La secte des égoïstes – Eric-Emmanuel Schmitt

Titre: La secte des égoïstes
Auteur: Eric-Emmanuel Schmitt
Éditeur: Le livre de poche
Nombre de pages: 125
Quatrième de couvertureA la Bibliothèque nationale, un chercheur découvre la trace d’un inconnu, Gaspard Languenhaert, homme du XVIIIe siècle, qui soutint la philosophie ” égoïste “. Selon lui, le monde extérieur n’a aucune réalité et la vie n’est qu’un songe. Intrigué, le chercheur part à la découverte d’éventuels documents. Mystérieusement, toutes les pistes tournent court. Conspiration ? Malédiction ? La logique devient folle, cette enquête l’emmène au fond de lui-même, emportant le lecteur avec lui dans des vertiges hallucinants.

J’avais grandement envie d’une lecture rapide et agréable, je pensais qu’en choisissant un roman d’Eric-Emmanuel Schmitt, c’était gagné puisque jusqu’à présent, j’ai adoré tous ceux que j’ai lu de cet auteur… tous, sauf celui-ci.

Habituellement, j’aime faire un petit résumé de l’histoire, mais là, ça va être très compliqué parce que ça part dans tous les sens… c’est du moins la sensation que j’ai eue.
Dans un premier temps, on suit le narrateur : il passe beaucoup de temps à faire des recherches à la Bibliothèque nationale, jusqu’au jour ou, pour faire comme tout le monde et essayer de se détendre, il tombe sur la description d’une philosophie égoïste enseignée par un certain Gaspard Languenhaert. A partir de ce moment, il est obnubilé par le personnage et mène des recherches pour en découvrir davantage sur lui.
On a droit à quantité de textes relatant les apparitions publiques de Gaspard, son ascension dans la société mondaine parisienne puis sa déchéance et son retour à la vie normale.

J’ai détesté cette lecture. Je me suis grandement ennuyée. Et je n’ai pas réussi à accrocher ni aux personnages, ni à l’histoire… peut-être est-ce la trame du récit qui m’a posée problème, je l’ignore, en tout cas, c’est loin d’être ce que j’attendais. Dommage.

Challenge Coupe des 4 maisons :
5ème année : J.K. Rowling
– finir un livre lors de la journée nationale du livre (23 avril 2018) – 50 points