Chi, une vie de chat – Konami Kanata

Chi une vie de chat 1Titre: Chi, une vie de chat 1
Auteur: Konami Kanata
Éditeur: Glénat Kids
Nombre de pages: 162
Quatrième de couverture:
Que faire quand on est un mignon petit chaton et que d’un coup, on se retrouve tout seul ? Pleurer ? Ne rien faire ? Attendre ? Non, il y a plus drôle que ça : découvrir le monde ! Du jardin public à la maison, des chaussures au vétérinaire, des balles rebondissantes aux plantes d’appartement… la vie de chat est pleine de joies et de surprises. Et avec Chi, elle l’est encore plus ! Miaaaa…

Je viens de finir ce sympathique manga. J’ai vraiment beaucoup aimé. Étant une grande fan des chats, ayant moi-même un chat adopté qui a du avoir un passé difficile, je n’ai eu aucun mal à m’attacher à cette petite chatte prénommée Chi (pipi en japonais et si vous voulez savoir pourquoi elle porte ce nom, il faudra lire ce premier tome.)
Si j’ai trouvé le début un peu tristounet, si j’ai dans un premier temps plaint ce pauvre chaton perdu, je me suis rapidement mise à rigoler à tel point que mon chat me regardait bizarrement -un mélange d’incompréhension et d’agacement- pendant que mon fauteuil tressautait sous mon rire plus ou moins tonitruant.

Chi 2
L’histoire est loin d’être originale, dans le style, j’ai une nette préférence pour What’s Michael; mais le dessin est beaucoup plus mignon, en plus, il est coloré ce qui est un bon point, mais ça me semble toujours étrange pour un manga. Au vue des couleurs de Chi, cette colorisation n’avait que peu d’importance mais ça rend les planches encore plus charmants et la famille Yamada encore plus sympathique, d’autant que ça reste relativement pastel, pas du tout agressif.
Pour le moment, il y a 9 volume en France, 10 au Japon -série finie à priori. Je me demande si au final, Chi, une vie de chat ne finira pas par s’essouffler d’elle-même; après tout, malgré toutes les conneries que les chats peuvent faire et qui nous font rire (surtout lorsque ce n’est pas chez nous), on en fait vite le tour, après, ce n’est qu’une répétition de bêtises. Le point positif, c’est que lorsque notre chat s’est montré aussi peu douée que Chi, on se sent quand même moins seule. Malgré ça, j’ai un peu peur de m’en lasser.

Chi une vie de chat verso

En tout cas, pour le moment, j’aime énormément, j’ai beaucoup ri, et je compte bien découvrir les prochains volumes si l’occasion m’en est offerte.

Je passe à 08/20.

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Le Seigneur des Anneaux 3 : Le Retour du roi – J.R.R. Tolkien

le retour du roiTitre: Le retour du roi
Saga: Le Seigneur des Anneaux 3
Auteur: J.R.R. Tolkien
Éditeur: Presses Pocket
Nombre de pages: 504
Quatrième de couverture:
Hélas, pauvres amis, hélas, trois fois hélas ! Saroumane, le Mage Blanc, Gollum, la créature des Monts Brumeux, pourquoi sont-ils en proie à la soif du pouvoir ? Pourquoi cherchent-ils tous l’Anneau Unique ? Frodon, le petit Hobbit, voudrait bien détruire l’objet infernal, mais il n’a pu franchir la Porte Noire. Comment atteindre le Mont du Destin ? Peut-être est-il trop tard : déjà Boromir est mort et la Terre du Milieu se prépare à la Guerre de l’Anneau. Une grande obscurité, issue du Mordor, commence à recouvrir le continent ; le Seigneur Ténébreux mobilise. Les Rohirrim n’ont plus le temps d’en finir avec le traître assiégé dans l’imprenable tour d’Orthanc ; ils doivent se rassembler pour faire face à l’Ennemi. Frodon tente sa chance une fois de plus, passant par le Haut Col ; et là Gollum toujours en proie à sa vilenie, le livre à l’abominable Arachné. Frodon va-t-il mourir ? Et que peut faire un simple hobbit contre le maître du Pays Noir ?

