Harley Quinn (Renaissance), tome 1 : Complètement marteau – Amanda Conner, Jimmy Palmiotti et Collectif

Harley Quinn tome 1 - Complètement MarteauTitre: Complètement marteau
Saga: Harley Quinn (Renaissance), tome 1
Auteurs: Amanda Conner & Jimmy Palmiotti
Illustrations: Chad Hardin & Collectif
Éditeur: Urban Comics
Nombre de pages: 232
Quatrième de couverture: L’ancienne psychiatre Harleen Quinzel n’est pas le genre de femme à se satisfaire d’une vie convenable et tranquille. Elle fuit la routine comme la peste et cherche par tous les moyens à faire de sa vie une aventure. Sa toute fraîche installation à Coney Island est donc l’occasion rêvée d’en commencer un nouveau chapitre ! Avec son entrée fracassante dans l’équipe locale de roller derby, l’approche de la Saint-Valentin et la découverte d’un contrat mis sur sa tête, la pétillante Harley Quinn aura beaucoup à faire.
(Contient : Harley Quinn #1-8 + #0 + Secret Origins #4)

On m’a offert ce premier tome à mon dernier anniversaire. Je l’ai commencé parce que j’avais envie d’une lecture fun et pas prise de tête.
Harley Quinn - marteauMalheureusement, je n’ai pas accroché. J’aime beaucoup le personnage initial d’Harley Quinn, elle est pleine de bonne humeur et complètement déjantée. En l’occurrence, je ne peux pas dire qu’elle ne l’est pas dans ce comics : elle a gardé sa nature optimiste, a fait de la cause animale la sienne – elle ne supporte pas qu’on maltraite des bêtes, ça lui fait péter une pile.

Poison IvyCe n’est pas que je n’ai pas aimé le personnage, mais en lisant, j’ai eu une sensation de déjà-lu. Son comportement est assez semblable à celui de Lobo The Damned : tout aussi violent, une force assez surhumaine, impossible à tuer, sans pitié pour qui s’en prend à elle, etc.
Parlons davantage d’Harley Quinn, j’aime beaucoup son design, son marteau – façon Kaori dans City Hunter – m’a fait délirer. J’ai adoré découvrir son passé, comment elle est devenue la psychopathe qu’elle est.
J’ai tout autant apprécié les personnages secondaires qui tournent autour d’elle : Tony est assez sympa dans le genre loubard. Quant à Poison Ivy, c’est probablement ma préférée, les numéros qui m’ont vraiment plu sont ceux où elle apparaît.

C’est une lecture qui s’est laissée lire, mais sans plus. A moins qu’on ne m’offre la suite, je ne pense pas lire les prochains.