Chronique du tueur de roi, tome 1 : Le nom du vent – Patrick Rothfuss

Titre: Le nom du vent
Saga: Chronique du tueur de roi, tome 1
Auteur: Patrick Rothfuss
Éditeur: Bragelonne
Nombre de pages: 781
Quatrième de couvertureJ’ai libéré des princesses. J’ai incendié la ville de Trebon. J’ai suivi les pistes au clair de lune que personne n’ose évoquer durant le jour. J’ai conversé avec les dieux, aimé des femmes et écrit des chansons qui font pleurer les ménestrels.
J’ai été exclu de l’Université à un âge où l’on est encore trop jeune pour y entrer. J’y étais allé pour apprendre la magie, celle dont on parle dans les histoires. Je voulais apprendre le nom du vent.
Mon nom est Kvothe.
Vous avez dû entendre parler de moi.
Un homme prêt à mourir raconte sa propre vie, celle du plus grand magicien de tous les temps. Son enfance, dans une troupe de comédiens ambulants, ses années de misère dans une ville rongée par le crime, avant son entrée, à force de courage et d’audace, dans une prestigieuse école de magie où l’attendent de terribles dangers et de fabuleux secrets…
Découvrez l’extraordinaire destin de Kvothe : magicien de génie, voleur accompli, musicien d’exception… infâme assassin.
Découvrez la vérité qui a créé la légende.

Le terminer m’a pris un temps monstrueux ! J’ai cru que je n’arriverai jamais au bout de cette lecture. Je me suis demandée à plusieurs reprises pourquoi je n’avais pas accroché… après tout, j’ai trouvé l’univers et la plupart des événements intéressants. Il y a malgré tout quelques longueurs et certains passages m’ont saoulée. Mais ce n’est pas cela qui m’a freinée… le personnage principal m’a posé souci et j’en parle plus bas.

Le héros, Kvothe, se planque sous le déguisement de tenancier d’une auberge la Pierre Levée et on ne le connaît que sous le nom de Kote, ça doit grosso modo être un truc du genre, le début est super flou et pour nous embrouiller davantage, des personnages non importants racontent le passé du légendaire Kvothe ; bien sûr, on est très loin de la vérité.
Lorsque Kvothe rencontre Chroniqueur, ce dernier réussit à le convaincre de lui conter sa véritable histoire. Il accepte de le faire en trois jours – nous avons droit au premier jour.
Au début, le récit s’attarde sur sa jeunesse au sein de la troupe d’Edema Ruh de ses parents, des gens du spectacle. Il y côtoie Ben,un arcaniste, qui lui apprend les bases de la magie.
Lorsque sa famille est tuée, Kvothe erre un temps avant de finir à Tarbean, ville ou il survit dans les bas-fonds, et ce, pendant trois ans. Puis il finit par prendre son courage à deux mains et décide de rejoindre l’Université pour devenir à son tour un arcaniste comme il l’avait promis à Ben. Une des raisons qui le motive à avancer est bien évidemment la mystère qui entoure la mort de la troupe d’Edema Ruh. Pourquoi eux ? Qui sont les meurtriers ?
Une bonne partie du roman nous conte sa rapide évolution au sein de l’Académie.
C’est un résumé plus que succinct mais en 781 pages, il se passe tant de choses, qu’il est impossible de les relater sans spoiler ou sans écrire une chronique de huit mille mots.

