To your eternity, tome 04 – Yoshitoki Oima

Titre : To your eternity, tome 04
Auteur : Yoshitoki Oima
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 182
Quatrième de couverture : Imm a décidé de rester auprès de Googoo. L’absence de stimulations et de métamorphoses l’a fait grandir. C’est le moment que choisit le frère de Googoo pour réapparaître…

J’avais hâte de commencer ce quatrième tome et de retrouver Googoo, Linh et Imm. J’ai d’ailleurs été ravie de passer du temps avec eux.

Quatre années se sont passées. Googoo et Imm sont amis et j’adore leur relation.
Shin revient vers son frère, ce n’était pas particulièrement étonnant, mais je me suis demandée ce qu’il préparait. On n’a malheureusement pas le temps de le découvrir parce que l’anniversaire de Linh arrive et un Knocker attaque nos héros.
Je sais bien que je ne dois pas m’attacher aux personnages, que tous ceux qui fréquentent Imm y passent, mais c’est plus fort que moi, je n’y parviens pas… donc je souffre à chaque séparation.

Ça s’est lu très très vite… et pourtant, je suis malade et passe mon temps à m’endormir. C’est aussi la raison pour laquelle j’ai du mal à rassembler et à synthétiser mes idées aujourd’hui, mais je vais aire au mieux.
L’homme en noir est un peu plus présent, mais je ne sais pas trop quoi penser du personnage. Il distille les informations au compte goutte et ça m’énerve. Il continue de pousser Imm à s’améliorer pour sa propre survie, mais pas que… on sent qu’il y a d’autres enjeux derrière, mais on ignore lesquels.

Je pense avoir fait le tour. À la fin, de nouveaux personnages apparaissent, mais pas assez pour que je puisse me faire un avis. Je verrai dans le prochain.
Bref, il se fait tard. Je conclurai en disant que j’ai adoré cette lecture.

L’Ombre du chardon, tome 5 : Maïmaï – Aki Shimazaki

Titre : Maïmaï
Saga : L’Ombre du chardon, tome 5
Auteur : Aki Shimazaki
Éditeur : Babel
Nombre de pages : 155
Quatrième de couverture : La mort subite de la séduisante Mitsuko prend tout le monde par surprise, y compris les clients de sa librairie. Alors que des visiteurs se présentent pour rendre une dernier hommage à sa mère, Tarô, son fils sourd et muet, est préoccupé par certains détails de son histoire familiale.

Bon, finalement, on n’aura pas la conclusion du quatrième tome avec Atsuko. Comment s’est terminé son mariage avec Mitsuo ? À nous de l’imaginer, j’imagine.
Maïmaï (qui signifie escargot) se déroule plusieurs années après. Et le héros de l’histoire, c’est Tarô : le fils de Mitsuko (qu’on a découvert dans le second tome), un enfant métissé et sourd-muet.
Mitsuko est décédée. Tarô hérite de sa défunte mère : la librairie devient sa galerie d’art. Le jeune homme s’installe dans l’appartement au-dessus, avec sa grand-mère. Sa vie devient moins triste quand Hanako fait son grand retour.

Le décès de Mitsuko m’a fait un choc, j’étais attachée à elle. Ça intervient dès le début, c’était un passage triste, mais Tarô réussit, grâce à des souvenirs avec sa mère, à rationaliser sa mort… il a des mots qui sonnent justes, mais qu’il le vive aussi bien est effrayant. Ça ne devrait pas me surprendre, comme me le disait une collègue il y a quelques semaines, les asiatiques n’appréhendent pas la mort de la même façon que nous… et finalement, c’est plus sain et moins destructeur.

J’aime beaucoup la relation entre Hanako et Tarô, pourtant, j’ai espérant qu’il ne se passe rien entre eux, en raison de ce qu’on a appris des origines du héros dans le second tome de l’ombre du chardon. Puis j’ai fini par espérer que tout soit faux et que ce ne soit qu’une coïncidence.
Comme pour le précédent, on n’a pas de réelle fin et c’est frustrant.

C’était une lecture prenante, passionnante et surtout apaisante. J’avais bien besoin de ça et ça m’a mis du baume au cœur. J’ai adoré ce cinquième tome.

Colocataires à leur manière, tome 2 – Tsunami Minatsuki & As Futatsuya

Titre : Colocataires à leur manière, tome 2
Scénario : Tsunami Minatsuki
Dessins : As Futatsuya
Éditeur : Nobi nobi ! (Genki)
Nombre de pages : 152
Quatrième de couverture : Auteur d’histoires policières, Subaru Mikazuki se distingue par sa nature introvertie et misanthrope. En effet, considérant les gens comme une source de nuisance dans son processus d’imagination et de création, il fait tout pour éviter de sortir de chez lui et d’avoir des contacts humains. Un jour, il rencontre un chat errant. Il décide de l’adopter et de le nommer Haru. Petit à petit, les deux personnages s’apprivoisent l’un l’autre et alors qu’ils commencent à s’habituer à cette nouvelle cohabitation, Haru s’enfuit soudainement de la maison. Dans le même temps, Hiroto, un ami d’enfance de Subaru, débarque à l’improviste et va mouvementer le train-train du romancier… La vie à deux continue pour ces colocataires malgré eux, avec leur quotidien qui nous est conté à travers le point de vue de chacun !

