Vaaacaanncceessss!!!

Mouarf arf arf! Ça y est, c’est les vacances, demain, nous repartons tous en famille pour la capitale ou un planning bien chargé nous attends, et je ne pense pas prendre le temps d’écrire quoique ce soit ces prochains jours ^^

Alors bonnes vacances à ceux qui y sont aussi et courage aux autres, ce sera bientôt votre tour (pour ne pas dire qu’il faut bien qu’il y en ait qui travaille pendant que les souris dansent, hein! :P) Donc à dans quelques jours/semaines, nous verrons ^^

Harry Potter et les Reliques de la Mort-Partie II

On revient du cinéma où on a pu voir l’ultime épisode d’Harry Potter. J’avoue que j’ai vraiment bien apprécié ce dernier volume que je craignais grandement, ayant été tellement déçu par le bouquin final de la série. On n’a pas eu le temps de s’ennuyer, bien sûr quelques longueurs, mais l’action était quand même bien présente. Et pour une fois, les personnages secondaire tel Neville Londubat étaient plus présents et avaient surtout un rôle important. Alors, d’accord, passons les scènes gnangnan d’embrassades au milieu des combats (mais bien sûr… c’est important de prendre 20 secondes pour un baiser langoureux quand on est entouré de mange-morts -_-‘), je suis malgré tout contente de voir que la partie importante et jusqu’à présent passée sous silence a été relativement bien mise en scène: Rogue et son passé, ainsi qu’une vision plus nuancée de Dumbledore qui pendant au moins un temps chute brutalement de son piédestal. Certes, c’était un peu court, mais l’essentiel y était… ou presque. La baston Voldemort contre Poudlard a aussi été bien orchestrée, digne de ce qu’elle aurait dû être dans le tome 7. De plus, j’ai bien aimé les décors relativement esthétiques pour la plupart, et certaines prises de vue, nettement plus que dans le précédents. Un bilan plutôt favorable en fin de compte, pas sûre que je le reverrai, mais j’ai quand même bien apprécié l’ensemble.

Synopsis: Bataille finale entre Harry Potter qui poursuit sa quête des Horcruxes et Voldemort qui mène ses Mange-morts à l’affrontement final. Pour ce final, un retour là où tout a commencé: Poudlard.

Nautiland de Haguenau

Enfin rentrés! Après une après-midi entière passée au Nautiland de Haguenau, on peut enfin se poser deux minutes, jouer une petite heure avant de s’écrouler de fatigue sur le canapé. Canapé qui m’appelle furieusement au passage! Une bonne journée, la matinée a certes été un peu longue avec les enfants qui ne cessaient de demander quand on partait, mais l’après-midi a été bien remplie. Un trajet en voiture rapide et là-bas, plus de deux heures à barboter dans l’eau: on a bien essayé de pousser Mathias à nager, mais le pauvre manque d’une forte motivation, un peu comme pour le vélo l’an dernier, d’ailleurs! Mais malgré cela, avec mon aide et la ceinture, il a quand même pu remonter plusieurs fois la rivière, faire les mini-toboggans et surtout faire le grand toboggan vert, pendant que je l’attendais dans l’eau glacée du bassin d’arrivée. Cassandre est principalement restée dans  le bassin des petits à plonger avec sa bouée Mickey, et je la comprends, l’eau y était super chaude ce qui lui a permis de rester et de pouvoir jouer sans avoir à passer par la phase réchauffement avec la serviette à moitié trempée. De plus, il n’y avait pas beaucoup de monde, avec le temps pourri qu’on avait, c’est presque normal: gris, quelques rares, trop rares, rayons de soleil, et la journée qui s’est finie avec des pluies torrentielles nous contraignant à rouler à 20km/h en ville et pas beaucoup plus sur autoroute. Bref, si l’allée a été rapide, le retour a été très long, avec des enfants à la limite de la somnolence jusqu’à ce qu’on les réveille en chantant (et non, ce n’était pas parce que je chantais faux, non mais! ><« )

Au moins, le point positif est qu’ils n’ont pas eu trop de mal à s’endormir… quoique, on a quand même dû les séparer! ‘Spèces de sales gosses! 😛

Sinon, pour moi, la journée a été, je l’avoue, difficile. J’ai cette perpétuelle douleur dans l’épaule et le bras qui me tire horriblement, me rendant à moitié dingue. J’aimerai hurler, mais ne puis. Alors je sers les dents, je bouge mon épaule comme une conne pour trouver une position ou un mouvement qui me permettrait de soulager cette tension constante, mais rien n’y fait. Alors en attendant, je tente une ou deux évasions par sophrologie, mais là encore, si ce n’est pas la douleur, c’est cette gêne et cette lourdeur au niveau du bras qui me rappelle à l’ordre. Et malgré tout cela, j’essaie de ne rien en montrer, je porte les enfants, je joue avec eux, je vais avec eux à la piscine, et je compte les jours qui me sépare du diagnostic… Allez, plus qu’un petit mois!