Comme je le disais plus haut, je n’ai pas aimé ce roman parce que le personnage principal m’a laissée totalement indifférente – je ne suis pas certaine que ce soit réellement la raison, mais je n’en vois pas d’autre. Si j’ai apprécié les joutes verbales que Kvothe échange avec le sale petit c** d’Ambrose, la majorité du temps, il m’a ennuyée.
Le héros est super intelligent, doué dans tout ce qu’il entreprend au point de tout réussir du premier coup. Il ne respecte pas grand chose et surtout pas les règles et il est assez fourbe pour s’en servir à son profit. C’est le personnage parfait par excellence. Alors oui, il a quand même des défauts, mais aucun qui me l’a rendu attachant : l’arrogance, la suffisance. Personnellement, je l’ai trouvé stupide et pour preuve sa réaction après les premiers coups de fouets qu’il reçoit, son maître arcaniste aurait dit qu’il était irréfléchi.
Bref, c’est un génie. C’est un don qui ne me dérange pas à condition que le talentueux personnage ait des défauts ou même des amis qui le rendent plus humain, comme c’est la cas pour Sheldon Cooper (Big Bang Theory). Kvothe en est loin, il est insipide et il en est de même pour bon nombre de ses compagnons (Bast est chiant, Denna m’a également laissée indiférente).

J’avais entendu énormément de bien de cette saga et souvent, il était dit qu’une fois le Nom du Vent commencé, il était impossible de s’arrêter… mouais, c’est pour ça que j’ai mis trois semaines à le terminer.
En conclusion, c’est une grosse déception pour cette lecture et je ne suis pas certaine de lire la suite.

Challenge Tournoi des 3 Sorciers :
Sortilèges : Engorgio (7ème année) – Lire un livre d’au moins 45 chapitres – 70 points

Pumpkin Autumn Challenge :
Automne Douceur de vivre – La feuille d’automne emportée par le vent, en rondes monotones, sonnant, tourbillonnant :
Couverture aux couleurs de l’automne (orange, rouge, jaune, marron)

Les Aventuriers de la Mer, tome 9 : Les Marches du trône – Robin Hobb

Titre: Les Marches du trône
Saga: Les Aventuriers de la Mer, tome 9
Auteur: Robin Hobb
Éditeur: J’ai Lu
Nombre de pages: 376
Quatrième de couverture: Avec Mère à son bord, Parangon peut enfin retrouver son intégrité perdue, un visage, et peut-être même la vue. Il ne lui en faudra pas moins pour affronter la Vivacia, sur laquelle Kennit règne toujours en maître, au point qu’il fait d’Althéa, la propriétaire légitime de la vivenef, sa prisonnière ! Mais il faut croire que la chance insolente qui a si bien servi le pirate jusqu’ici l’a quitté : la flotte jamaillienne, bien décidée à ne pas le laisser retenir plus longtemps le gouverneur Gosco et Malta en otages, lui fait échec. Tintaglia, le dernier dragon de Clochetinte, toujours à la recherche de cette dernière, vient elle aussi déranger ses plans. Quant aux serpents, il n’auraient pas pu trouver meilleur moment pour le laisser tomber…

Ça y est, le dernier tome des aventuriers de la mer est terminé. Il était tellement passionnant que le lire ne m’a pris beaucoup de temps : seulement trois petits jours.

Je ne m’attendais pas du tout à ce dénouement. Je n’ai bien entendu eu aucune difficulté à entrevoir que le destin allait mener tous les personnages sur Vivacia, une déduction plus que facile puisque :
– Althéa est déjà sur le bateau avec Hiémain et Kennit.
– Paragon a révélé à Brashen que la jeune femme était vivante, ils mettent au point un plan pour échanger la mère du pirate contre la prisonnière.
– le gouverneur Cosgo et Malta doivent être remis à Kennit par le capitaine Rouge du Bouffon comme un butin.
– Tintaglia tient parole et mène Reyn vers sa bien-aimée.
Mais dans cet ultime volet, trois choses m’ont déçue :
– la réaction de Hiémain face à l’histoire de sa tante, malgré cela, il reste attaché à son capitaine
– le fait que Kennit n’ait pas chu de son piédestal, ce sale manipulateur ne méritait que cela
– la rencontre entre Ambre et Hiémain, elle cherche depuis longtemps l’esclave à neuf doigts sans qu’on sache pourquoi et quand elle le trouve enfin, elle lui sort un speech tout pourri qui ne semble pas changer le destin de l’ancien prêtre de Sâ.
C’est pas énorme comme déceptions mais je voulais le préciser.
LE gros point fort est qu’on a l’histoire complète de Parangon. Tout ce qu’il a vécu en raison des choix des membres de sa famille. On en savait un bout mais je n’arrivais pas à retracer son parcours chronologiquement avec ses retours à Terrilville, les accusations d’avoir tué sa famille, sa culpabilité, etc. Là, j’ai pu et c’était pleinement satisfaisant.

