Solo Leveling, tome 1 – Chugong

Titre : Solo Leveling, tome 1
Auteur : Chugong
Éditeur : KBooks
Nombre de pages : 215
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée entre les griffes des monstres qu’ils ont apportés avec eux. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au coeur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.
Suivez Jinwoo, le plus faible de tous les chasseurs, qui se réveille doté d’une interface virtuelle lui permettant de passer des niveaux pour devenir plus fort !

J’ai acheté ce premier tome pour la Pâques de mon fils. Il me parle de ce manga depuis des mois : à la base, c’est une série webtoon qu’il lit sur le net. On avait cherché la version papier il y a quelques mois et on n’avait rien trouvé. Samedi, je regardais les nouveautés arrivées au Calphrier et qu’ai-je vu ? Le premier tome de Solo Leveling donc j’ai été le chercher et j’ai fait un heureux en le lui offrant dimanche.
Bon, je dois bien avouer que le prix (pas loin de 15€) m’a fait grincer des dents, mais ça se comprend : il est tout en couleur… finalement, pour 215 pages, ce n’est pas si cher.

Et puis la couverture est super belle. Quant à l’histoire, elle est sympa :
Jimwoo est le plus nul de tous chasseurs qui sont classés par rang : S étant les plus forts et E les plus mauvais. Le héros est dernier de la dernière classe, c’est dire s’il est nul. Hormis le fait que ses pouvoirs sont nazes, pourquoi ne pas compenser sa nullité ? Il ne se sert pas de son argent pour se stuffer… et il a une bonne raison à cela, mais je n’en dirai pas davantage là-dessus.
Il participe à un donjon, et les autres chasseurs se disent que s’il est là, c’est que ce sera facile. Il ne s’attendent pas à tomber sur un double donjon qui mettra leur vie en péril.

C’est un résumé très succinct et il manque plein de détails intéressants, mais l’essentiel y est.
Les personnages sont sympathiques : on en apprend suffisamment sur le héros pour s’y attacher. Pour les autres, c’est assez superficiel, pourtant le principal est révélé et on finit par avoir de la peine pour eux.
Par contre, le méchant m’a fait froid dans le dos… quand son visage passe de serein à maléfique… brrrr ! C’était digne de films d’horreur.

L’histoire était bien stressante tout le temps où les chasseurs sont dans le donjon et j’avais hâte de savoir comment cela allait se terminer. Vers la fin, j’ai été interrompue dans ma lecture et devoir mettre en pause m’a foutu les nerfs.
J’ai adoré ce premier tome et je suis bien contente de l’avoir lu. J’ai hâte que le deuxième tome sorte. Je pourrais lire la suite en scantrad, mais je préfère attendre la version papier qui devrais être publié le 9 juin… vivement !

Fukuneko : Les chats du bonheur, tome 1 – Mari Matsuzawa

Titre : Fukuneko : Les chats du bonheur, tome 1
Auteur : Mari Matsuzawa
Éditeur : Nobi nobi !
Nombre de pages : 160
Quatrième de couverture : Dans la ville de Fukuneko, les chats sont loin d’être des félins ordinaires. En effet, si vous êtes chanceux, l’un d’eux vous choisira peut-être pour vous rendre heureux ! Dénommés les “fukuneko”, ces serviteurs du dieu des chats ont le pouvoir d’apporter le bonheur à l’humain de leur choix.
C’est ainsi que la jeune Ako, fraîchement débarquée à la campagne, se voit adoptée par Fuku, la chatte de sa défunte arrière-grand-mère. À ses yeux seulement, l’animal a l’apparence d’une fillette aux oreilles de félin…
Laissez-vous envoûter par les chats du bonheur et leur magie !

J’ai acheté ce premier tome samedi et je n’avais pas envie de le mettre sur ma Pile à Lire pour le découvrir dans 6 mois. Je pense d’ailleurs qu’à partir d’aujourd’hui, je lirai tout de suite les mangas que j’achète… du moins quand je suis à jour. Je me suis donc lancée dans l’aventure et je ne regrette rien !

Fukuneko, c’est la ville où l’héroïne, Ako, vient habiter avec son petit frère et sa sœur aînée. Ils emménagent dans la maison où vivait leur arrière-grand-mère, récemment décédée. Dès le premier soir, un chaton du nom de Fuku apparaît. C’était la chatte de la défunte. Mais ce qui est étrange, c’est que Ako voit le félin comme une petite fille. Pourquoi ?
Bientôt, elle découvre qu’elle n’est pas la seule, pourtant, c’est une faculté rare.

