Black Swan

Puisque mon chéri m’a offert le DVD de Black Swan pour mon anniversaire, il était temps que je le regarde, je me suis donc lancée il y a deux soirs. J’en avais très peu entendu parlé si ce n’est qu’il était bien, je n’en avais rien lu, pas vu d’image, une vague bande annonce où on ne voyait que Natalie Portman donc quelle ne fut pas ma surprise en découvrant Vincent Cassel. Oui, je sais, je débarque un peu de ma planète, mais j’avais envie de me garder la surprise. Bon, j’avoue que niveau surprise, ce n’était pas vraiment ça. Déjà, en ce qui concerne l’histoire, le scénario et la fin étaient courus d’avance. Le plus intéressant restait la mise en scène sachant que ce n’était pas non plus super novateur; d’accord, la scène finale c’est-à-dire le Lac des Cygnes m’a bien plu, du moins pour les débuts de transformations: ça donne une sensation de vitesse, on sent la pression qui monte par à-coup et disons-le, ça le fait! Malheureusement, ça ne dure pas et pire que ça, ça tombe rapidement dans le ridicule. Et à part ça, le reste m’a laissé assez indifférente…  Le film se laissait regarder sans plus: j’ai été déçu par la performance de Portman; de tout le film, elle devait avoir deux expressions du visage à tout casser dont une de poisson-mort (bouche ouverte en cul de poule, yeux exorbités -qu’est-ce-que cette tête a pu m’énerver, tellement, que j’ai retenu principalement celle-là!) et je ne parle même pas du son pourri: pour un DVD ça craint -en même temps, tous les DVD sont comme ça maintenant- dialogue en MONO donc télé à fond et musique en STEREO et là, perte de la moitié de ta capacité auditive! Je vais m’arrêter là, sinon, je suis capable de discourir pendant des heures sur la raison de mettre les dialogues en option dans une majorité des films, mais là, ce n’est pas vraiment le sujet.

Bref, comme pas mal de films que j’ai vu ces derniers temps, un fort potentiel, malheureusement, quelque chose sonne faux et vide sur le fond. Ça passe le temps!


Synopsis: Nina, une splendide danseuse réservée et perfectionniste, décroche le rôle principal du « Lac des Cygnes » dirigé par l’ambigu Thomas. Face à sa rivale Lily, Nina puise au plus profond d’elle-même pour incarner la dualité de son personnage qui la pousse à la perfection, jusqu’à l’effroi…
Une thriller palpitant récompensé par un Oscar grâce à la prestation fabuleuse de Natalie Portman.

Le discours d’un roi

On m’a offert le DVD début du mois pour mon anniversaire et j’en ai profité pour le regarder un soir de repassage. Je n’ai pas particulièrement aimé mais je n’ai pas non plus détesté, je ne l’ai pas non plus trouvé long. Il m’a laissé relativement indifférente ça valait presque un téléfilm de l’après-midi si ce n’est que jeu des acteurs est vraiment super, et c’est ce qui sauve le film, ce qui fait qu’il ne m’a pas ennuyé. Bon, après, le résumé n’annonçait pas un film passionnant, donc je m’attendais un peu à cela. J’avoue que ce qui m’a un peu rebuté, c’est le personnage principal, son arrogance publique, ses saute-d’humeurs ont rendu le visionnage un peu pénible et surtout le contraste entre son attitude privée et publique. Ça n’a pas amélioré ma vision de la royauté moderne… mais à part cela, je l’ai vu jusqu’au bout, et ça a passé le temps…

Synopsis: D’après l’histoire vraie et méconnue du père de l’actuelle Reine Elisabeth, qui va devenir, contraint et forcé, le Roi George VI (Colin Firth), suite à l’abdication de son frère Edouard VIII (Guy Pearce). D’apparence fragile, incapable de s’exprimer en public, considéré par certains comme inapte à la fonction, George VI tentera de surmonter son handicap grâce au soutien indéfectible de sa femme (Helena Bonham Carter) et d’affronter ses peurs avec l’aide d’un thérapeute du langage (Geoffrey Rush) aux méthodes peu conventionnelles. Il devra vaincre son bégaiement pour assumer pleinement son rôle, et faire de son empire le premier rempart contre l’Allemagne nazie.

