Croyance

Tout le monde croit en quelque chose… jusque là, tout est normal, voire même évident… Malheureusement, beaucoup pour de mauvaises raisons. La foi désintéressée existe-t’elle vraiment? Il y a souvent de quoi en douter. Mais ceci est un autre sujet… que je pourrai certes développer, mais, présentement, l’envie m’en manque… Bref, j’ai pensé toute la matinée à cela.

Pour ma part, je crois en Dieu… J’ai eu beaucoup de mal à l’admettre et maintenant encore, c’est loin d’être facile, mais je dois bien me rendre à l’évidence: j’y crois! Ma foi est et reste très humble: je crois en une force supérieure, peu importe le nom qu’on lui donne, dans ma religion, c’est Dieu, alors gardons ce nom, même s’il reste synonyme de grosse connerie. Je trouve la religion et tout ce qui tourne autour ridicule. En réalité, c’est ce que l’homme en a fait que j’ai du mal à admettre: chaque fois que je vois un film ou une série américaine ayant pour fond Dieu ou la religion, ça me file des boutons! Ils en ont fait une croyance mielleuse pleine de nunucherie en tout genre… Une véritable mascarade.

Lorsque j’étais plus jeune, et que je voulais quelque chose d’important ou moins, je priais Dieu, il n’était qu’un moyen comme un autre d’arriver à mes fins, d’attirer la chance et toutes les forces supérieures à moi. Maintenant, c’est beaucoup plus ténu: quand je regarde ma vie, je me rends compte que tout au long, j’ai toujours eu énormément de chance, même si, comme tout le monde, il y a des semaines ou on se dit qu’on est maudit… Mais quoiqu’il en soit, pour les choses réellement importantes, la chance est avec moi… J’y crois, mais je ne lui demande plus rien en retour… Pourquoi ce changement si tardif? Peut-être que lorsqu’on a perdu un être cher, on a davantage envie d’y croire, de croire que ceux qui sont partis sont bien là ou ils sont, et ou mieux qu’au paradis peuvent-il être, près d’un dieu tout puissant, présent pour leur âme et pour ceux qu’ils ont laissé derrière eux? Cette façon de voir les choses est peut-être d’une niaiserie à pleurer… Mais… tant que ça me permets de me sentir mieux… Ou est le mal?

Et toi? A quoi tu crois?

L’alchimiste

J’ai fini il y a deux soirs l’alchimiste de Paulo Coelho. J’ai un peu trainé sur ce bouquin alors qu’il me plaisait bien pour la simple et bonne raison que je ne le lisais que dans mon bain, sachant que je n’en prends pas souvent… Bref, passons au choses sérieuses: c’est un livre qui se lit bien, qui est distrayant. j’ai beaucoup aimé le début, mais la fin nettement moins, le coup du je dialogue avec le Vent et le Soleil… Bof… non pas que le fait de parler avec les éléments n’auraient pas pu être intéressant, mais c’est surtout que le dialogue était assez insignifiant… Mais malgré cela, j’en garderai un bon souvenir: le périple du berger jusqu’à son départ de l’oasis m’a vraiment plût…

Résumé: Santiago, un jeune berger andalou, suite aux conseils d’un roi légendaire, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides. Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve. Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs.

De l’autre côté du lit – Alix Girod-De-l’Ain

Après des semaines à ne plus vraiment lire, j’ai pris la bonne résolution de finir tous les livres que j’ai commencé tout au long de cette année et abandonné sans véritable raison. Après avoir fini la trilogie d’Hervé Bazin, je me suis attelé à un livre commencé fin de l’été lorsque je suis allée sur Paris et qui me semblait aussi frais que sympathique. Et en effet, j’ai beaucoup apprécié, surtout au début, c’était drôle, facile à lire et bien agréable. Mais je me suis vite rendue compte que ce genre de bouquin, je n’apprécie que moyennement sur une longue durée. Même si c’est frais, sympathique et qu’on voit clairement que l’auteur connait relativement son sujet, je préfère un ton plus soutenu dans l’écriture… d’autant que même si je n’ai eu aucun mal à me reconnaître par moment, à m’amuser de toutes les références que l’auteur à utilisé, ou à reconnaître bon nombre de couples, ça reste quand même très stéréotypé… trop, je dirai! Mais malgré cela, la touche finale est quand même positive.

