Full Metal Panic !

Bon, je me suis enfin décidée à continuer les animés, et après quelques semaines (bvoui, il y a quand même pas mal d’épisodes, et entre mes différents jeux, lectures et autres, je ne prends pas beaucoup  de temps pour regarder des séries sous-titrées !) j’ai enfin fini la première saison des Full Metal Panic ! J’ai vraiment bien aimé, une série de mécha sympathique et drôle et où les mécha tiennent une place minime en fin de compte, la série portant plutôt sur les relations plus ou moins houleuses des personnages. Et pour une fois, j’adore le héros, il est par moment super chiant et con, mais son côté inadapté social est absolument tordant et fait tout le charme de la série ! Bref, j’ai relativement apprécié la saison 1, avec un bémol sur les scènes tragiques de Sagara et son passé: j’ai trouvé que ça manquait pas mal de tragédie, pas assez vibrant, pas assez profond… trop superficiel quoi ! Enfin, je sais pas, ce sont des moments ou je me suis pas mal ennuyée alors que ça devait être poignant… et non. Dommage ! Je me contenterai donc de dire que c’est drôle et sympa comme série. Un bon moment passé, malgré tout et la suite en cours de visionnage !

Résumé: Mithril est une organisation d’élite composée de mercenaires entraînés dès leur plus jeune âge, formés à utiliser d’imposantes méchas de combat. Leur but, protéger la « Black Technology », science secrète et mystérieuse, connue seule des Whisperers, contre les super-vilains terroristes. Trois agents de Mithril, Kurz Weber, Melissa Mao et Sôsuke Sagara sont chargés de protéger Chidori Kanamé, une jeune lycéenne qui, connaissant sans le savoir les secrets de la Black Technology se retrouve la cible idéale des méchants. Pour se faire, le jeune Sagara va intégrer son lycée. Or, ce dernier dont l’enfance n’a été faite que de guerre et de combat se retrouve dans un milieu dont il ignore tout et va de maladresse en maladresse: tout tourne rapidement à  la catastrophe et aux quiproquos !

Arrietty, le petit monde des chapardeurs

Après de nombreuses semaines d’hésitation, j’ai obligé tout le monde à regarder ce film des studios Ghibli. La raison de cette hésitation: la peur d’être à nouveau déçu, le moins qu’on puisse dire c’est que Ponyo était loin de combler nos attentes et que depuis quelques années, les films de Ghibli nous ont paru de moins en moins féérique, moins beau, moins dépaysant. Et j’avoue que ça n’a pas été le cas de celui-ci! On a beaucoup aimé, on y a retrouvé toutes les choses qu’on adorait dans les Ghibli: un monde à part, beaucoup de verdure, des décors splendides, des personnages attachants, un peu de suspens sans pour autant que ce soit trop, lent mais loin d’être long et ennuyeux! Ça manquait peut-être un peu d’action, mais comme c’en était pas le but premier, ça ne manque pas vraiment. A mes yeux, une vraie réussite. Je ne suis pas mécontente de l’avoir vu. Quant aux enfants, ils semblaient fatigués mais on ne les a pas entendu tout du long, je verrai dans les semaines à venir s’ils redemandent à le voir 😛
Un très beau film, à voir!

Résumé: Dans la banlieue de Tokyo, sous le plancher d’une vieille maison perdue au cœur d’un immense jardin, la minuscule Arrietty vit en secret avec sa famille. Ce sont des Chapardeurs.
Arrietty connaît les règles : on n’emprunte que ce dont on a besoin, en tellement petite quantité que les habitants de la maison ne s’en aperçoivent pas. Plus important encore, on se méfie du chat, des rats, et interdiction absolue d’être vus par les humains sous peine d’être obligés de déménager et de perdre cet univers miniature fascinant fait d’objets détournés.
Arrietty sait tout cela. Pourtant, lorsqu’un jeune garçon, Sho, arrive à la maison pour se reposer avant une grave opération, elle sent que tout sera différent. Entre la jeune fille et celui qu’elle voit comme un géant, commence une aventure et une amitié que personne ne pourra oublier…

