Alpha & Omega, hors-série : L’origine – Patricia Briggs

Titre: L’origine
Saga: Alpha & Omega, hors-série
Auteur: Patricia Briggs
Éditeur: Milady
Nombre de pages: 122
Quatrième de couvertureAnna est un loup-garou.
Elle découvre un nouveau sens à son existence quand le fils du chef des siens débarque en ville pour réprimer les troubles au sein de la meute de Chicago et qu’il insuffle à Anna un courage qu’elle n’avait encore jamais ressenti.

Il ne m’a pas fallu longtemps pour lire cette “préquelle”, si je peux l’appeler ainsi : deux petits jours et c’était plié. C’est sûr, il a peu de pages et est écrit relativement gros mais au-delà de ça, il est vraiment passionnant.
J’avais d’abord commencé semaine dernière le premier tome de la saga Alpha & Omega, mais j’ai malheureusement dû le mettre en pause : j’avais la désagréable sensation d’avoir loupé quelque chose et puis, je n’arrivais pas à accrocher aux personnages de Charles et Anna. Une fois ma décision prise, je me suis lancée dans la découverte de ce petit roman et je n’ai pas été déçue, il permet de mieux appréhender les prochains, de mieux comprendre la relation qui lie les deux protagonistes mais également un certain nombre de remarques que se fait notre héroïne par la suite.

On découvre donc Anna, louve-garou depuis trois ans, qui vit au sein de la meute de Léo, à Chicago. On apprend rapidement certains détails sur sa vie et on se rend assez vite compte que quelque chose cloche, surtout si on a déjà lu quelques tomes de la saga Mercy Thompson du même auteure. Elle décide donc de désobéir à l’ordre de son Alpha et de contacter le Marrok (chef suprême des loups-garous d’Amérique ou un truc du genre – bref, Marrok est bien moins pompeux et plus rapide). Ce dernier envoie son fils, Charles, afin d’enquêter sur toutes les incohérences relevées.

J’ai adoré cette lecture : c’était rapide, le personnage d’Anna m’a bien plu, elle est bien dépeinte et son rapport à sa louve est également bien mise en scène. Elle reste malgré tout effacée. J’ai bien aimé la manière dont évolue doucement sa relation avec Charles. Cela explique bien des choses pour plus tard.
Pour l’intrigue en elle-même, j’avais deviné qui était responsable des soucis dans la meute mais je n’arrivais pas à comprendre la raison de ce désordre – ce qui est bien naze, j’aurais dû le voir venir après avoir lu la moitié du premier tome. Je ne vais pourtant pas pleurer, c’est pas plus mal ainsi, puisque cela m’a donné envie d’avancer vite, ce que j’ai fait.

Challenge Coupe des 4 maisons :
1ére année : Réducto – un livre de moins de 150 pages – 10 points