Elfen Lied, double, tome 2 – Lynn Okamoto

Titre : Elfen Lied, double, tome 2
Auteur : Lynn Okamoto
Éditeur : Delcourt-Tonkam
Nombre de pages : 425
Quatrième de couverture : Les diclonius, sont des êtres dangereux créés par les humains, puis gardés dans un laboratoire de haute sécurité. Après un accident, Lucy, une diclonius, parvient à s’échapper en tuant toutes les personnes sur son chemin ! Blessée, elle est recueillie par Kouta, un jeune homme qui se promenait avec sa cousine. L’armée utilise tous les moyens possibles pour retrouver Lucy.

Ce second tome est sorti y a pas trop longtemps, moins d’un mois, et comme je l’avais déjà annoncé, je n’ai plus envie de stocker les mangas à lire.
Le premier tome ne m’avait pas convaincue plus que ça, mais celui-ci est bien meilleur. Pourtant, il bouge moins : pas de bastons, mais un certain nombre de révélations.

Mayu, vous savez l’ado sans domicile qui se balade avec son chiot Wanta, finit par être hébergée à la villa Kaede… sans grande surprise. Par contre, on découvre son passé et ce qui l’a poussé à fuir. Elle ne m’en est que plus sympathique.
– Monsieur Bandô rencontre un professeur qui est susceptible de lui éviter l’émasculation et qui en sait beaucoup sur les diclonius pour qui il a des projets… et surtout, il connaît Nyu.
– On découvre le passé de Nyu. Je pensais qu’elle avait toujours été enfermée, mais non.
– L’auteur nous révèle également ce qui est réellement arrivé au père et à la sœur de Kôta. Et il semblerait que notre héros commence aussi à s’en souvenir… ou pas. On aura la réponse sans le prochain.

Je me suis habituée aux dessins et ça passe bien maintenant. En fait, ce qui me déplaît le plus c’est quand les yeux sont noirs opaques parce que ça manque de finesse, autrement quand les pupilles et l’iris sont travaillés, le faciès des personnages est chouette.
L’histoire est une suite de révélations et j’ai eu beaucoup de mal à m’interrompre à la fin de mes pauses, tellement j’avais envie de savoir la suite. Ça me donne bien envie de découvrir enfin l’animé… je pense que je le ferai quand je serai arrivée au dernier tome de cette saga.

C’est un coup de cœur pour ce second tome et j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le troisième.

Fukuneko : Les chats du bonheur, tome 3 – Mari Matsuzawa

Titre : Fukuneko : Les chats du bonheur, tome 3
Auteur : Mari Matsuzawa
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : On dit que les fukuneko, ces chats porte-bonheur, s’attachent aux humains à qui il manque quelque chose. Si Ako a Fuku, probablement pour combler la douloureuse absence de ses parents, son petit-frère Yôta ne devrait-il pas lui aussi avoir son propre fukuneko ? La cadette de la fratrie va d’ailleurs en apprendre plus sur sa mère grâce à leur oncle Ichi…
La bande de petits chats continue de s’agrandir avec l’arrivée de Charlotte, une fukuneko bien sensible qui redoute le départ de sa maîtresse à l’étranger. En effet, ces créatures toute mignonnes ne peuvent s’éloigner de la ville de Fukuneko…

Ce troisième tome est sorti il n’y a que quelques jours, et je n’ai pas résisté au désir de le lire rapidement.
J’ai trouvé ce numéro beaucoup mieux que le précédent, j’ai retrouvé l’ambiance apaisante du premier et vu la fatigue due à ma vilaine angine, ça a fait un bien fou.

Y a un nouveau fukuneko, dame Charlotte, Chacha pour les intimes. Elle est toute mignonne avec son bonnet qui épouse ses oreilles et sa robe de poupée. Elle est jeune et un brin capricieuse, mais la relation qu’elle entretient avec sa maîtresse et l’amour qu’elle lui porte me l’ont rendue sympathique.
Azuki est moins harpie dans ce troisième tome, du coup, y a moins de tensions.

Cette fois, les histoires des humains ont autant d’importance que celle des fukunekos, et j’ai apprécié cela, c’était plus intéressant.
On découvre un personnage qui jusqu’à présent était pour le moins effacé, voire absent du récit au point que j’avais presque oublié son existence : Yôta, le petit frère d’Ako… et lui-même s’allie à un nouveau fukuneko, dame Ichihime.

