Les enfants de la baleine, tome 09 – Abi Umeda

Titre : Les enfants de la baleine, tome 09
Auteur : Abi Umeda
Éditeur : Glénat
Nombre de pages : 191
Quatrième de couverture : Choisissez votre destin ! Quel qu’en soit le prix !
Des mystères ont été éclaircis.
Des séparations ont également eu lieu.
La “Baleine de glaise” se trouve à présent aux portes d’Amonlogia et ses cieux nouveaux.
Après une longue traversée des sables, Chakuro et les siens pourront-ils enfin vivre en paix ?

Je n’étais pas très motivée pour lire ce neuvième tome… les derniers trainaient en longueur et je redoutais de m’ennuyer une fois de plus. Ce n’est pas du tout le cas.

La baleine de glaise et son équipage arrivent enfin à Amonlogia où ils espèrent enfin vivre une vie sereine comme le leur a promis Roxalito.
C’est l’occasion de découvrir la ville et ses superbes bâtiments. Les décors sont impressionnants, j’ai pris un temps fou à les contempler, me noyant dans chaque détail, à chercher et à observer ce qui se cachait derrière les fenêtres.

On fait la connaissance des trois frères de Roxalito et le premier contact est loin d’être top. Dyctis est un imbécile imbu de sa personne, mais il est loin d’être le pire. Dès la première apparition d’Antikheiras et surtout de Paramésos, je les ai détestés sans véritable raison.
En ce qui concerne Roxalito, j’avais fini par l’apprécier au fil des tomes, j’avais la sensation qu’il avait changé au contact des habitants de la baleine de glaise, je crains de m’être trompée et ça m’attriste.

Bref, le débarquement sur Amonlogia ne se passe pas comme prévu. Les marqués doivent rester sur leur vaisseau tandis que les non-marqués se rendent au palais pour demander l’asile pour tous. Ça aurait été étonnant si tout s’était déroulé comme annoncé au début.
C’est triste et pourtant, c’est une bonne chose pour le lecteur : ça fait avancer l’histoire et ça relance l’intrigue.

C’était une lecture dense, mais passionnante. J’ai adoré ce neuvième tome, il me semble que j’ai le suivant dans ma Pile à Lire et si c’est le cas, je le lirai assez vite.

Solo Leveling, tome 9 – Chu Gong

Titre : Solo Leveling, tome 9
Auteur : Chu Gong
Éditeur : Delcourt (Kbooks)
Nombre de pages : 272
Quatrième de couverture : Lorsque d’étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l’humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n’hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu’ils abritent.

Un neuvième tome impressionnant qui m’en a mis plein la vue.
C’est le combat final contre la fourmilière, sur l’île de Jeju et les chasseurs de rang S se sont fait massacrer par l’espèce de fourmi humanoïde. Heureusement, Jinwoo débarque, mène un combat époustouflant et, sans surprise, gagne.

L’histoire est rondement menée : elle est équitablement partagée entre baston et discussions. On découvre des détails intéressants : sur la formation de guildes en Corée, sur les Scavengers, mais surtout sur l’attrait que le gouvernement américain peut provoquer chez les puissants chasseurs des autres pays, etc.
L’intrigue avance tout doucement : les elfes de glace reviennent sur le devant de la scène et il commence à se profiler un conflit entre eux et les humains. À voir ce que donnent les prochains.

Jinwoo a encore une nouvelle invocation : une fourmi humanoïde du nom de Ber. Ce qui est intéressant avec cette créature, c’est qu’elle parle, contrairement aux autres.
Quand mon homme l’a vu, il m’a sorti : « je l’aime bien, lui ! Il est drôle. » – comme il lit la saga sur le net en webtoon, il l’a déjà terminée donc il sait de quoi il parle. Bon, pour l’instant, Ber n’est pas fun… j’attends le dix pour voir s’il me plaît.

J’ai passé un excellent moment avec cette lecture que j’ai terminé rapidement tellement c’était prenant. C’est un coup de cœur pour ce neuvième tome.

Les Pirates de L’Escroc-Griffe, tome 2 : Les Feux de Mortifice – Jean-Sébastien Guillermou

Titre : Les Feux de Mortifice
Saga : Les Pirates de L’Escroc-Griffe, tome 2
Auteur : Jean-Sébastien Guillermou
Éditeur : Bragelonne (Snark)
Nombre de pages : 520
Quatrième de couverture : L’équipage de L’Escroc-Griffe a réussi. Ils ont récupéré les Cylindres chénis et ont bravé les dangers des Terres Interdites. Toutefois, ils n’en sont pas ressortis indemnes, et un traitre se cache dans les rangs…
Caboche lui-même a changé : devenu lymphogateur, il est hanté par le déclin de Sol, qu’il a vu mourir dans une vision. Pourtant, personne ne le prend au sérieux, et Bretelle n’a qu’une idée en tête : vendre les Cylindres et changer de vie. En dépit des nombreuses protestations et mises en garde, les pirates font cap vers Trafic, l’île du troc. Cependant, l’échange risque de mettre en jeu bien plus que ce qu’ils avaient prévu, peut-être même leur vie…

N’ayant pas gardé un souvenir impérissable du premier tome, je n’étais pas très motivée pour lire ce second tome… j’aurais dû écouter mon instinct.
Il se passe beaucoup de choses, et en même temps, j’ai eu la sensation que ça n’avançait pas. Je vais faire au mieux pour résumer tout ça.