Je ne me souvenais plus trop du premier, pas même du principe original de ce manga qui nous présentait chaque histoire de deux points de vue : celui de l’humain Subaru puis celui de la chatte Haru.

Il se compose de quatre tranches de vie :
– la fugue de Haru pendant l’arrivée de Hiroto, l’ami de Subaru.
– l’achat d’un collier d’identification à l’animalerie.
– le rendez-vous chez le vétérinaire.
– la visite de Nana, la vendeuse de l’animalerie, qui donne des conseils alimentation et jeu pour Haru.

Bon, ce n’était pas transcendant comme lecture. J’ai trouvé ce second tome moins amusant que le premier. Les liens entre Subaru et Haru se resserrent, pourtant, j’ai moins été touchée par leur relation. C’est peut-être dû au fait que comme il y a plus de personnages, le récit est moins centré sur eux. Je ne devrais pas me plaindre, c’est une bonne chose : leur monde s’agrandit, ce qui évite que l’histoire ne tourne en rond.

Les dessins m’ont semblé, dans la plupart des vignettes, plus brouillons et moins soignés. Donc je ne me suis pas attardée sur les illustrations, pourtant ça m’a semblé un peu longuet.
Je n’ai rien d’autre à ajouter. C’était une bonne lecture, sans plus.

Les enfants de la baleine, tome 09 – Abi Umeda

Titre : Les enfants de la baleine, tome 09
Auteur : Abi Umeda
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 191
Quatrième de couverture : Choisissez votre destin ! Quel qu’en soit le prix !
Des mystères ont été éclaircis.
Des séparations ont également eu lieu.
La “Baleine de glaise” se trouve à présent aux portes d’Amonlogia et ses cieux nouveaux.
Après une longue traversée des sables, Chakuro et les siens pourront-ils enfin vivre en paix ?

Je n’étais pas très motivée pour lire ce neuvième tome… les derniers trainaient en longueur et je redoutais de m’ennuyer une fois de plus. Ce n’est pas du tout le cas.

La baleine de glaise et son équipage arrivent enfin à Amonlogia où ils espèrent enfin vivre une vie sereine comme le leur a promis Roxalito.
C’est l’occasion de découvrir la ville et ses superbes bâtiments. Les décors sont impressionnants, j’ai pris un temps fou à les contempler, me noyant dans chaque détail, à chercher et à observer ce qui se cachait derrière les fenêtres.

On fait la connaissance des trois frères de Roxalito et le premier contact est loin d’être top. Dyctis est un imbécile imbu de sa personne, mais il est loin d’être le pire. Dès la première apparition d’Antikheiras et surtout de Paramésos, je les ai détestés sans véritable raison.
En ce qui concerne Roxalito, j’avais fini par l’apprécier au fil des tomes, j’avais la sensation qu’il avait changé au contact des habitants de la baleine de glaise, je crains de m’être trompée et ça m’attriste.

Bref, le débarquement sur Amonlogia ne se passe pas comme prévu. Les marqués doivent rester sur leur vaisseau tandis que les non-marqués se rendent au palais pour demander l’asile pour tous. Ça aurait été étonnant si tout s’était déroulé comme annoncé au début.
C’est triste et pourtant, c’est une bonne chose pour le lecteur : ça fait avancer l’histoire et ça relance l’intrigue.

C’était une lecture dense, mais passionnante. J’ai adoré ce neuvième tome, il me semble que j’ai le suivant dans ma Pile à Lire et si c’est le cas, je le lirai assez vite.

Solo Leveling, tome 9 – Chu Gong

Titre : Solo Leveling, tome 9
Auteur : Chu Gong
Éditeur : Delcourt (Kbooks)
Nombre de pages : 272
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.

Un neuvième tome impressionnant qui m’en a mis plein la vue.
C’est le combat final contre la fourmilière, sur l’île de Jeju et les chasseurs de rang S se sont fait massacrer par l’espèce de fourmi humanoïde. Heureusement, Jinwoo débarque, mène un combat époustouflant et, sans surprise, gagne.

L’histoire est rondement menée : elle est équitablement partagée entre baston et discussions. On découvre des détails intéressants : sur la formation de guildes en Corée, sur les Scavengers, mais surtout sur l’attrait que le gouvernement américain peut provoquer chez les puissants chasseurs des autres pays, etc.
L’intrigue avance tout doucement : les elfes de glace reviennent sur le devant de la scène et il commence à se profiler un conflit entre eux et les humains. À voir ce que donnent les prochains.

Jinwoo a encore une nouvelle invocation : une fourmi humanoïde du nom de Ber. Ce qui est intéressant avec cette créature, c’est qu’elle parle, contrairement aux autres.
Quand mon homme l’a vu, il m’a sorti : « je l’aime bien, lui ! Il est drôle. » – comme il lit la saga sur le net en webtoon, il l’a déjà terminée donc il sait de quoi il parle. Bon, pour l’instant, Ber n’est pas fun… j’attends le dix pour voir s’il me plaît.

J’ai passé un excellent moment avec cette lecture que j’ai terminé rapidement tellement c’était prenant. C’est un coup de cœur pour ce neuvième tome.