’il est dans les films de Shrek avec un côté quand même nettement moins sûr de lui, je trouve, peut-être un peu forcé, en fait, il manquait foncièrement de naturel; quant aux autres persos, je suis assez partagée, je n’ai pas trop aimé Kitty pattes de velours, et Humpty Alexandre Dumpty…( serait-ce le Lex Luthor du chat potté…. ou pas! :p) Les personnages secondaires m’ont vraiment laissé froide… Dommage!

Synopsis: C’était bien avant que notre mythique Chat Potté ne croise la route de Shrek… Le légendaire félin, et non moins redoutable amant, s’était alors embarqué dans un périple riche en rebondissements, avec la ravissante et rusée Kitty Pattes de Velours et Humpty Alexandre Dumpty, véritable « cerveau » de l’opération. Leur objectif : s’emparer de la fameuse Oie aux Œufs d’Or pour sauver la ville où le Chat Potté a grandi. Voici l’histoire véridique du Chat, du Mythe, de la Légende et… des Bottes !