Hop

Hier, nous avons été voir au cinéma le film Hop avec les enfants. Je n’en avais vu que les affiches en ville, je pensais que c’était un film d’animation, je me trompais: en réalité, il mélangeait film et animation, rien de très original jusque là. Au début, j’ai eu peur que pour la puce, ce ne soit trop long et je pense qu’en effet, ça a dû l’être un peu quand même, pourtant, elle n’a pas bronché et a affirméavoir bien aimé. Mathias a eu l’air enchanté, d’autant que le lapin jouait de la batterie avec brio, et quand on sait que le bout de chou aimerait trop pouvoir jouer de cet instrument, on comprend mieux une des raisons qui l’a fait adoré ce film. Pour un adulte, je trouve que c’était gentillet, avec des airs d’Alvin et les Chimpmunks (quoi? comment ça, c’est le même réalisateur? Vous êtes sûr? Ouais, ben ouais, ben ça se voit trop!). Les décors fabuleux de la fabrique de chocolat, les musiques modernes et entrainantes, quelques références aux séries des années 80, style K2000, et quand même pas mal d’humour. Bref, le bilan est un peu mitigé quand même, après, peut-être que la saison ne s’y prêtait pas non plus, je le regarderai à nouveau vers Pâques, ce sera déjà plus l’ambiance. De plus, j’avoue que le super méchant, le vilain poussin très laid, ressemble quand même étrangement au méchant perroquet dans Rio, ce qui m’a un peu saoulé. Conseillé pour les enfants, pas indispensable.

Synopsis: Robbie, lapin adolescent destiné à devenir le lièvre de Pâques à la suite de son père et à reprendre la confiserie familiale, rêve de devenir une star reconnue. Il fait donc une fugue et part tenter sa chance à Hollywood. Là-bas, il y rencontre Fred, un jeune homme qui nourrit de grands rêves qu’il n’a toujours pas réalisés. (A l’approche de la trentaine, Fred vit toujours chez ses parents, le temps de trouver un travail et un sens à sa vie. Sa soeur lui  confit la délicate mission de s’occuper d’une majestueuse demeure, qui doit garder tout son éclat en l’absence de ses propriétaires.) Un malencontreux incident pousse Fred à héberger Robbie dans la villa ; ce dernier se révélant être le plus odieux des hôtes.
Inquiet de la disparition de son fils, le Lapin de Pâques charge son commando d’élite, les Bérets Roses, de le ramener à la maison. Seulement voilà, l’affaire familiale est sous la menace de Carlos le poussin, n°2 aux commandes de l’usine. Profitant de la disparition de Robbie, Carlos complote pour prendre la main sur la chocolaterie familiale et contrôler ainsi les fêtes de Pâques. Fred et Robbie réaliseront-ils leurs rêves? Robbie et les Bérets Roses reviendront-ils à temps pour sauver la chocolaterie familiale des mains du perfide Carlos?


Insomnie

Cela fait une bonne heure que je me tourne et me retourne dans mon lit, cherchant désespérément le sommeil… en vain. Habituellement, il me suffit de rêvasser pour m’apaiser suffisamment et trouver le sommeil, ou de m’auto-conditionner en me disant que je suis fatiguée. Pas ce soir. Ce soir, j’ai la désagréable impression de tourner en rond, alors je me suis levée discrètement, j’ai doucement allumé mon PC et j’écris en espérant que coucher mes angoisses m’aideront à me calmer et à trouver mon chemin vers le pays des rêves. Car oui, je suis angoissée. Nerveuse et stressée. D’habitude, c’est moi qui suis malade, et ça ne me met jamais dans de tels états, c’est devenu une habitude, être malade fait presque parti de mon quotidien, et je m’y suis fait, c’est saoulant, mais c’est normal, presque comme une seconde nature. Je me connais, je sais comment je réagis, la façon dont mes défenses immunitaires trop faibles ne font pas leur travail, la façon dont mon corps réagit à la douleur, au traitement, etc… Je me connais par cœur, ou presque. Et cela m’est égal parce que je sais qu’en fin de compte, ce n’est jamais grave. Mais lorsque ce sont mes proches, ça me mets dans tous mes états, surtout quand ils sont sous traitements et qu’on a presque l’impression que le temps empire la situation au lieu de l’améliorer, et là, c’est mort, je me fais des films, je n’en dors presque plus, et j’avoue que je n’en suis même pas fatiguée, et c’est ça le pire… J’écoute les bruits dans la nuit, la façon dont les miens bougent, les écoutant respirer, me demandant si mon absence n’en réveillera pas. Et je me dis qu’à entendre le lit grincer encore et encore, ça ne saurait tarder. Alors je vais retourner m’allonger, prendre mon mal en patience et espérer que je finisse par m’endormir avant de péter une pile.