J’ai adoré ce neuvième tome. Comme chaque fois que j’arrive au terme d’une saga que j’aime, je me sens triste, vide… orpheline.
J’hésite à commencer la saga l’Assassin Royal, j’ai peur que la saga soit moins bien, de ne pas réussir à m’attacher aux personnages comme je me suis attachée à ceux des Aventuriers de la mer… Et puis, je sais que si je ne retrouve pas des anecdotes sur Terrilville et compagnie, je vais être déçue.

Les Aventuriers de la Mer, tome 8 : Ombres et flammes – Robin Hobb

Titre: Ombres et flammes
Saga: Les Aventuriers de la Mer, tome 8
Auteur: Robin Hobb
Éditeur: J’ai Lu
Nombre de pages: 377
Quatrième de couvertureLes choses sont allées trop loin, bien trop loin, pour espérer éviter une bataille ouverte entre la Vivacia, sur laquelle le capitaine Kennit règne sans partage, et le Parangon, le navire fou appareillé par Althéa et les siens. Et tandis que le dragon tient à distance de Terrilville les envahisseurs chalcédiens, des alliances politiques se trament dans l’ombre. Mais impliquer Tintaglia dans la sauvegarde de la ville et dans la recherche de Malta n’est pas sans conséquences, d’autant que cette dernière est maintenant l’otage de pirates pour le moins cupides…

Comme annoncé il y a quelques jours, je continue mon avancée dans les aventuriers de la mer avec l’avant-dernier tome de cette saga.
La lecture du précédent est tellement proche que j’ai du mal à savoir ou il s’est arrêté et ou commence le 8ème.

Parangon a de nouveau tué, Brashen le punit mais cela ne sert pas à grand chose au final. La vivenef parvient à guider son équipage jusqu’à Partage. Quelques hommes de confiance descendent dans la ville des pirates pour prendre des renseignements sur Kennit et Vivacia mais au retour, rien ne se passe comme prévu.
Keffria, Selden et Reyn arrivent à Terrilville pour découvrir un port dévasté par une guerre civile, heureusement que Grag, qui faisait surveiller les quais, est là pour les accueillir. Les choses empirent quand les Chalcédiens envahissent le port. Tous à Terrilville décident de s’unir.
Tintaglia prend la résolution de sauver sa race en aidant les serpents à migrer vers les zones de nidification mais pour cela, elle a besoin que les humains l’aident à terrasser le fleuve. Elle essaie de parler aux Marchand des Pluies mais ils ont trop peur. Elle décide donc de rejoindre Reyn à Terrilville.
Vivacia réussit à manipuler les serpents un temps, mais ils s’interrogent sur les motivations de la vivenef. Kennit continue à manipuler son petit monde. Hiémain s’interroge sur l’insignifiance de sa vie à bord maintenant que Foudre est là ; c’est Etta qui le pousse à réfléchir et lui permet de trouver sa voie.
Malta essaie désespérément de survivre aux côtés de l’indolent Gouverneur Cosgo et de Keki, sa compagne agonisante qui malgré son état lui donne les clés de sa survie. Ils sont toujours sur la galère Chalcédienne et ça ne s’améliore que lorsque Malta prend conscience du rôle qu’elle doit jouer si elle veut s’en sortir.

