X-Men le commencement

Pfff… Déception, c’est le premier mot qui me vient à l’esprit. J’en avais entendu beaucoup de bien, pourtant je n’en espérais rien: j’ai toujours détesté les premiers X-Men, donc je m’attendais à un truc assez moyen… Et c’était peut-être encore pire que moyen! Comme d’habitude, les scénaristes ont pris beaucoup de liberté, ce qui n’est pas étonnant en soit… mais là, c’est un peu trop à mon goût. Je suis un peu comme les enfants, j’aime la constance, et là, ils ont un peu trop bousculé tout mon univers! Donc pas d’accord! Bon, un peu de sérieux: je n’ai pas trop aimé, je trouve qu’au niveau de l’histoire, ils se sont perdus, c’est devenu une histoire banale de complot gouvernemental (encore, ouais, ça me gonfle les complots gouvernementaux!), le club des damnés qui se sert de la guerre froide pour conquérir le monde, ou pas loin, Moïra Mc Taggert agent de la CIA, on aura tout vu!… Trop d’humains, pas assez de mutant, etc… le seul moment que j’ai vraiment trouvé fun, c’est quand les protagonistes rejoignent Westchester.

Il n’y a donc que deux choses qui sauvent le film pour moi: le fait que j’ai été voir X-Men avec Jess (je ne fais pas des masses de films avec, donc c’était cool) et le second point positif était la présence de l’acteur qui joue Magnéto ;-P Il était fort sympathique! Un joli minou, un sourire à la fois ravageur et terriblement railleur qui me fait beaucoup penser au Magnéto de la Terre Sauvage (oui oui celui avec l’histoire de Malicia pour les connaisseurs)? Et si au début, j’ai eu beaucoup de mal à me faire à la tronche de Xavier avec des cheveux, par la suite, il faisait quand même bien professeur X. Bref, si l’histoire n’était pas top, il est temps de parler des détails qui diffèrent grandement du comics: déjà, l’équipe en elle-même… Rien à voir avec la Réelle First Class, seul le Fauve ne détonne pas, mais les autres que ce soit Sean Cassidy ou Mystique Oo, comme dit plus haut le Club des damnés qui veut conquérir le monde, soit, mais les méthodes employées sont loin d’être les leurs, et enfin, la dernière déception: la poitrine d’Emma Frost… loin d’être comme dans le comics avec ses pseudo-soutifs rembourrés, ne parlons pas de son pouvoir de se transformer en diamant qui est déjà là et qui est super mal fait! Enfin bon, vous l’aurez compris, je n’ai pas aimé ce film, des 4, c’est surement le pire!

Synopsis: Avant que les mutants n’aient révélé leur existence au monde, et avant que Charles Xavier et Erik Lehnsherr ne deviennent le Professeur X et Magneto, ils n’étaient encore que deux jeunes hommes découvrant leurs pouvoirs pour la première fois. Avant de devenir les pires ennemis, ils étaient encore amis, et travaillaient avec d’autres mutants pour empêcher la destruction du monde, l’Armageddon. Au cours de cette opération, le conflit naissant entre les deux hommes s’accentua finissant par la guerre éternelle entre la Confrérie de Magneto et les X-Men du Professeur X…
X-Men : le commencement nous entraîne aux origines de la saga X-Men, révélant une histoire secrète autour des événements majeurs du XXe siècle.

Rio

Trop fort! Je n’ai rien d’autre à en dire! On a été le voir ce matin en 3D, et je dois bien avoué que, certes cela donne de la profondeur aux décors, mais cela n’apporte pas grand chose au film. Mais ce petit détail passé, il était vraiment bien. Il alliait à merveille le côté drôle de l’âge de glace avec une bonne dose de beauté: bon, d’accord, un peu coloré à la limite du flashy, mais les paysages sont magnifiques, quand on voit rien que le début avec la danse des oiseaux, c’est trop beau! Les personnages étaient relativement attachant, si ce n’est l’ornithologue qui au début m’a vraiment gonflé tellement il est dans son monde, mais par la suite, ça va quand même mieux, donc même cela, ce n ‘est pas vraiment un mauvais point, ça fait parti du personnage :P. Quant aux enfants: si la petite ne pipait mot, tellement elle était subjugué par les couleurs, le petiot quant à lui était pété de rire du début à la fin. Et en parlant de fin, même si le final était un peu long, mon avis en reste amplement positif! A voir donc! ^^