J’avais commencé la lecture de ce volume immédiatement après le second tome, sachant que ce dernier ne m’avait pas particulièrement plu; ce qui remonte à une dizaine d’année, maintenant. Puis j’avais perdu ce livre (dans mon appartement – oui, je suis très forte pour perdre les choses chez moi, surtout lorsque je les range, en fait !) j’ai donc dû abandonner cette saga parce qu’il était hors de question que je teste une autre édition.
Je l’ai retrouvé dernièrement, j’y avais gardé mon marque-page, j’ai donc pu reprendre ma lecture à l’endroit où je m’étais arrêtée – Yes ! Une centaine de page en moins à lire !
Ben, 100, ce n’était pas assez… J’ai eu énormément de mal à finir le livre V. J’avais beau me forcer, je n’avançais pas. J’en ai vu défiler des heures. Ce n’est pas que le style de Tolkien m’ennuie, mais l’auteur m’a perdu sur des détails. Il va nous sortir un dialogue entre plusieurs personnes et parler de certains lieux en ne donnant que leur nom, on n’a aucune idée de quel type de lieu c’est, où cela se situe par rapport à la ville et aux combat, en quoi est-ce un endroit si important ! Si ce n’était qu’un nom perdu sur une page, ça passerait, mais non, ça s’étale sur plusieurs pages ! Ça, ajouté au fait que plein de noms différents sont utilisés pour une seule personne ou chose… Je ne sais pas si c’est le fait que j’ai mis trop de temps depuis le livre précédent, mais c’était super chiant au final.

Le retour du roiPar contre, j’ai bien aimé le livre VI. La lecture était quand même un peu fastidieuse: le style de l’auteur en reste quand même lourd; malgré cela, ça m’a quand même plu. Il faut savoir qu’il est composé de 9 chapitres et la guerre prend fin au chapitre 4.
La traversée du Mordor était longue, aride, fatigante; ça m’a complètement vidé, j’ai totalement accompagné Frodon et Sam dans leur désespérante quête. Et pourtant, j’ai beaucoup aimé.
Et le détail qui m’a poussé et motivé à lire ce livre jusqu’au bout, c’est qu’il y avait une vraie fin de 120 pages. Là, on sait tout: ce que devient Faramir, Dame Eowyn et Eomer, le retour du roi,  Saroumane, Grima Langue de Serpent, etc…
Et je ne parlerai même pas de la Comté! Dans le film, on a l’impression que la guerre ne l’a pas affectée alors qu’en fait, elle a été tout aussi dévastée que les autres contrées des Terres du Milieu.

Par contre, je m’en suis arrêtée à la page 442. Je n’ai pas lu les annexes qui sont composées de chronologies, de généalogies et de cartes. Je les ai juste feuilletées, c’était suffisant! ^_^

Ce troisième volume ne m’a pas particulièrement plu, mais je suis malgré tout ravie de l’avoir lu rien que pour ce livre VI et de la conclusion complète dont on a droit.

Je passe à 03/20.

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Black Butler 1 – Yana Toboso

JQ_BlackButler_01_N.inddTitre: Black Butler 1
Auteur: Yana Toboso
Éditeur: Kana
Collection: Black Kana
Nombre de pages: 184
Quatrième de couverture:
Sébastian est majordome au service de Ciel Phantomhive, héritier d’une grande famille de la noblesse anglaise. En matière d’érudition, d’éducation, d’art culinaire, rien à redire, il est parfait. Mais ne vous fiez pas à sa distinction, si vous vous en prenez à son jeune maître, vous découvrirez sa vraie nature… Ciel aurait-il signé un pacte avec le Diable?!