Sur la piste du Marsupilami

Comme son nom l’indique, ce film est tiré de la célèbre bande dessinée le Marsupilami de Franquin. Il a été réalisé par Alain Chabat et c’est sûrement ce qui m’a motivé à aller le voir, autrement, je ne pense pas que j’y serai allé puisque je n’apprécie pas plus que ça le personnage du Marsupilami. J’y ai bien sûr accompagné les enfants, et si je doute que cela ait vraiment plu à le plus petite comme elle l’a affirmé, cela a semblé amuser le plus grand, même si je mettrais ma main à couper qu’il n’a pas tout compris… En tout cas, en ce qui me concerne, j’ai bien rigolé, même s’il est loin d’égaler Mission Cléopâtre. Après, certaines scènes étaient un peu longuettes et auraient pu aisément être raccourcies, d’autres bien trop courte. Pour moi, l’ensemble a quand même été mitigé. Drôle, pas assez à mon goût et surtout à part la scène du lama et peut-être celles avec Céline, ça manquait foncièrement de scènes mythiques. Par contre, je redoutais beaucoup la tronche et le corps du marsupilami parce qu’il est très laid dans le dessin animé, mais au final, je l’ai trouvé super chou et super bien fait… dommage, ça ne ressort pas sur un simple screen, il manque tous les effets de lumière qui le rende si mignon. Pas sûre que je le reverrai, pas suffisamment emballée pour cela, sauf si les gosses veulent le revoir ^^

Synopsis: Quand Dan Geraldo, reporter en quête de scoop, arrive en Palombie, il ne se doute pas qu’il va faire la plus incroyable des découvertes… Avec Pablito, guide local plein de ressources, ils vont aller de surprise en surprise au cours d’une aventure trépidante et surtout révéler une nouvelle extraordinaire : Le Marsupilami, animal mythique et facétieux, existe vraiment !!!

Mémoire d’une geisha

Après de longs mois d’hésitation, je me suis enfin décidée à regarder ce film basé sur le livre Geisha d’Arthur Golden. J’avais vraiment apprécié le bouquin mais comme je me méfie beaucoup des adaptations cinématographiques, j’avais chaque fois reporté le visionnage du film. Je suis tombée il y a quelques jours dessus alors qu’il était diffusé sur la 6, malheureusement, il avait commencé depuis presque une heure, je me suis donc décidée dans la foulée à regarder le DVD, puisque je me l’étais acheté il y a déjà un long moment. De plus, la lecture du livre remontant déjà à quelques années, au final, je redoutais moins le fait qu’il diffère du bouquin que le fait qu’il ait été fait par des américains. Bon, finalement, il était vraiment bien, le choix des décors, des scènes était étonnamment très beau, très poétique. Ça m’a agréablement surpris. Je n’ai absolument pas vu le temps passer, j’ai beaucoup aimé. j’avais oublié à quel point j’adorais le jeu d’actrice de Gong Li, j’ai d’ailleurs eu pas mal de difficulté à la reconnaitre ne l’ayant plus vu depuis près de 10 ans. Mais son rôle est comme d’habitude fabuleux, j’aurai été déçue si elle avait incarné un autre personnage que celui de Hatsumomo, il était fait pour elle. Ça restera un excellent souvenir, qui m’a d’ailleurs grandement donné envie de relire le bouquin et aussi de relire dans la foulée Mémoire d’une geisha de Yuki Inoue, histoire de noter les ressemblances et les différences (et il y en a un paquet de ce que je m’en rappelle :P) si ce n’est le style, beaucoup plus autobiographique pour le second contrairement au premier très romancé. Un film à voir si on aime les dépaysements asiatiques ^^

Synopsis: Quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, Chiyo, une petite fille japonaise, est arrachée à sa famille pauvre pour aller travailler comme servante dans une maison de geishas.
En grandissant, elle se plie avec docilité à l’initiation difficile qui fera d’elle une vraie geisha. Elle triomphe des pièges que lui tend sa rivale, la fourbe Hatsumomo et devient, après des années de travail, la légendaire geisha Sayuri.
Très belle, épanouie dans son art, Sayuri fascine les hommes les plus puissants. Mais celle qui n’a plus le droit d’aimer reste hantée par l’amour qu’elle porte, en secret, au seul homme qu’elle ne peut atteindre…

