Mission Aventure: un samedi soir… à Oberhaslach

Il y a déjà deux weekends de cela (oui, je sais, je crains, je suis un peu en retard), j’ai accompagné le groupe des farfadets en camping pour une mission aventure avec toute la compagnie de St-Pierre-Le-Jeune.
Le weekend fut chargé en émotion mais tout s’est bien passé et dans les temps; seul bémol à ces deux jours, les températures qui malgré des journées ensoleillées étaient relativement basses, mais cela ne nous a pas empêché de tenir bravement le programme!

Nous sommes arrivés à 14h30 comme prévu. En attendant que toute la troupe soit là, il a été organisé un « petit poisson venez ! » d’une taille impressionnante, et c’était super sympa de voir le filet s’agrandir de plus en plus tandis que le nombre de poissons diminuait à vue d’œil.
Puis le temps du rassemblement vint. Une petite marche vers le campement s’imposa. Une fois arrivés sur place, nous fûmes accueillis par un chant scout et une présentation du thème de l’événement: Hergé a choisit ce week-end là pour organiser une exposition de ses œuvres.
Mais avant de réellement commencer l’aventure, les choses sérieuses commencèrent pour chaque unité: le montage des tentes. Chaque groupe a donc monté sa ou ses tentes, et même les farfadets s’y sont attelés avec une grande motivation et beaucoup d’attention quant aux conseils que nous prodiguait Hergé (oui, je dis nous parce que bien sûr, je m’y suis également mise 😛 Et sauvons l’honneur, nous ne préciserons pas que sans cette aide pour le moins bienvenue, nous n’y serions jamais arrivé ! ^^)
Une fois les tentes installées, les différentes unités se sont occupées des dernières installations: les bancs, la table, les feuillus, etc…

Puis l’aventure a enfin pu commencer: les maquettes pour l’exposition ont été dérobées ! Des puzzles à reconstituer. Des codes à décoder. Puis une ballade en forêt qui a fini par une chasse aux trésors et les maquettes de l’expo retrouvées: la fusée d’objectif lune, la boite de crabe, le sceptre d’Ottokar, le champignon géant de l’île noire, le chapeau du professeur Tournesol, le coffre de Rakham le Rouge, la comète, le tablier de la boucherie Sanzot et, je crois que c’est tout! (bien entendu, tout ayant été fait main par les mamans volontaires en vue de ce week-end ^^)

Après un bon repas et surtout une soupe tomate-vermicelle chaude, le feu de camp fut allumé avec une dextérité de maître (et même si le chalumeau, ça fait un peu bourrin, le résultat était là, c’est ce qui compte). Puis le jeu reprit avec l’arrivée des invités « tintinesques » et notamment les Dupond et Dupont qui lancèrent l’enquête sur le vol/la disparition des maquettes. Il faut bien avouer que l’heure et la fatigue de la journée se faisant sentir pour tous, cette partie fut laborieuse, pourtant, dans un éclair, une des quatre équipes a fini par résoudre l’énigme et trouver le coupable.

Puis la journée se finit sur un moment de calme et le moment du dodo bien mérité vint pour tout le monde.
La nuit fut pour le moins glaciale, les températures ayant grandement chuté en soirée.

Tera

On a testé la bêta fermée de Tera du 31 mars-1er avril.
Bon, bilan de ce test: ça reste à voir et à tester davantage. Je n’ai pas vraiment réussi à m’en faire une idée n’ayant pu jouer que deux soirées, à savoir que la première, le temps de la prise en main, on a dû faire les dix premiers levels, la seconde soirée, dans un état second dû à un rude week-end, et un leveling aidé, histoire de passer 20 et essayer les donjons pour finalement arriver comme les autres au level 19 et arrêter là… Dommage!

Bref, une opinion pas vraiment faite, une ébauche à tout casser: le jeu est vraiment beau, les races de personnages assez sympathiques, même si rien de transcendant -les poporis sont très drôles-, un leveling relativement simple d’un premier abord, à voir si lors de l’officiel, le niveau ne sera pas augmenté, des monstres lents dans leur attaque.
La seule véritable « innovation » pour un MMO reste quand même le ciblage des mobs: inexistant pour ainsi dire et des skills à appliquer selon les distances. pareil pour le heal. Et ça, j’avoue que ça m’a beaucoup plût: ça augmente significativement la difficulté du jeu. Maintenant, à voir si une fois l’anticipation des skills maîtrisée, le jeu n’en deviendra pas moins intéressant.

Donc je réserve mon avis final sur Tera. Pour une bêta, ça va à peu près et si avant d’y jouer la motivation était absente, maintenant, elle est là…
Vivement qu’il sorte et surtout qu’on puisse se retrouver entre Shinsengumi sur un tout nouveau jeu ^^!

