Le monstre nounou – Tuutikki Tolonen

Titre: Le monstre nounou
Auteur: Tuutikki Tolonen
Illustrations: Pasi Pitkänen
Éditeur: R Jeunesse
Nombre de pages: 355
Quatrième de couvertureIl y a des nounous rigolotes, des nounous trop sévères, d’autres qui vous laissent faire les quatre cents coups, et puis il y a… le monstre nounou !
En l’absence de leurs parents, Halley, Koby et Mimi vont être gardés par cette étrange créature poilue et poussiéreuse qui sent fort le renfermé. Voilà qui promet des vacances pas comme les autres…

J’avais postulé pour ce livre lors d’une mass critique babelio, mais je ne l’avais pas obtenu. Du coup, lorsque je l’ai vu à la bibliothèque, mi-septembre, je n’ai pas hésité une seconde à l’emprunter.

Je dois bien avouer que je ne m’attendais pas à ça en le lisant, l’histoire prend une toute autre tournure après le premier tiers.
Le début correspond tout à fait au résumé et à mes attentes. La mère des trois petits héros, Halley, Koby et Mimi, a gagné le premier prix à la loterie : un voyage en Laponie. Les enfants ne pouvant rester seuls puisque le papa est en voyage d’affaire, il est fourni à la famille un monstre nounou avec quelques instructions. La maman part, le monstre élit domicile dans le placard. C’est parti pour ce début d’expérience comme indiqué dans la circulaire accompagnant le monstre.
Jusque là, le roman est prévisible mais tout se complique lorsque les trois enfants décident de faire des recherches sur les monstres et tombent sur un manuel : Monstres, attributs et caractéristiques de Runar Kalli.
Le monstre nounou n’est pas le seul. Y en a-t-il d’autres dans le coin ? Est-ce cela l’expérience ? Et qui a envoyé le monstre ?
De nombreuses questions se posent. Certaines trouvent réponses avant la fin de ce premier tome, pour les autres, il est à espérer que le second nous les donne.

Ce roman est principalement tourné vers les enfants. Ce sont eux qu’on suit, c’est à eux qu’on s’attache. Le monstre nounou m’a laissée plutôt indifférente. Quand il commence à interagir avec les enfants en s’occupant d’eux du mieux qu’il peut, on le découvre sous un nouveau jour, mais cela ne dure pas et rapidement, il n’est plus qu’un “fantôme”. C’est dommage, j’aurais aimé qu’il soit plus présent. Il en va de même pour la robe de chambre bleue, pas assez là pourtant, c’est ma créature préférée dans ce livre.
Les trois héros sont aussi attachants qu’on peut l’être à six, neuf et onze ans. A part pour Koby, j’ai trouvé que Halley et Mimi réagissez, assez souvent, de manière plus jeune que leur âge. Pour la cadette, je lui aurais davantage quatre ou cinq ans que six ans et demi. Ils sont agréables, mais sans plus.

J’ai bien aimé cette lecture, j’ai passé un bon moment et j’ai grandement apprécié de pouvoir découvrir les illustrations de Pasi Pitkänen. Elles s’harmonisent parfaitement au récit.
Par contre, ça m’embête de ne pas avoir la suite, j’espère la trouver la semaine prochaine, surtout que je viens de vérifier sur le portail de ma médiathèque : ils l’ont et il est disponible.

Challenge Tournoi des 3 Sorciers :
Botanique : Chourave (4ème année) – Un livre illustré – 40 points

Pumpkin Autumn Challenge :
Automne Douceur de vivre – Pomme au four, tasse de thé et bougie :
Feel Good / Enfantin / Romance / Histoire de famille

Chronique du tueur de roi, tome 1 : Le nom du vent – Patrick Rothfuss

Titre: Le nom du vent
Saga: Chronique du tueur de roi, tome 1
Auteur: Patrick Rothfuss
Éditeur: Bragelonne
Nombre de pages: 781
Quatrième de couvertureJ’ai libéré des princesses. J’ai incendié la ville de Trebon. J’ai suivi les pistes au clair de lune que personne n’ose évoquer durant le jour. J’ai conversé avec les dieux, aimé des femmes et écrit des chansons qui font pleurer les ménestrels.
J’ai été exclu de l’Université à un âge où l’on est encore trop jeune pour y entrer. J’y étais allé pour apprendre la magie, celle dont on parle dans les histoires. Je voulais apprendre le nom du vent.
Mon nom est Kvothe.
Vous avez dû entendre parler de moi.
Un homme prêt à mourir raconte sa propre vie, celle du plus grand magicien de tous les temps. Son enfance, dans une troupe de comédiens ambulants, ses années de misère dans une ville rongée par le crime, avant son entrée, à force de courage et d’audace, dans une prestigieuse école de magie où l’attendent de terribles dangers et de fabuleux secrets…
Découvrez l’extraordinaire destin de Kvothe : magicien de génie, voleur accompli, musicien d’exception… infâme assassin.
Découvrez la vérité qui a créé la légende.