Il y a un traître sur l’Escroc-Griffe et c’est Goowan. Ce dernier s’en veut tellement qu’il se dénonce à son capitaine, mais seulement après avoir révélé à cet enfoiré de Vélin que la brick-goélette se rendait à Trafic pour vendre les Cylindres Chénis qui se sont soudés au vaisseau.
Ai-je besoin de dire que l’escale à Trafic tourne mal ? Et le mot est faible. Bref, la situation s’aggrave tellement que Bretelle devient fou et il entraîne son équipage dans une quête insensée.

Une fois de plus, je ne suis pas parvenue à m’attacher aux personnages. Ça ne passe pas et j’ignore pourquoi… il y a bien des moments où la sauce commençait à monter, puis ça redescendait tout aussi vite. C’était frustrant.
Souvent dans ces cas-là, je me console en me laissant porter par la plume de l’auteur, mais ça n’a pas pris non plus. Le style d’écriture est plaisant, ça m’a cependant paru plat… autant que l’est le récit.
Ce qui est étonnant parce que les événements s’enchaînent à la suite. Ça ne m’a pas empêché de m’ennuyer. C’était long et laborieux.

En plus, il y a très peu d’allusions au premier tome genre trois faits marquants pour rafraîchir la mémoire du lecteur (l’équipage de Bretelle a pénétré sur les Terres Interdites où ils ont trouvé les Cylindres qui se sont soudés à l’Escroc-Griffes et pas moyen de les enlever, ils ont sauvé Belle Lili et Syco de leur prison à Perdition)… des événements tellement importants qu’il était peu probable que je les oublie et en effet, je m’en souvenais bien. Mais c’est tout… pour le reste, aucun souvenir.
Pas moyen de me rappeler comment ils ont récupéré les Cylindres, pour Opale, c’est le trou noir : qui est-elle, comment a-t-elle rencontré Caboche, comment se sont-ils liés ? Ce sont des détails qui ne sont pas forcément essentiels pour l’avancée de l’histoire, mais ça aurait apporté beaucoup plus de profondeur de les rappeler de manière subtile.

J’ai détesté cette lecture. J’ai le troisième tome dans ma pile à lire, mais il y restera éternellement.

Coupe des 4 maisons :
Gallions (5ème année) – un livre qui parle de piraterie50 points

Bilan lecture du mois de février 2023

Bilan de lectureJ’ai été très prise pendant le mois de février et j’ai consacré moins de temps à la lecture. J’ai un début de migraine, donc je ne vais pas m’attarder trop longtemps.
J’ai lu 21 livres (15 mangas et donc 6 romans).
Commençons sans plus tarder:

Coup de coeur
Coup de Cœur:
     

Image du Blog good-winry-18.centerblog.net
J’ai adoré:
  

Gif heureux
J’ai aimé:
     

Bonne lecture sans plus
Une bonne lecture, sans plus:
  

Image du Blog mangapournous.centerblog.net
Ça m’a trop déçue:
 

Image du Blog mangapournous.centerblog.net
J’ai détesté:

On arrive donc à un total de 4392 pages (3019 en mangas et donc 1373 pages en roman).


Bilan challenge :

Challenge Rougon-Macquart : 12/20


Cold Winter Challenge : 13/13

Challenge Coupe des 4 maisons : 30 items – 1355 points

Challenge Goodreads : 40/250

Challenge Termine tes sagas en cours, bordel !!! (illimité) : 025/408


Actuellement, je lis :
Les Pirates de L’Escroc-Griffe, tome 2 : Les Feux de Mortifice
Jean-Sébastien Guillermou
(5%)


Actuellement, je joue sur PC à :

Toilet-bound Hanako-kun, tome 07 – Iro Aida

Titre : Toilet-bound Hanako-kun, tome 07
Auteur : Iro Aida
Éditeur : Pika (Shônen)
Nombre de pages : 178
Quatrième de couverture : Mission accomplie ! Il ne reste plus qu’une main à faire disparaître pour que les photos du club de jardinage reviennent à la normale. Mais voilà que la dernière main entraîne Nene à l’intérieur d’un miroir ! De l’autre côté, la jeune assistante fait la rencontre d’un esprit nommé Mitsuba. Ensemble, ils décident de s’allier afin de trouver un moyen de regagner le monde des vivants. Seulement, il semblerait que le maître de cette frontière, ne compte pas les laisser repartir si facilement…

J’avais grandement hâte de découvrir ce septième tome ; après tout, Nene s’était faite enlever par des mains à la fin du précédent.
Elle est emportée dans le monde du troisième mystère, celui de l’enfer des miroirs. Elle y est coincée avec Mitsuba, comme il a perdu la mémoire, il est un peu moins sympathique que lors de son aventure avec Kô ; il est surtout plus couard… mais pas que. Face à Nene, il se montre terrifié et la jeune fille tombe dans le panneau et se prend d’amitié pour lui.

J’étais partagée quant à Mitsuba : j’étais toujours très attachée à lui et j’espérais qu’au fond, il était toujours le même, pourtant ses réactions quand Nene a le dos tourné me poussaient à croire qu’il était malheureusement comme Tsukasa.
D’ailleurs en parlant du frère jumeau de Hanako, ce personnage a un grain, c’est terrible. Sur bien des points, je l’ai trouvé terrifiant

Les dessins sont tout aussi beaux que dans les précédents. J’ai été ravie de retrouver le second mystère, madame Yako (vous savez, le kitsune !) Elle est trop mignonne que ce soit en humaine ou en animal).
J’ai bien ri dans ce septième tome avec l’histoire du navet déformé (même si je plains la pauvre Nene) ou avec les dialogues entre Mitsuba et Nene ou entre Kô et madame Yako.

J’ai bien aimé cette lecture ; je crois que de tous, c’est pour le moment celui que j’aime le moins… j’espère que ça ne commence pas à s’essouffler. On verra.