Les dessins sont toujours aussi beaux. Les fukunekos sont super mignons et je me suis plu à m’attarder sur bon nombre de planches.
C’est un coup de cœur pour ce troisième tome. Il m’a apporté de petits bonheurs, de timides sourires. Après chaque chapitre, je me suis sentie mieux, plus sereine.

Elfen lied, double, tome 1 – Lynn Okamoto

Titre : Elfen lied, tome 1
Auteur : Lynn Okamoto
Éditeur : Delcourt-Tonkam
Nombre de pages : 432
Quatrième de couverture : Les diclonius, sont des êtres dangereux créés par les humains, puis gardés dans un laboratoire de haute sécurité. Après un accident, Lucy, une diclonius, parvient à s’échapper en tuant toutes les personnes sur son chemin ! Blessée, elle est recueillie par Kôta, un jeune homme qui se promenait avec sa cousine. L’armée utilise tous les moyens possibles pour retrouver Lucy.

Il y a quelques années, j’ai entendu beaucoup de bien de l’animé Elfen Lied : une série sombre à souhait, violente avec un scénario passionnant. Donc quand j’ai vu qu’il était sorti en édition double (je n’avais pas vu passer la version simple), je n’ai pas hésité à me le prendre, d’autant que la couverture est super belle, certes simple mais accrocheuse.

La trame de l’histoire m’a fait penser à celle du film « La mutante«  :
Nyu a des pouvoirs paranormaux. Elle s’échappe du labo dans lequel elle a été emprisonnée toute sa vie. Elle atterrit sur une plage et est découverte par Yuka et Kôta. Tous deux lui offrent l’asile, mais c’est sans compter le gouvernement qui tient à récupérer son arme humaine et redoute qu’elle ne se reproduise avant qu’ils ne l’emprisonne à nouveau.

L’histoire ne casse pas trois pattes à canard, mais c’était rapide et plaisant à lire. J’ai bien aimé. D’autant plus que c’est gore, un gros point fort pour moi.
Par contre, je ne sais pas trop quoi penser du côté ecchi : c’est le genre de lecture qui ne me déplaît pas habituellement, mais là,  ça tend à devenir une saga de type harem ce qui me dérange davantage. Il faudra que je vois comment ça tourne dans les prochains.

Les personnages passent bien : les gentils sont sympathiques, les méchants oscillent entre cruauté et folie. Normal !
Quant à Nyu, je ne sais pas trop comment me positionner par rapport à elle : son côté naïf et un peu attardé m’exaspère par moment,  mais la rend aussi attachante ; son côté obscur me plaît bien, mais je redoute son impulsivité.

Le point faible, ce sont les dessins : ça a très mal vieilli, le character design des personnages fait vieux. Le pire, ce sont les yeux : ils sont sombres, sans lumière, sans reflet… comme s’ils étaient morts. J’ai trouvé ça déplaisant. J’ai fini par m’y faire, mais le début était dur.
Malgré ce dernier détail, j’ai bien aimé cette lecture. Ce n’était pas aussi chouette que ce à quoi je m’attendais, mais c’était quand même agréable à lire.

L’atelier des sorciers, tome 8 – Kamome Shirahama

Titre : L’atelier des sorciers, tome 8
Auteur : Kamome Shirahama
Éditeur : PIKA
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : Après avoir réussi leur examen à l’Académie, Coco et les autres apprenties sorcières sont de retour à l’Atelier. C’est alors qu’arrive Tarta, qui propose à Coco et à ses amies de l’aider à tenir un stand lors du grand festival annuel des sorciers, la Fête de la Nuit d’argent. Excitées comme des puces à l’idée de prendre part à ces festivités, les petites sorcières entament les préparatifs. Alors que Coco accompagne Tarta voir son grand-père à l’hôpital, elle recroise le chemin de Kustas, le petit garçon qui s’était blessé lors de l’incident près de la rivière…

Je ne sais pas trop quoi penser de ce huitième tome. J’ai aimé, mais pas beaucoup plus que le septième, et ce, pour les mêmes raisons :
même si les apprenties de Kieffrey ont réussi leurs examens et rentrent à l’atelier, elles ne sont pas plus présentes dans ce tome-ci que dans le précédent. Tarta vient leur demander de l’aide pour tenir avec lui un stand de magie lors de la fête de la nuit d’argent. Il ne peut s’en occuper seul, son grand-père étant hospitalisé. Kieffrey décide de l’accompagner voir le malade avec Coco. Là-bas, elle et Tarta retrouvent Kustas qu’ils ont chacun sauvé.