J’ai dévoré ce huitième tome au point que je lui aurais volontiers abandonné quelques heures de sommeil pour pouvoir avancer.
J’ai aimé retrouver les personnages, je suis incapable de prévoir ce qu’il va se passer au fil des pages tant il y a de possibilités. Je sais juste que j’étais impatiente de poursuivre.
Dans ce 8ème tome, on a droit à quelques révélations, la plus importante pour moi et que j’attendais depuis le début de la saga : un morceau du passé de Parangon. Qu’a-t-il vécu pour devenir fou ? On n’a pas tous les détails mais suffisamment pour comprendre. On en apprend également davantage sur Kennit. C’est un personnage que je n’appréciais déjà pas, maintenant qu’il se croit le roi du monde, je l’aime encore moins, il en devient presque stupide… peut-être est-ce la peur qui le rend ainsi.

J’ai adoré cet avant-dernier volet. J’ai hâte de connaître la suite, c’est pourquoi je commence sans tarder le 9ème tome.

Les Aventuriers de la Mer, tome 7 : Le Seigneur des Trois Règnes – Robin Hobb

Titre: Le Seigneur des Trois Règnes
Saga: Les Aventuriers de la Mer, tome 7
Auteur: Robin Hobb
Éditeur: J’ai Lu
Nombre de pages: 376
Quatrième de couvertureUne fois encore, les femmes de la famille Vestrit sont au coeur de toutes les polémiques : Ronica, la matriarche, se dresse seule face à ceux qui accusent les siens d’être à l’origine du chaos régnant à Terrilville ; sa fille, Althea, toujours à bord du Parangon, traque la Vivacia, la vivenef familiale devenue le vaisseau amiral de la flotte pirate de l’impitoyable Kennitt ; et sa petite-fille, Malta, a disparu dans le tremblement de terre qui a détruit la cité des Anciens, sur les rives du fleuve du Désert des Pluies. Mais le fiancé et le frère de cette dernière, piégés alors même qu’ils s’étaient lancé à sa recherche, pourraient bien bénéficier d’un petit coup de pouce inattendu…

Ça fait plus d’un an que j’ai lu le tome 6 des Aventuriers de la mer et j’avoue que la reprise fut dure : si je me souviens d’un certain nombres de passages marquants, les détails sont un peu plus flous.
Quand le livre a commencé avec les souvenirs récents de Celle-Qui-Se-Souvient et notamment la manière dont Hiémain l’a libérée, j’ai eu comme un flottement. Pareil avec l’après-réveil de Tintaglia. Mais comme à chaque fois, Robin Hobb distille tout au long du récit les références des tomes précédents, ce qui m’a permis de progressivement me rappeler les événements importants oubliés. Ouf !

Dans ce volume, j’ai énormément apprécié le fait que les chapitres font comme une boucle des différents lieux : chaque chapitre est consacré à un endroit donc aux personnages qui y évoluent et on fait le tour de tous avant de reprendre. Du coup, ils ont tous droit au même nombre de chapitres et c’était moins frustrant que dans d’autres volumes.
À Trois Noues : Malta a réussi à survivre au tremblement de terre qui a englouti la cité des Anciens. Elle a sauvé le gouverneur Cosgo ainsi que Keki, mais ils se retrouvent dans un radeau sur le fleuve des Pluies. On a vu mieux comme bon plan.
Pendant ce temps, Reyn et Selden ont libéré Tintaglia mais sont coincés dans la grande salle et sont sur le point de mourir noyés.
J’aime de plus en plus le personnage de Malta, elle en prend plein la tête et se révèle au lecteur. Les passages du temps passé de Tintaglia m’ont un peu saoulée.
À Terrilville : La Compagne Serille essaie de prendre le pouvoir et de sauver ce qui peut l’être du port marchand en proie à une « guerre civile », mais elle est tellement paralysée par la peur et les horreurs vécues qu’elle fait n’importe quoi, ne réfléchit plus et se fait une ennemie de Ronica Vestrit.
J’aimais beaucoup Serille avant, mais là, elle se montre faible et stupide. Elle contraste rudement avec Ronica qui, malgré les coups durs, possède la volonté et la force de se reprendre et de réfléchir posément à la situation.
Sur le Parangon : Althea y est lieutenant. Elle observe et analyse les comportements des uns et des autres. Elle se méfie du second Lavoy mais ne peut le dire ouvertement, elle comprend Brashen qui n’approuve pas les faits de son second mais ne peut rien dire de peur de saper son autorité et de provoquer une mutinerie.
Ce sont mes chapitres préférés, il ne s’y passe pas grand-chose… quoique… mais l’ambiance instaurée de méfiance rend la lecture aussi captivante que stressante et on a envie de savoir l’ultime saloperie que prépare Lavoy, à n’en pas douter ça finira mal, et surtout la décision que prendra Brashen pour se sortir de l’impasse dans laquelle il est… ne parlons pas de Parangon, vivenef bipolaire et légèrement schyzo.
Sur Vivacia : Hiémain est entre la vue et la mort à cause du venin de Celle-Qui-Se-Souvient, et n’oublions pas que ce poison sert au serpent pour raviver la mémoire des siens…
Quelle conséquence cela a-t-il eu sur le jeune homme relié à la Vivenef ? Les autres personnages sont égaux à eux-mêmes, je n’ai rien à en dire.