Synopsis: Un bébé perroquet bleu d’une espèce très rare est arraché à sa forêt par les braconniers avant même d’avoir pu apprendre à voler. Il se retrouve dans le Minnesota et vit et grandit avec une petite fille Linda qu’il suivra jusqu’à ce qu’elle atteigne l’âge adulte. Lorsqu’un ornithologue le trouve et propose pour sauver l’espèce de l’emmener à Rio. Après quelques hésitations, sa maîtresse accepte de faire le voyage et Blu quitte sa petite ville sous la neige et le confort de sa cage pour s’aventurer au cœur des merveilles exotiques de Rio de Janeiro. Sachant qu’il n’a jamais appris à voler, l’aventure grandiose qui l’attend au Brésil va lui faire perdre quelques plumes ! Heureusement, ses nouveaux amis hauts en couleurs sont prêts à tout pour réveiller le héros qui est en lui, et lui faire découvrir tout le sens de l’expression «prendre son envol».


Sucker punch

Hier, nous avons été voir Sucker Punch au cinéma. J’avoue que je ne sais pas trop quoi penser de ce film. On m’avait dit qu’il était sans scénario, inintéressant. ce qui fait que le début m’a énormément surpris. si ce n’est la musique trop forte qui donnait déjà le ton de ce qui nous attendait, j’ai trouvé le commencement très glauque, limite malsain, et ça m’a bien plu. J’ai trouvé l’idée de base assez intéressante, malheureusement, toutes les bonnes idées du films ont été très mal exploité et ça en gâche  le film. Non seulement, comme à chacun des films de Zack Snyder, il a utilisé bien trop d’effet spéciaux, trop d’actions, et le film est beaucoup trop esthétique, et même si j’ai beaucoup aimé certaines images, ça reste trop et quand c’est trop, c’est… Bref, passons ce sujet, ce n’était pas le pire dans ce film. Pour moi, il y a eut des mal-façons qui ont tué ce film: les transitions étaient ratées. Il aurait pu y avoir plus de scènes dans l’asile qui prépare la suite. Quel est le rapport entre l’asile et le bordel, ça a à peine été effleurée. Le personnage principal aurait pu jouer sur le théâtre un bout de sa vie ou la transition entre les deux univers aurait pu se faire par le biais du médicament… mais là, rien, tu sais pas le pourquoi du comment, c’est assez naze? C’est quoi, un souvenir métamorphosé de son séjour à l’asile plus facile à accepter? Peut-être, peut-être pas. On ne sait trop.

La seconde chose où le film pèche est probablement sur la fascination qu’est censé exercé Babydoll: on voit bien qu’elle l’exerce sur les autres personnages… mais sur le spectateur? Rien. Il aurait fallu d’une danse fascinante, rien qu’une pour que cela opère aussi sur le spectateur, mais au lieu de cela on a eu droit à des scènes dignes de jeux-vidéo où l’on a pu sans problème sourire en se disant qu’à ce genre de jeu on y a joué, et que ce décors nous rappelait X-jeu sur lequel on s’est éclaté, ou nous rappelait X-manga qu’on aurait pu voir et dévorer… Mais cela reste un film vide… Le réalisateur est passé à côté de ce qui en aurait vraiment fait un film culte… au lieu de cela ce n’est qu’un film avec des minettes, pour geek pervers ou otaku, une cinématique de jeu vidéo d’1h50!

Synopsis: Fermez les yeux. Libérez-vous l’esprit. Rien ne vous prépare à ce qui va suivre.
Bienvenue dans l’imaginaire débordant d’une jeune fille dont les rêves sont la seule échappatoire à sa vie cauchemardesque… S’affranchissant des contraintes de temps et d’espace, elle est libre d’aller là où l’entraîne son imagination, jusqu’à brouiller la frontière entre réalité et fantasme… Enfermée contre son gré, Babydoll a toujours envie de se battre pour reconquérir sa liberté. Combative, elle pousse quatre autres jeunes filles – la timorée Sweet Pea, Rocket la grande gueule, Blondie la futée, et la loyale Amber – à s’unir pour échapper à leurs redoutables ravisseurs, Blue et Madame Gorski – avant que le mystérieux High Roller ne vienne s’emparer de Babydoll.
Avec Babydoll à leur tête, les filles partent en guerre contre des créatures fantastiques, des samouraïs et des serpents, grâce à un arsenal virtuel et à l’aide d’un Sage. Mais ce n’est qu’à ce prix qu’elles pourront – peut-être – recouvrer la liberté…

Panda, petit Panda

Alors, je me devais de faire un post à ce sujet, et cela me donne l’occasion de passer à des choses plus gaie, parce qu’après tout, la vie continue.