J’ai bien aimé le personnage d’Ako (elle m’a fait pensé à ma fille sur bien des points), son petit frère n’est pas trop chiant donc ça me convient bien. Quant à la sœur aînée, on ne la voit pas beaucoup parce que son travail de mangaka lui prend beaucoup de temps. En ce qui concerne Fuku, je la trouve trop mignonne : j’avais envie de lui pincer les joues et de la prendre dans mes bras pour lui faire un câlin. La relation qu’elle noue avec Ako est touchante. Ça m’a rappelée celle que j’avais avec mon Polo… nostalgie quand tu nous tiens T_T

Les dessins sont jolis et je me suis souvent prise à m’attarder sur certaines planches pour les contempler. Le character design des personnages est simple, mais soigné. L’auteure utilise différentes textures pour les habits ou les décors qui sont pas mal détaillés et j’apprécie beaucoup ça.

J’ai adoré cette lecture, c’était apaisant et tout doux. Ça m’a mis le sourire aux lèvres toute la soirée. Un baume au cœur dans cette triste période.

Yamada kun & the 7 witches, tome 22 – Miki Yoshikawa

Titre : Yamada kun & the 7 witches, tome 22
Auteur : Miki Yoshikawa
Éditeur : Delcourt/Tonkam
Nombre de pages : 192
Quatrième de couverture : Yamazaki, l’ex-président du comité des élèves, compte faire sa déclaration à Leona lors de la cérémonie de fin d’études. Mais Rika, l’ancienne septième sorcière, compte de son côté ouvrir son cœur à Yamazaki ! Mikoto Asuka ne sera pas en reste…
Et au milieu de tout ce micmac trône Yamada, qui est au courant des sentiments de chacun et se retrouve coincé à ne savoir que faire pour aider tout le monde…
Leona, elle aussi au courant, a-t-elle une solution miracle pour tout arranger ?

On a enfin la conclusion du quatuor amoureux entre Yamazaki et ses trois groupies… et je n’ai qu’une chose à dire : tout ça pour ça ! C’en est décevant… Leona proposait de régler l’affaire, je m’attendais à un truc drôle, ou tordu… mais c’est juste nul !
Ça ne vaut pas le coup de s’y attarder davantage, ça a quand même permis à l’auteur de nous lancer sur le but de Yamada : recouvrer la totalité de sa mémoire (et optionnellement, celle de ses amis). Rika lui révèle comment faire et c’était une telle surprise ! Je ne m’attendais pas du tout (ironie quand tu nous tiens -_-) à ce que ce soit de pratiquer un rituel de sorcières avec le second groupe, celui de Takuma…

Là où ça se complique, c’est que l’année scolaire se termine et les 3ème années quittent le lycée, ce qui veut dire que des collégiens vont débarquer en 1ère année… concrètement, qu’est-ce que cela va changer pour Yamada, le club des phénomènes paranormaux et le conseil des élèves ? Des sorcières connues vont partir pour laisser la place à de nouvelles. Qui a hérité de pouvoirs et quels sont ses talents ?
Si le nouveau président, Tamaki, en a identifié certains, il bloque sur l’un des nouveaux. Et c’est à Yamada de trouver quelles sont les facultés du 1er année s’il veut que le conseil l’aide à retrouver la mémoire.

C’était loin d’être une lecture exceptionnelle… ça n’avance pas, ça tourne en rond… sûrement parce que l’auteur a fait le tour.
Je ne sais pas si j’emprunterai le prochain (à moins que je ne trouve aucune autre lecture), je n’ai pas particulièrement envie de savoir quels sont ces fameux souvenirs oubliés… malgré tous ses efforts, l’auteure n’a pas réussi à titiller ma curiosité.

