Perfect world, tome 02 – Rie Aruga

Titre : Perfect world, tome 02
Auteur : Rie Aruga
Éditeur : Akata (L)
Nombre de pages : 166
Quatrième de couverture : Tsugumi et Ayukawa ont décidé de se mettre en couple ! Mais les deux jeunes adultes, devant mener de front vie professionnelle et vie privée, ne se doutent pas encore des obstacles qui vont se dresser devant eux. À commencer par leurs proches, qui n’acceptent pas tous la situation… Leur amour naissant pourra-t-il survivre à toutes ses épreuves ?

Je ne sais pas trop quoi penser de ce second tome. J’avais adoré le premier, il était original et intéressant, le second l’est beaucoup moins, mais je pense que c’est dû au personnage de Tsugumi qui m’a saoulée.

Ayukawa et elle sortent ensemble. Elle se rend compte des difficultés que son petit copain rencontre, mais leurs plus gros problèmes viennent de leurs proches :
– les parents de Tsugumi réagissent mal à l’annonce comme quoi elle sort avec un homme en fauteuil roulant
– l’aide-soignante d’Ayukawa se montre désagréable et sèche avec notre héroïne
– un nouveau protagoniste apparaît, Koré-Éda. C’est un ancien camarade de classe amoureux de Tsugumi, donc il n’apprécie pas la situation.

Donc comme je le disais plus haut, Tsugumi m’a énervée : elle se fout une pression de malade, elle veut tout faire pour Ayukawa, mais c’est trop. Je l’ai trouvée étouffante. Et même moi, elle m’épuise, c’est terrible.
Je pense que ce qui me gonfle le plus est qu’elle pourrait profiter de sa relation amoureuse, sauf qu’elle passe son temps à s’inquiéter, et ce, même quand elle est avec Ayukawa… c’était lourd et même lui, ça finit par lui gâcher le plaisir d’être ensemble.
Et sans surprise, elle s’affaiblit grandement.

Bref, ce n’était pas une lecture tip top et j’avoue que je suis un peu déçue. J’espère que les prochains seront moins pénibles à lire.

Bilan lecture du mois de juillet 2023

Bilan de lectureLe mois de juillet a été plus qu’honorable avec 21 lectures, sachant qu’on est parti une petite semaine sur Paris et je n’ai quasiment pas lu. Bon, commençons sans plus attendre.
J’ai lu 21 lectures (2 comics, 21 mangas et donc 4 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
       


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J’ai adoré:
    


Gif heureux
J’ai aimé:
    


Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:

 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:
 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
J’ai détesté:

On arrive donc à un total de 4983 pages (727 en comics, 2895 en mangas et donc 1361 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 13/20

Challenge Coupe des 4 maisons : 46 items – 2240 points

Challenge Goodreads : 120/250

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 057/408


Actuellement, je lis :
Au cœur du Yamato, tome 2 : Tonbo
Aki Shimazaki
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :

BirdCage Castle, tome 3 – Toutarou Minami

Titre : BirdCage Castle, tome 3
Auteur : Toutarou Minami
Éditeur : Doki Doki
Nombre de pages : 224
Quatrième de couverture : Huit lycéens, toujours prisonniers du « Château de la cage aux oiseaux », arrivent dans un endroit paradisiaque à la végétation luxuriante. Mais à peine ont-ils le temps de goûter à la beauté du lieu qu’ils sont rattrapés par la réalité. Pourront-ils sortir vivants de ces interminables dédales sans que l’un des leurs ne succombe à nouveau ?

J’avais presque oublié que j’avais ce manga à continuer. Jusqu’à aujourd’hui, je n’étais pas trop d’humeur à reprendre, puis l’envie m’est revenue.

L’histoire n’avance pas vraiment : nos héros tentent toujours de localiser le hibou bleu et passent de pièces en pièces, tout en résolvant les énigmes. Enfin, il y a surtout une grosse salle avec un mystère à éclaircir ; c’était synthétique, ça laissait de la place aux personnages et au développement de leur caractère, pensées, réflexions. J’ai apprécié ça.

Kimiharu continue à se taire et il faut lui sortir les vers du nez pour qu’il daigne partager ses réflexions. Bref, il est toujours aussi détestable, il rend presque Yuma et ses crises du début sympathiques.
Ce qui m’a surtout plu est qu’on découvre le passé de Gin, et surtout la raison pour laquelle il réfléchit à « voix haute », en marmonnant devrais-je dire. C’était intéressant et ça rend le personnage plus attachant.

Les dessins me plaisent toujours autant, voire même plus. J’ai l’impression qu’il y a une amélioration à chaque tome. Si les décors sont succincts, le character design est chouette et j’ai pris plaisir à tous les détailler.
J’ai beaucoup aimé cette lecture, et je lirai assurément le prochain au courant du mois d’août.