Le terminer m’a pris un temps monstrueux ! J’ai cru que je n’arriverai jamais au bout de cette lecture. Je me suis demandée à plusieurs reprises pourquoi je n’avais pas accroché… après tout, j’ai trouvé l’univers et la plupart des événements intéressants. Il y a malgré tout quelques longueurs et certains passages m’ont saoulée. Mais ce n’est pas cela qui m’a freinée… le personnage principal m’a posé souci et j’en parle plus bas.

Le héros, Kvothe, se planque sous le déguisement de tenancier d’une auberge la Pierre Levée et on ne le connaît que sous le nom de Kote, ça doit grosso modo être un truc du genre, le début est super flou et pour nous embrouiller davantage, des personnages non importants racontent le passé du légendaire Kvothe ; bien sûr, on est très loin de la vérité.
Lorsque Kvothe rencontre Chroniqueur, ce dernier réussit à le convaincre de lui conter sa véritable histoire. Il accepte de le faire en trois jours – nous avons droit au premier jour.
Au début, le récit s’attarde sur sa jeunesse au sein de la troupe d’Edema Ruh de ses parents, des gens du spectacle. Il y côtoie Ben,un arcaniste, qui lui apprend les bases de la magie.
Lorsque sa famille est tuée, Kvothe erre un temps avant de finir à Tarbean, ville ou il survit dans les bas-fonds, et ce, pendant trois ans. Puis il finit par prendre son courage à deux mains et décide de rejoindre l’Université pour devenir à son tour un arcaniste comme il l’avait promis à Ben. Une des raisons qui le motive à avancer est bien évidemment la mystère qui entoure la mort de la troupe d’Edema Ruh. Pourquoi eux ? Qui sont les meurtriers ?
Une bonne partie du roman nous conte sa rapide évolution au sein de l’Académie.
C’est un résumé plus que succinct mais en 781 pages, il se passe tant de choses, qu’il est impossible de les relater sans spoiler ou sans écrire une chronique de huit mille mots.

Comme je le disais plus haut, je n’ai pas aimé ce roman parce que le personnage principal m’a laissée totalement indifférente – je ne suis pas certaine que ce soit réellement la raison, mais je n’en vois pas d’autre. Si j’ai apprécié les joutes verbales que Kvothe échange avec le sale petit c** d’Ambrose, la majorité du temps, il m’a ennuyée.
Le héros est super intelligent, doué dans tout ce qu’il entreprend au point de tout réussir du premier coup. Il ne respecte pas grand chose et surtout pas les règles et il est assez fourbe pour s’en servir à son profit. C’est le personnage parfait par excellence. Alors oui, il a quand même des défauts, mais aucun qui me l’a rendu attachant : l’arrogance, la suffisance. Personnellement, je l’ai trouvé stupide et pour preuve sa réaction après les premiers coups de fouets qu’il reçoit, son maître arcaniste aurait dit qu’il était irréfléchi.
Bref, c’est un génie. C’est un don qui ne me dérange pas à condition que le talentueux personnage ait des défauts ou même des amis qui le rendent plus humain, comme c’est la cas pour Sheldon Cooper (Big Bang Theory). Kvothe en est loin, il est insipide et il en est de même pour bon nombre de ses compagnons (Bast est chiant, Denna m’a également laissée indiférente).

J’avais entendu énormément de bien de cette saga et souvent, il était dit qu’une fois le Nom du Vent commencé, il était impossible de s’arrêter… mouais, c’est pour ça que j’ai mis trois semaines à le terminer.
En conclusion, c’est une grosse déception pour cette lecture et je ne suis pas certaine de lire la suite.

Challenge Tournoi des 3 Sorciers :
Sortilèges : Engorgio (7ème année) – Lire un livre d’au moins 45 chapitres – 70 points

Pumpkin Autumn Challenge :
Automne Douceur de vivre – La feuille d’automne emportée par le vent, en rondes monotones, sonnant, tourbillonnant :
Couverture aux couleurs de l’automne (orange, rouge, jaune, marron)

Nuits d’Alsace – Collectif

Titre: Nuits d’Alsace
Auteur: Morgane Scheinmeer, Brice Chee, Odile Avril, François Fierobe
Éditeur: Luciférines
Nombre de pages: 113
Quatrième de couvertureCigognes, tenues traditionnelles, bretzels et vins blancs, on ne saurait penser à la culture alsacienne sans l’un de ces symboles. Tout à l’Est, à la fois française et d’héritage germanique, la plaine du Rhin éveille l’imaginaire. En 4 nouvelles fantastiques, des auteurs passionnés ont exploré le passé historique d’une région à la frontière de plusieurs mondes et époques. Souvenirs de la Seconde Guerre mondiale, d’un Moyen-âge superstitieux qui vit la publication du Malleus Malleficarum à Strasbourg, et de la Renaissance nordique se croisent sur une terre riche en mystères, qui n’attend que votre visite.