Je ne me souvenais pas du tout du jeune invalide, j’aurais bien aimé que Coco nous rappelle les faits quand elle parle de son sauvetage parce que l’événement commence quand même à remonter – OK, si j’avais lu le résumé, je l’aurais appris, mais je ne l’ai pas fait. Donc je suis restée avec mes interrogations.
Il ne se passe pas grand-chose dans ce huitième tome. Tarta et Coco font équipe pour aider Kustas. C’était l’occasion d’en découvrir plus sur la médecine, l’impossibilité de lier ce savoir à la magie, mais non ! C’est dommage.

Le seul point intéressant, c’est que la confrérie du capuchon noir semble être revenue, mais pour être sûrs que ce soit bien eux, il faudra attendre le prochain qui n’est pas prêt de sortir. J’espère également qu’on replongera un peu plus dans l’atmosphère magique des premiers avec la fête de la nuit d’argent. Peut-être que j’en attends trop du neuvième tome… je redoute d’être déçue. Je verrai bien.

Fukuneko : Les chats du bonheur, tome 2 – Mari Matsuzawa

Titre : Fukuneko : Les chats du bonheur, tome 2
Saga : Fukuneko, tome 2
Auteur : Mari Matsuzawa
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : En emménageant à la campagne, la jeune Ako a découvert les fukuneko, de curieux petits chats qui apportent de la chance à leur maître grâce à leur danse magique ! Elle possède d’ailleurs son propre chat porte-bonheur, Fuku, de même que sa nouvelle amie Chika est accompagnée au quotidien par le facétieux Kosuke. Les jeunes filles font bientôt la rencontre d’autres fukuneko, comme le chef Haku, et la candide Azuki. Cette dernière aurait d’ailleurs bien besoin d’un coup de main des deux humaines pour se rapprocher du beau chat blanc…

J’étais très contente de retrouver Ako, Fuku et tous les autres personnages de ce manga. J’espérais qu’il soit aussi calme et apaisant que le premier, et c’est le cas.
Il ne se passe pas grand-chose, des tranches de vie sans grand intérêt, pourtant, je ne me suis pas ennuyée un seul instant et j’ai même trouvé ce second tome trop court.

On a droit à l’arrivée d’un nouveau prof d’arts plastiques, Toranosuke, qui a vécu enfant au village des fukuneko et les voyait (mais ça, c’était avant)…. ben dis donc, pour une faculté rare, ils commencent à être nombreux à pouvoir voir la forme humanoïde des chats du bonheur.
On fait également la connaissance de Haku, un beau chat blanc chef des félins, ainsi que de Azuki qui cuisine les fameux daifukus tant aimé par Fuku et Kosuke.

Donc une fois de plus, pas de trame principale, néanmoins le fil conducteur est bien présent : les héros félins apportent le bonheur et aident les humains qui en ont besoin.
Fuku semble toujours être aussi bébé dans son comportement – ce que j’ai un peu de mal à supporter, heureusement, j’aime sa relation avec Ako et ce lien la rend attachante.
Haku est bien mystérieux : réservé et poli. Beaucoup plus élégant que Kosuke. Je ne sais pas trop quoi penser de lui… par contre, Azuki m’énerve, elle est jalouse et a un côté antipathique avec ses réactions trop brusques qui contrastent grandement avec les autres personnages plus doux.

Je me rends compte d’un certain nombre de points pas très flatteurs pour ce second tome, pourtant, au moment de la lecture, ça n’est pas ressorti. Je me suis laissée entraîner par cette atmosphère toujours aussi chaleureuse que j’ai aimée dans le premier et qu’on retrouve ici.
J’ai adoré cette lecture et j’ai hâte de découvrir ce que nous réserve le prochain tome.