Ce manga ne m’appartient pas: je l’ai emprunté à mon frère et je me devais de le lire rapidement, ce que j’ai fait cet après-midi. Il se décompose en 4 parties ou 4 chapitres.
Lorsque j’ai commencé, je n’étais absolument pas convaincue. Tout au long du premier chapitre, je me suis demandée si j’aimais ou non et j’ai été incapable de me décider. J’ai donc continué ma lecture sans savoir si cela valait le coup. Les dessins sont esthétiquement beaux, mais le personnage principal, Sebastian, me gênait: il est super fort, extrêmement doué dans tout ce qu’il entreprend, bref le majordome parfait, c’en est presque agaçant. Cependant, pas autant que les autres employés du manoir qui ne sont là que pour jouer les pompomgirl et sont vraiment trop nuls.
Black Butler 2Mais j’avoue qu’au second chapitre, à l’arrivée d’Elizabeth, je me suis totalement détendue et j’ai beaucoup ri, tout en me méfiant: est-ce que la suite ne sera pas une succession de scènes cocasses menées par la jeune fiancée de Ciel ? Et puis, j’ai chassé toute pensée néfaste et j’ai juste profité du reste du manga.
Le début du chapitre 3 est légèrement confus, mais ça ne m’a pas empêché de continuer et de dévorer la suite et fin avec le chapitre 4.

Il y a une chose que j’ai vraiment bien apprécié dans ce manga: on sent bien quelque chose d’étrange chez le protagoniste qui pourrait expliquer ses fabuleuses réussites quelqu’en soit le domaine, on peut se dire qu’avec de la chance, on aura progressivement des indices aussi minuscules que ridicules étalés sur une trentaine de volume; et bien, non ! A la fin du premier tome, on sait qui est ce formidable majordome et d’où lui viennent ses fabuleuses capacités ! J’ai trouvé ça très appréciable. Ça m’a permis un retour sur cette lecture encore plus positive que l’avis que je m’étais progressivement faite au fil des pages.
J’ai vraiment envie de lire la suite, mais ce n’est pas une envie pressante, plutôt une envie sereine, comme je les aime.

Je passe à 07/20.

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One Piece, tome 1 – Eiichiro Oda

One piece tome 1Titre: One Piece 1
Auteur: Eiichiro Oda
Éditeur: Glénat
Nombre de pages: 207
Quatrième de couverture:
Nous sommes à l’ère des pirates. Lufy, un garçon espiègle, rêve de devenir le roi des pirates en trouvant le  » One Piece « , un fabuleux trésor. Par mégarde, Lufy a avalé un jour un fruit démoniaque qui l’a transformé en homme caoutchouc. Depuis, il est capable de contorsionner son corps élastique dans tous les sens, mais il a perdu la faculté de nager.
Avec l’aide de ses précieux amis, dont le fidèle Shanks, il va devoir affronter de redoutables pirates dans des aventures toujours plus rocambolesques.

J’ai relu ce tome de One Piece parce que j’avoue qu’après quelques années je ne me souvenais pas grand chose de ce manga si ce n’est que je n’avais pas aimé; mais puisqu’avec les années, les goûts changent, je me devais de tenter une relecture.
Ca a quand même été moins pénible que la première fois.  Certains passages m’ont fait sourire, d’autres m’ont déprimé tellement c’est du n’importe quoi !
Les dessins ne sont pas terribles, je devais presque mieux dessiner à l’âge de 8 ans, c’est dire si ce n’est pas très beau. C’est un style… que je n’apprécie pas, en fait… Les tronches déformées avec des dents en forme de scie me saoulaient déjà dans Docteur Slump, il y avait peu de chance pour que ça change… Le style graphique participe grandement à ma dépréciation de ce manga. Mais c’est loin d’être ce qui me bloque avec One Piece.
L’histoire pourrait être sympa, même si ça reste un Seinen bête et méchant; même si, une histoire de pirates, je trouve ça original. Malheureusement, je déteste les personnages principaux de ce premier volume. Luffy est d’un je-m’en-foutisme qui m’horripile au plus haut point, il est complètement irréfléchi et stupide, il me saoule. Le personnage le plus classe reste Zorro; ça aurait pu passer mais son histoire est d’un ridicule… à pleurer (je parle de la fin de Kuina, bien sûr) ! Ça casse tout ! Pas grand chose à dire sur Namy, on ne la découvre qu’au dernier chapitre, ce qui n’est pas suffisant pour me faire une idée du personnage.
Les méchants sont pour le moment juste ridicules, aucun charisme.

One Piece 1

Bref, je n’ai pas accroché. Certes, ça se laisse lire, certaines scènes font sourire mais ce n’est pas suffisant pour moi. Si je dois lire le second tome c’est que je n’aurai plus rien envie de lire! :p

Je passe à 06/20.

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