Full Metal Panic? Fumoffu

Tordant! c’est le mot le plus prêt de ce que j’ai pensé de cet animé. Fiou, j’étais pété de rire à chaque épisode. Et j’ai une nette préférence pour cet opus là de la série. J’ai absolument adoré, pourtant, habituellement, ce genre de comédie me saoule très vite, mais là, j’ai tellement aimé qu’en l’espace de quelques jours, j’ai liquidé la saison entière. Une bouffée d’air frais! Un peu plus tourné vers le côté scolaire et drôle de la série. Je n’ai qu’une chose à déplorer: dommage que l’on ne voit que peu Kurz, Melissa et Tessa, ils auraient mis un peu de piquant (2 épisodes, c’était pas assez! 🙁 ). Mais ça nous permet de découvrir de nouveaux personnages, notamment le chef et la secrétaire du conseil des élèves, un super duo avec Sagara ^^ Et de connaitre davantage quelques personnages secondaires, surtout les amies de Kanamé. En tout cas, très drôle, à voir si on a envie de s’amuser ^^

Synopsis: Après être parvenu à sauver la jeune Kanamé Chidori des griffes de l’organisation terroriste qui tentait de lui extorquer les secrets de la Black Technology, Sôsuke Sagara a repris une vie normale de lycéen auprès de celle qu’il continue de protéger. Enfin, pour autant que le mot « normal » fasse partie du vocabulaire du jeune homme! Pour lui qui a passé son enfance sur les champs de bataille et qui se montre totalement inepte dans le domaine des relations humaines. le lycée Jindai est source de multiples dangers potentiels. Entre les lettres peut-être piégées déposées subrepticement dans son casier par une étudiante énamourée, les machinations d’un professeur d’EPS  revanchard, la folie furieuse d’une femme flic complétement hystérique, des cours d’éducation artistique qui se transforment en véritable parcours du combattant ou la visite inopinée de son officier supérieur, Sôsuke n’aura pas vraiment l’occasion de relâcher son attention; au grand dam de Kaname…

Full Metal Panic !

Bon, je me suis enfin décidée à continuer les animés, et après quelques semaines (bvoui, il y a quand même pas mal d’épisodes, et entre mes différents jeux, lectures et autres, je ne prends pas beaucoup  de temps pour regarder des séries sous-titrées !) j’ai enfin fini la première saison des Full Metal Panic ! J’ai vraiment bien aimé, une série de mécha sympathique et drôle et où les mécha tiennent une place minime en fin de compte, la série portant plutôt sur les relations plus ou moins houleuses des personnages. Et pour une fois, j’adore le héros, il est par moment super chiant et con, mais son côté inadapté social est absolument tordant et fait tout le charme de la série ! Bref, j’ai relativement apprécié la saison 1, avec un bémol sur les scènes tragiques de Sagara et son passé: j’ai trouvé que ça manquait pas mal de tragédie, pas assez vibrant, pas assez profond… trop superficiel quoi ! Enfin, je sais pas, ce sont des moments ou je me suis pas mal ennuyée alors que ça devait être poignant… et non. Dommage ! Je me contenterai donc de dire que c’est drôle et sympa comme série. Un bon moment passé, malgré tout et la suite en cours de visionnage !

Résumé: Mithril est une organisation d’élite composée de mercenaires entraînés dès leur plus jeune âge, formés à utiliser d’imposantes méchas de combat. Leur but, protéger la « Black Technology », science secrète et mystérieuse, connue seule des Whisperers, contre les super-vilains terroristes. Trois agents de Mithril, Kurz Weber, Melissa Mao et Sôsuke Sagara sont chargés de protéger Chidori Kanamé, une jeune lycéenne qui, connaissant sans le savoir les secrets de la Black Technology se retrouve la cible idéale des méchants. Pour se faire, le jeune Sagara va intégrer son lycée. Or, ce dernier dont l’enfance n’a été faite que de guerre et de combat se retrouve dans un milieu dont il ignore tout et va de maladresse en maladresse: tout tourne rapidement à  la catastrophe et aux quiproquos !

Arrietty, le petit monde des chapardeurs

Après de nombreuses semaines d’hésitation, j’ai obligé tout le monde à regarder ce film des studios Ghibli. La raison de cette hésitation: la peur d’être à nouveau déçu, le moins qu’on puisse dire c’est que Ponyo était loin de combler nos attentes et que depuis quelques années, les films de Ghibli nous ont paru de moins en moins féérique, moins beau, moins dépaysant. Et j’avoue que ça n’a pas été le cas de celui-ci! On a beaucoup aimé, on y a retrouvé toutes les choses qu’on adorait dans les Ghibli: un monde à part, beaucoup de verdure, des décors splendides, des personnages attachants, un peu de suspens sans pour autant que ce soit trop, lent mais loin d’être long et ennuyeux! Ça manquait peut-être un peu d’action, mais comme c’en était pas le but premier, ça ne manque pas vraiment. A mes yeux, une vraie réussite. Je ne suis pas mécontente de l’avoir vu. Quant aux enfants, ils semblaient fatigués mais on ne les a pas entendu tout du long, je verrai dans les semaines à venir s’ils redemandent à le voir 😛
Un très beau film, à voir!

Résumé: Dans la banlieue de Tokyo, sous le plancher d’une vieille maison perdue au cœur d’un immense jardin, la minuscule Arrietty vit en secret avec sa famille. Ce sont des Chapardeurs.
Arrietty connaît les règles : on n’emprunte que ce dont on a besoin, en tellement petite quantité que les habitants de la maison ne s’en aperçoivent pas. Plus important encore, on se méfie du chat, des rats, et interdiction absolue d’être vus par les humains sous peine d’être obligés de déménager et de perdre cet univers miniature fascinant fait d’objets détournés.
Arrietty sait tout cela. Pourtant, lorsqu’un jeune garçon, Sho, arrive à la maison pour se reposer avant une grave opération, elle sent que tout sera différent. Entre la jeune fille et celui qu’elle voit comme un géant, commence une aventure et une amitié que personne ne pourra oublier…