Au cœur du Yamato, tome 2 : Zakuro – Aki Shimazaki

Titre : Zakuro
Saga : Au cœur du Yamato, tome 2
Auteur : Aki Shimazaki
Éditeur : Babel
Nombre de pages : 140
Quatrième de couverture : La dernière fois que Tsuyoshi Toda a vu son père, c’était en 1942, quand ce dernier partait travailler en Mandchourie, d’où il a été déporté en Sibérie après la fin de la guerre. Vingt-cinq ans plus tard, alors que sa mère sombre peu à peu dans les errances de l’alzheimer tout en conservant l’espoir de revoir un jour son mari, Tsuyoshi apprend que son père, porté disparu, est vivant au Japon. Lorsque le père accepte de rencontrer son fils, seul, il lui remet une lettre dans laquelle il explique les raisons de sa disparition: ce qui s’est passé sur le bateau qui le ramenait au Japon a brisé net le cours de sa vie. D’une logique dramatique imparable, ce roman explore le destin d’êtres que l’Histoire a broyé dans les replis de ses silences honteux.

J’ai été ravie de retrouver la plume de cette autrice japonaise et je compte bien lire les trois prochains dans la foulée, ça me permettra de rendre la saga à mon ancienne collègue qui a eu la gentillesse de me les prêter.
C’est le second tome de la saga Au cœur du Yamato et comme souvent, je me suis demandée qui était le personnage du premier qu’on allait découvrir.

L’histoire se situe quelques années avant le tome précédent, ce qui m’a perturbée au début. Puis lorsque le contexte se dessine progressivement, j’ai rapidement fait le lien : Tsuyoshi travaille pour la compagnie (oui, la même que celle de Takashi) et il a fait pression auprès de l’entreprise pour qu’elle indemnise correctement la famille de l’un de leur shōsha décédé lors d’une mission.
Il n’en fallait pas plus : il s’agissait de monsieur Toda.
On découvre son passé et ses origines. Son père a disparu : il travaillait en Mandchourie en 1945 et a été envoyé dans les camps de travail russes. Tsuyoshi s’est occupé de sa mère et de ses frères et sœurs. Maintenant, il vit avec sa femme et prends soin de sa mère qui souffre d’Alzheimer et attend désespérément le retour de son époux.

J’ignorais tout de cette période historique : les travailleurs japonais prisonniers des russes, la barbarie qu’ont subi leur famille, l’exil vers le sud à travers la Corée, etc. C’était super intéressant, mais un brin sombre. Il faudrait que je trouve un roman plus complet sur cette époque.
J’ai adoré le personnage principal, monsieur Toda. Je l’appréciais déjà dans le précédent, mais là, je l’ai découvert sous un jour nouveau. Il est doux et prévenant que ce soit avec sa mère, son neveu Satoshi ou Eiji Satô. C’était plaisant de faire un bout de chemin avec lui.

C’est un coup de cœur pour cette lecture, et j’ai hâte de savoir de qui parlera le prochain tome.

Le renard et le petit tanuki, tome 4 – Mi Tagawa

Titre : Le renard et le petit tanuki, tome 4
Auteur : Mi Tagawa
Éditeur : Ki-oon (Kizuna)
Nombre de pages : 191
Quatrième de couverture : Animaux magiques et folklore japonais : un conte touchant pour faire grandir les petits… et les grands !
Hagiri et son coéquipier l’ont échappé belle : même s’ils ont été démis pour un temps de leurs fonctions, ils n’ont pas été exclus de la meute ! Et, à sa grande surprise, Senzo a reçu toute la reconnaissance des loups pour son aide…
Quant au raton laveur fou furieux qui poursuivait la petite Milk, il a retrouvé son aspect normal, mais perdu l’usage de la parole ! Sans compter qu’il semble encore très farouche… Manpachi arrivera-t-il à s’en faire un ami ?

Quel plaisir de retrouver cette saga ! Je suis décidément fan et ce quatrième tome ne m’a pas déçue, loin de là.

Il est super important parce qu’on en apprend énormément sur chacun des personnages :
– une partie du passé de Koyuki, on fait vaguement la connaissance de ses parents et ses frères.
– comment Tachibana, qui est un chien, a rejoint une meute de loup ; on connaissait un peu de son passé avec Mikumo, mais l’auteur nous en dévoile un peu plus.
– qui était le premier Manpachi et ses liens avec Senzo.
– que sont les métamorphes et comment naissent-ils ?

C’est un tome qui est très dense, beaucoup d’informations et surtout de recoupements avec des détails donnés au fil de tomes précédents. Rien n’est laissé au hasard et j’adore ça.
Il y a un ancien/nouveau personnage Gomaru il est tellement mignon ! Aussi mignon que Manpanchi et je fonds complètement. Je sens bien qu’il va avoir un rôle important et c’est chouette.

Les dessins sont magnifiques, comme toujours. À tel point que j’ai pris tout mon temps pour lire ce quatrième tome et contempler les illustrations. J’ai volontairement traîné parce que je n’avais absolument pas envie de finir ce quatrième tome.
C’est un coup de cœur pour cette lecture, la fin m’a laissée sur ma faim et si je m’écoutais, j’entamerai la suite immédiatement.