Battleship

Ohhohohohoho ! Risible ! Et c’est mon dernier mot ! Bon, développons un peu.
Il y a tellement de choses à dire sur ce film que je ne sais même pas par ou commencer.Un gros blockbuster dont je n’attendais absolument rien (heureusement d’ailleurs) et au final, c’était divertissant sans plus. Ça vaut presque les super téléfilms de l’après-midi avec les effets-spéciaux en prime ! La première partie, ça allait à peu près: le héros est super nul, un vrai boulet, c’en est pitoyable mais pitoyablement drôle donc ça passe relativement bien. Le jeu des acteurs est vraiment nul à chier. Les méchants de l’histoire: leur vaisseau nautique est vraiment pas mal, j’ai adoré leur façon de se mouvoir dans l’eau, mais alors les espèces de toupies beyblades destructrices… Comment dire… Pffff -_-‘. Non, le réalisateur n’a pas essayé de harponner les jeunes de moins de 14 ans, du tout ! Bref, un film faible… très faible à tous les points de vue !
Passons aux incohérences (bon, pas toutes, il y en a vraiment trop)… Non, non, finalement, y en a trop. Après, voyons les choses du bon côté: ça nous a permis de nous moquer allégrement en rentrant, du coup, la fin de soirée était festive ! Et je crois bien que de tout le film, le pompon ça restera toujours -en admettant qu’on ait passé sur les détails et accepter les n’importe quoi qu’on a tenté de nous faire gober- c’est le coup du pare-brise du vaisseau ennemi que de simples balles brisent en un clin d’œil…
Mais bien sûr ! C’était tellement réaliste que j’ai pu essuyé mes larmes tellement je riais – c’est parfaitement normal que, lorsqu’on possède la super technologie capable de créer un bouclier  qui isole un bout du Pacifique du reste du monde, on utilise un simple pare-brise pour se protéger du soleil, mais oui ! – Contre-argument: Roooooh, tout de suite! Normal, voyons, ils ont dépensé toute leur technologie pour leur bouclier, z’avaient plus de sousous pour le pare-brise. – Contre-contre-argument: mais bien sûr !
Bon, j’arrête là mon délire entre moi et moi.

Et le pire, j’ai failli zapper ce moment super important – hérésie ! – : LE grand moment super américain (et c’est dommage, le début, ils se partageaient l’affiche avec le Japon, de ce moment-là, ils se sont retrouvés seuls au monde contre les méchants (Biiiyoman-man !) bref, ça sentait pas trop le pro-ricain… jusque Là!) THE moment ou ils dépoussièrent le cuirassé vieux de plus de 50 ans, ainsi que les viocs de 70 piges qui savaient le piloter et tout ça, avec un équipage d’une trentaine de gars, dont facile les deux tiers composés de pépés. Oui, bien sûr (c’est cela même !) et les obus de 250kg à cet âge, on les porte et on recharge les canons les doigts dans le nez !
Risible ! Je l’ai déjà dit?
Bref, si on a juste envie de se lobotomiser devant un film, c’est celui à voir.
Mais RISIBLE ! Il est RISIBLE ! Comment ça, je me répète? Mais non ! -ça doit être l’âge, c’est pour ça ! ^^

Synopsis: Océan Pacifique… Au large d’Hawaï, l’US Navy déploie toute sa puissance , affrontant amicalement la marine japonaise sur différents terrains. Mais bientôt,cinq formes étranges et menaçantes s’écrasent à quelques kilomètres de Pearl Harbor en réponse à des signaux envoyés plus tôt par la NASA. Les forces navales sont donc envoyés pour vérifier de quoi il retourne. Une bataille s’engage alors entre les envahisseurs et les marins ne laissant pratiquement aucune chance à ces derniers, mais c’est sans compter les hommes de l’USS John Paul Jones, le jeune officier Hopper, l’Amiral Shane, le sous-officier Raikes qui vont découvrir que l’océan n’est pas toujours aussi pacifique qu’il y paraît.
La bataille pour sauver notre planète débute en mer.