Bilan lecture du mois de mars 2021

Bilan de lectureCe mois-ci, c’était un peu bizarre… j’ai eu du mal à me concentrer et à dégager du temps pour lire, c’est sûrement la raison pour laquelle mon bilan est si moyen.
J’ai lu 8 livres (2 BD, 2 mangas et donc 4 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
 


Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:
 


Gif heureux

J’ai aimé:
 


Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a laissée indifférente:

 

 

On arrive donc à un petit total de 1876 pages (208 en BD, 367 en mangas et donc 1301 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 11/20

ABC Imaginaire 2021 : 03/26

Challenge Goodreads : 11/130

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 3/65 saga et 18/234


Actuellement, je lis :
D’os et de chair
Didier Quesne
(0%)


Actuellement, je joue sur PC à :

Les Royaumes invisibles, tome 1 : La Princesse maudite – Julie Kagawa

Titre : La Princesse maudite
Saga : Les Royaumes invisibles, tome 1
Auteur : Julie Kagawa
Éditeur : Harlequin
Nombre de pages : 412
Quatrième de couverture : Ethan a disparu… A la veille de son seizième anniversaire, Meghan découvre qu’on a enlevé son petit frère. Dans le même temps, elle apprend qu’elle est une fille fée, la princesse maudite d’un royaume invisible dont il lui faut franchir la porte si elle veut retrouver Ethan. Prête à tout, Meghan accepte de passer de l’autre côté du miroir au risque de sa vie. Et, sitôt transportée dans la forêt magique, elle voit se dresser en travers de sa route le prince Ash, le plus dangereux des êtres dangereux qui peuplent les royaumes invisibles…

Cette lecture m’a paru ne pas finir. J’étais en vacances cette semaine donc j’avais prévu du temps pour lire, mais je n’ai pas réussi à avancer… ce qui est étonnant parce que l’histoire me plaisait bien.
Bon, OK, le début n’est pas terrible : Meghan vit dans les bois avec sa mère, son beau-père et son demi-frère Ethan qui voit des monstres dans son placard. Comme toutes les adolescentes, elle va au lycée avec son meilleur ami Robbie. Tout se déroule aussi bien que possible à cet âge jusqu’à ce que le frère de l’héroïne est enlevé et remplacé par une créature qui lui ressemble mais qui est aussi flippante que mauvaise.
Assez rapidement, on apprend que Meghan est une demi-fée, fille d’Obéron (oui, celui de Songe d’une nuit d’été) et son meilleur ami n’est autre que Puck qui est chargé depuis des années de la protéger.
Elle décide de traverser l’un des portails qui mènent au pays des fées afin de libérer Ethan. Et c’est à partir de là que le récit devient plus intéressant.

Il y a des passages que j’ai adorés : les descriptions sont féeriques, je n’ai eu aucun mal à m’immerger dans l’atmosphère instaurée, les dialogues entre les personnages (j’avoue que c’est surtout les moments avec Puck qui m’ont éclatée, il m’a fait rire).
Malheureusement, il y a de nombreuses scènes qui m’ont ennuyée : ça n’avançait pas, les héros passaient à côté d’évidences grosses comme un troupeau d’éléphant (seul Grimalkin set montrait malin, mais comme c’est un chat, personne ne l’écoute et tout le monde s’en méfie), certains détails étaient prévisibles.

Dans l’ensemble, j’ai bien aimé l’univers, même si certains points m’ont fait tiquer :
– c’est une énième version de Songe d’une nuit d’été et de l’histoire de la cour d’Obéron – j’ai lu la pièce et je ne l’ai pas interprétée de la même manière, c’est plus proche des adaptations cinématographiques que j’ai vues.
– la Faërie, le glamour, la vulnérabilité au fer… des éléments qui m’ont trop fait penser à Mercy Thompson – je n’ai jamais cherché à savoir si cela faisait vraiment partie du folklore des fées ou si tout avait été inventé par Patricia Briggs.

En ce qui concerne les personnages, ce n’était pas ça : ils m’ont laissée indifférente à part Puck qui m’a amusée… Quant à Grim, je ne sais pas trop quoi en penser : parfois j’ai apprécié sa présence et son charisme et d’autres fois, je l’ai trouvé très/trop effacé.
Le gros point fort est que l’intrigue de ce premier tome a une fin : Ethan a été enlevé, Meghan trouve le coupable et l’histoire est bouclée.
Certes, ça se termine par un cliffhanger, mais si je décide de ne pas lire la suite, je ne me sentirai pas frustrée.
J’avoue que je suis curieuse de savoir ce que nous réserve l’auteure dans le tome suivants, donc je pense lire les trois prochains, mais j’ignore quand…

ABC Imaginaire 2021 – lettre K :
03/26