Ce matin, j’ai accompagné la classe de la petiote pour aller voir Panda, petit panda. Je n’avais aucune idée de ce que c’était et pas le temps de me renseigner avant étant donné que j’ai appris le nom du film en y allant. Mais dès la première image: « tiens, un film japonais! il ne manquerait plus que ce soit du Miyazaki! » Et dès le générique, -_-‘ comme le monde est petit. Alors, passons sur le fait que j’étais super contente de voir ma fille évoluer dans le milieu scolaire: elle est méconnaissable, plus sage qu’une image, obéissante, gentille, bref à croquer (si seulement c’était pareil à la maison 🙁 ). Passons donc au film à proprement parler… comment dire… On voit vraiment que ça doit remonter aux années 1970 (ah, ben après vérification, je ne me suis pas trop trompée, 1973). Bref, ça se ressent… à mort. Il regroupe deux moyen métrage de Hayao Miyazaki et Isao Takahata et portant le nom de Les Aventures de Petit Panda et Panda Kopanda, le cirque sous la pluie. Je suis peut-être devenue difficile avec les années, mais je n’ai pas trop apprécié. Alors après vous me direz, mais on s’en fout de toi ma pauvre! Et les gosses, dans l’histoire?

Eh! Pas besoin d’être aussi peu aimable! Bon, en ce qui concerne les enfants, ils ont adoré! Ils tremblaient avec les héros et riaient avec eux. Ils ont été sages, et dur pour 32 élèves de petites sections, et si on exclut quelques intéressants et leur rires forcés, je pense qu’ils ont vraiment passé un bon moment (même si pour moi, ce fut 1h20 très très très longue). Et la petiote m’a même demandé à plusieurs reprises si elle pourrait le revoir, donc quand je dis que ça a plut, je ne m’avance pas trop quand même ^^

Synopsis: La petite orpheline Mimiko, habite dans la maison de sa grand-mère. Alors que cette dernière s’absente quelques jours, un bébé panda et son papa, échappés du zoo voisin, pénètrent dans la maison… et s’y installent ! Tous trois deviennent rapidement les meilleurs amis du monde… même si le petit panda se révèle être un habitué des bêtises : il sème la panique à la cantine de l’école, manque de se noyer dans la rivière… Jusqu’au jour où il découvre un intrus couché dans son lit : un tigre qui ne retrouve pas le chemin de son cirque. C’est ainsi que Mimiko et les deux pandas le ramènent vers sa maman et qu’ils passent des instants merveilleux au milieu de gens du cirque, allant même jusqu’à sauver tous les animaux d’une inondation ! Cela vaut bien une magnifique parade dans les rues de la ville pour la plus grande joie des enfants ! Composé de 2 moyens métrages, Panda Kopanda d’une durée de 33 mn, et Panda kopanda amefuri saakasu no maki d’une durée de 38 mn.

Kerity, la maison des contes

Avant-hier soir, nous avons regardé un dessin animé français dont j’avais entendu beaucoup de bien: Kerity, la maison des contes (et que j’avais offert au petit pour la saint valentin :p). Et… Waouh! J’ai vraiment été enchantée (c’est le cas de le dire :p) Je n’aime pas trop le character design des personnages, mais les décors et l’animation sont absolument géniaux, et en fin de compte, les personnages et leur dégaine étrange se fondent merveilleusement dans le paysage. De plus, je trouve les musiques vraiment jolies et elles se mêlent à merveille à l’histoire. Bref, le scénario est vraiment sympathique, les personnages sont attachants et cette merveilleuse fable qu’est Kerity parle aux enfants autant qu’aux adultes. bref, ça m’a vraiment plu et vu que les petiots étaient scotchés à l’écran, des étoiles dans les yeux, j’en déduis qu’à eux aussi ^^

Synopsis: Natanaël a bientôt 7 ans, mais il ne sait toujours pas lire… Lorsque sa tante Eléonore lui lègue sa bibliothèque contenant des centaines de livres, Natanaël est très déçu ! Pourtant, chacun de ces contes va livrer un merveilleux secret : à la nuit tombée les petits héros, la délicieuse Alice, la méchante fée Carabosse, le terrible capitaine Crochet, sortent des livres… Ils doivent prévenir Natanaël qu’ils courent un grand danger et risquent de disparaître à jamais. Pour sauver ses minuscules amis et leurs histoires, Natanaël, rétréci par la Fée Carabosse, se lance dans l’aventure ! Il affrontera vaillamment le très fourbe Ramastou, les crabes géants, l’Ogre affamé…
Arrivera-t-il à temps à lire la formule magique qui les sauvera tous ?
Ce n’est pas parce que c’est inventé que ça n’existe pas !