J’ai adoré ce septième tome. Et je compte bien terminer cette saga avant ma fin de l’été pour profiter pleinement des Aventuriers de la mer.

Le voleur de magie, livre 1 – Sarah Prineas

Titre: Le voleur de magie, livre 1
Auteur: Sarah Prineas
Éditeur: Gallimard
Nombre de pages: 328
Quatrième de couverturePar quel prodige Conny n’est-il pas foudroyé sur-le-champ lorsque, un soir de brouillard, il dérobe la locus magicalicus, la précieuse pierre appartenant au magicien Nihil Fugacious. Intrigué, celui-ci prend le jeune voleur sous son aile et décide d’en faire son apprenti. Mais Conny joue-t-il-un rôle dans les évènements étranges qui inquiètent les habitants de la ville de Wellmet ?

La chose qui saute immédiatement aux yeux et qui a arrêté mon regard, c’est la couverture. Je la trouvais très jolie avec ses dorures. La quatrième de couverture ne m’a pas attirée plus que cela, et heureusement que je ne me suis pas basée dessus, je ne l’aurais jamais acheté autrement et je serais passée à côté d’un premier tome génial. Ç’aurait été dommage.

Dès les premières pages, j’ai été happée par l’univers instauré. Il n’y a pas beaucoup de descriptions, mais le récit est suffisamment bien mené pour nous plonger dans une atmosphère pleine de magie.
Connwaer, un jeune voleur, tente de dérober la pierre magique ou locus magicalicus du sorcier Nihil. Elle aurait dû détruire le vaurien mais il n’en a rien été. Ce qui intrigue Nihil qui décide de le prendre à son service en tant que domestique ce qui ne plaît pas au héros du roman ; en effet, le jeune garçon est persuadé d’être l’apprenti du magicien. De son côté, Nihil n’a que peu de temps à consacrer à Conny parce qu’il est chargé de découvrir la raison pour laquelle la magie décline dangereusement à Wellmet.

Le scénario n’a rien d’extravagant, pourtant, j’ai adoré ce roman. J’ai eu l’impression de voyager, de suivre Conny à travers ses périples. C’était aussi dépaysant que l’a été la saga Rose de Holly Webb.
De plus, les dessins qui parsèment les pages rendent l’immersion plus facile. J’ai trouvé cela super agréable au début, par contre, au bout d’un moment, les illustrations reviennent en boucle, c’est un peu dommage !
Ç’a été une lecture attractive à souhait. J’ai eu beaucoup de mal à m’arrêter et à l’heure actuelle, j’ai autant de difficultés à ne plus y penser tant cet univers est entêtant.
Oui, vous l’aurez compris, c’est un gros coup de cœur pour ce premier tome. J’ai le 2 dans ma bibliothèque et je viens de m’acheter le trois pour avoir la collection complète.