Résumé: Monsieur part le matin diriger sa grosse entreprise de matériel de chantier, madame travaille à mi-temps et s’occupe des enfants. Pourquoi comme ci et pas comme ça ? Ariane et Hugo, lassés du traintrain quotidien, ont relevé le défi : ils ont échangé leurs vies pour un an. La compréhension entre les sexes pourra-t-elle naître de la confusion des genres ?

Lutte anti-spam!!!

Bon, ces prochains temps, je risque de passer pas mal de temps à lutter contre les spam de m…. (censure de l’admin’, on peut rester poli, siouplé?) Hier, j’ai eu droit à une multitude de spam de daube (ça va, c’est assez poli pour toi, ça?><« ) et ça fait un moment que je cherche une solution pour les empêcher, c’est la raison pour laquelle on ne pouvait pas poster de commentaires sans s’être connecté d’abord… Par la suite, j’ai chercher un logiciel pour confirmer les inscriptions (pas essayé si ça marchait, mais cette semaine, je testerai ^^).

Malheureusement, tous les efforts ont été vains, je vais donc cette prochaine semaine chercher encore et encore des solutions, faire des tests en tout genre et tout ça sans devenir folle… (Bon, sang, y a quand même des challenges impossibles dans cette vie…) et je vous tiendrai au courant de l’avancée de mes recherches ou pas…

Joyeux Halloween 2010

Comme chaque année, on se mets au gout du jour! Il m’a manqué le temps autant que l’envie de changer le skin du site, pourtant, j’ai quand même décidé d’écrire cet article pour vous souhaiter de passer un bon Halloween! Il est vrai que chez nous, cette « fête » a bien peu d’importance, et ce n’est pas faute d’avoir essayé de l’instaurer en France, mais bon… Ça n’a pas pris, et c’est dommage, c’est une occasion loupée de s’éclater juste avant la morosité qu’est la Toussaint, aussi bien pour les enfants qui adorent se déguiser que chez les adultes qui aime aussi porter des déguisements, ou se réunir ou faire la fête… Bref, si beaucoup n’en profite pas, ce n’est pas mon cas, et c’est parti ce soir pour une petite bouffe et soirée entre amis avec pour thème les traditionnels monstres, sorcières, chats noirs, etc… Peut-être que cela nous réservera des surprises… qui sait!

Maintenant, un ‘tit chouille d’histoire, je savais que cette fête prenait ses origines dans le folklore celtique. Et en cherchant sur Wikipédia, j’ai découvert qu’en Irlande, cette fête religieuse portait le nom de Samain… Et ce nom de Samain me dit trop quelque chose, je suis certaine que j’ai entendu ce nom dans Supernatural (avec le beau Jensen Ackles :D, non, je ne bave pas là ^^) mais impossible de me rappeler s’il était utilisé correctement: nom d’une fête, nom d’un démon? il me semble que c’était plutôt le second, mais j’ai des doutes… Bref, cessons toute digression pour nous recentrer sur le sujet… ou pas… Pas grand chose de plus à dire sur Halloween…

Par contre, comme j’aime les légendes, et que j’ai bien sûr pu en lire sur le thème à mes enfants, j’avais envie d’en connaître la version non édulcorée de Jack O’Lantern, probablement un des personnages les plus connus associé à cette nuit d’Halloween… Alors lançons-nous ^^: d’après le conte Irlandais, Jack O’Lantern était un horrible homme, avare, ivrogne, méchant et égocentrique. Un soir, alors qu’il était à la taverne, le diable vint chercher son âme. Malin et fourbe, Jack demanda au diable de lui offrir un dernier verre avant de le suivre en enfer. Le diable (bon sang qu’il est stupide) accepta et se transforma en pièce. Jack se saisit de lui et l’enferma dans sa bourse dont il ne put sortir étant donné qu’elle avait une serrure en forme de croix… Jack accepta de le libérer à condition qu’il lui laisse un an de plus à vivre. Le diable accepta. Douze mois après, Jack piégea à nouveau le diable (qu’il est nul) sur un arbre (ça me déprime, tiens!). Mais Jack fut bien puni parce que lorsqu’il mourut, le 31 octobre, le paradis lui fut refusé et le diable ne le laissa pas entrer en enfer. O’Lantern réussit quand même à convaincre le roi des enfers de lui donner un morceau de charbon ardent pour éclairer son chemin dans le noir. Il plaça le charbon dans un navet creusé en guise de lanterne et fut condamné à errer sans but, jusqu’au jour du jugement dernier.