Kiki la petite sorcière

Bon, ça y est, après des mois, on s’est enfin décidé à faire découvrir aux enfants les mangas du studio Ghibli. Après Mon Voisin Totoro et Porco Rosso, c’est au tour de Kiki la petite Sorcière (bon sang, je ne m’y ferai jamais, pour moi, ça restera toujours Kiki’s Delivery Service). C’est la première fois que je le voyais, après le Château dans le ciel, je redoutais les derniers Ghibli sortis, donc je n’ai pas osé le regarder plus tôt ! Quelle hérésie ! Il est vraiment très très bien ! J’ai passé un très bon moment, j’ai bien rigolé, je me suis délectée des paysages magnifiques dépeints, et je ne me suis pas endormie (ça, c’est un signe ! ^^). Non, mais sérieusement, il est vraiment top ! Un film splendide que ce soit pour les petits comme les grands. Mon personnage préféré restera toujours le chat, il est terrible. Mais même sans ça, les autres personnages sont tous à leur façon sympathiques. J’ai retrouvé pour quelques minutes mon âme d’enfant. Quant aux enfants, ils ont vibré avec Kiki: on les sentait angoissé quand elle traverse la tempête, ils riaient avec elle, paniqués quand elle perd son don, etc… A voir absolumen t!

Synopsis: Dans la famille de Kiki, on est sorcière de mère en fille. Mais pour avoir droit à ce titre, il faut partir faire son apprentissage dans une ville inconnue durant un an. Un soir, accompagnée de son chat, Jiji, après avoir embrassé ses parents, Kiki enfourche le vieux balai de sa mère et met le cap vers le sud, « pour voir la mer »… Commence alors l’apprentissage de notre jeune et espiègle Kiki, qui décroche un emploi de livreuse chez une sympathique boulangère, Osono…

Panda, petit Panda

Alors, je me devais de faire un post à ce sujet, et cela me donne l’occasion de passer à des choses plus gaie, parce qu’après tout, la vie continue.

Ce matin, j’ai accompagné la classe de la petiote pour aller voir Panda, petit panda. Je n’avais aucune idée de ce que c’était et pas le temps de me renseigner avant étant donné que j’ai appris le nom du film en y allant. Mais dès la première image: « tiens, un film japonais! il ne manquerait plus que ce soit du Miyazaki! » Et dès le générique, -_-‘ comme le monde est petit. Alors, passons sur le fait que j’étais super contente de voir ma fille évoluer dans le milieu scolaire: elle est méconnaissable, plus sage qu’une image, obéissante, gentille, bref à croquer (si seulement c’était pareil à la maison 🙁 ). Passons donc au film à proprement parler… comment dire… On voit vraiment que ça doit remonter aux années 1970 (ah, ben après vérification, je ne me suis pas trop trompée, 1973). Bref, ça se ressent… à mort. Il regroupe deux moyen métrage de Hayao Miyazaki et Isao Takahata et portant le nom de Les Aventures de Petit Panda et Panda Kopanda, le cirque sous la pluie. Je suis peut-être devenue difficile avec les années, mais je n’ai pas trop apprécié. Alors après vous me direz, mais on s’en fout de toi ma pauvre! Et les gosses, dans l’histoire?

Eh! Pas besoin d’être aussi peu aimable! Bon, en ce qui concerne les enfants, ils ont adoré! Ils tremblaient avec les héros et riaient avec eux. Ils ont été sages, et dur pour 32 élèves de petites sections, et si on exclut quelques intéressants et leur rires forcés, je pense qu’ils ont vraiment passé un bon moment (même si pour moi, ce fut 1h20 très très très longue). Et la petiote m’a même demandé à plusieurs reprises si elle pourrait le revoir, donc quand je dis que ça a plut, je ne m’avance pas trop quand même ^^

Synopsis: La petite orpheline Mimiko, habite dans la maison de sa grand-mère. Alors que cette dernière s’absente quelques jours, un bébé panda et son papa, échappés du zoo voisin, pénètrent dans la maison… et s’y installent ! Tous trois deviennent rapidement les meilleurs amis du monde… même si le petit panda se révèle être un habitué des bêtises : il sème la panique à la cantine de l’école, manque de se noyer dans la rivière… Jusqu’au jour où il découvre un intrus couché dans son lit : un tigre qui ne retrouve pas le chemin de son cirque. C’est ainsi que Mimiko et les deux pandas le ramènent vers sa maman et qu’ils passent des instants merveilleux au milieu de gens du cirque, allant même jusqu’à sauver tous les animaux d’une inondation ! Cela vaut bien une magnifique parade dans les rues de la ville pour la plus grande joie des enfants ! Composé de 2 moyens métrages, Panda Kopanda d’une durée de 33 mn, et Panda kopanda amefuri saakasu no maki d’une durée de 38 mn.