J’ai hésité à chroniquer cette anthologie en raison de la présence de ma nouvelle, mais j’ai pris tellement de plaisir à découvrir les autres histoires que ça aurait été dommage de ne pas vous en parler. Même si j’ai relu la mienne, il est évident que je ne donnerai pas mon avis dessus…

Comme pour Nuits de Lorraine, le recueil contient 4 nouvelles écrites par des auteurs différents. Après chaque récit, on peut trouver un petit article replaçant la légende.
Un copieux Vendredi-Saint de Morgane Scheinmeer :
Alix accompagne sa sœur et ses amis dans la forêt de Westhoffen afin de faire une randonnée et de passer une partie de ce long week-end à camper. Mais à la nuit tombée, ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls dans les bois.
Puisque je suis l’auteure de ce texte, il tient forcément une place particulière dans mon cœur. Je laisserai donc à d’autres le soin de juger.
Le tour du Diable de Brice Chee :
Alena Wehrle, SS, est amenée par la Gestapo dans les locaux de la Sicherheitspolizei. Elle est questionnée par le Gauleiter au sujet de la relation qu’elle entretenait avec son ancien collègue Walsdorf et sur les travaux de recherche qu’ils menaient sur la sorcellerie.
Résumé ainsi, je ne suis pas sûre que cela donne forcément envie, pourtant, la nouvelle est captivante. J’ai été rapidement plongée dans l’histoire au point d’oublier totalement ce qui m’entourait. Au début, les noms typiquement allemands/alsaciens m’ont un peu freinée, pourtant je devrais être habituée étant originaire d’Alsace, heureusement, je m’y suis faite rapidement, cela rajoute de l’authenticité au récit.
De plus, on sent bien que l’auteur a fait énormément de recherches, ce qui m’a été confirmée hier matin. Bref, j‘ai adoré cette nouvelle.
Début de roman d’Odile Avril :
La narratrice vit à Montréal. Un jour qu’elle se repose dans un parc, elle découvre sur son bagage un vieux livre. En le feuilletant, elle découvre qu’il manque le début. Le roman est autobiographique : l’auteure raconte sa séquestration en Alsace -partie manquante du bouquin- sa libération puis sa quête de la vérité pour prouver l’existence du château-prison. L’héroïne profite des fêtes de fin d’année pour rendre visite à son frère qui vit en Alsace, et pour découvrir les bois dans lesquels se situe l’histoire du roman.
J’ai bien aimé ce récit, et ce, même si j’ai deviné une partie de la fin – heureusement pas tout et c’est cette chute qui m’a fait apprécier cette nouvelle. J’ai trouvé la narration bizarre lors de l’épisode de la Saint Étienne, un peu décousue. Ce n’est pas désagréable mais ça laisse une sensation d’étrangeté
Les démons d’Issenheim de François Fierobe :
Le narrateur et son ami Bastien mènent une discussion animée sur le retable d’Issenheim et notamment sur son interprétation Bastien tient des propos qu’on pourrait qualifier d’hérétiques, mais le plus inquiétant étant la folie fiévreuse qui commence à le gagner.
Un récit dans lequel il ne se passe pas grand chose, je l’ai pourtant trouvé intéressant : au point qu’il m’a donné l’envie de découvrir ce fameux retable (que je connaissais mais n’arrivais à visualiser, merci mon ami Google 😉 )  et de relire certains passages pour ne rien louper de cette conversation enflammée.
Plus on avance dans le récit et plus certaines descriptions sont dures et m’ont un peu dégoûtée, mais en ce qui me concerne, c’étaient les meilleurs parties, j’ai adoré ça.

J’ai adoré découvrir les nouvelles contées dans ce recueil. Elles sont variées de par leur thème mais également de par la plume des auteurs.
Tout aussi dépaysant que Nuits de Lorraine, on a beau vivre dans une région, on ne connaît pas toutes les légendes qui y ont cours. Et même si on les connaît, c’est un plaisir de les redécouvrir à travers les yeux d’auteurs alsaciens.

Challenge Tournoi des 3 Sorciers :
Histoire de la magie : Beedle le barde (1ère année) – Un recueil de contes ou de nouvelles – 10 points

Kamo, tome 3 : L’agence Babel – Daniel Pennac

Titre: L’agence Babel
Saga: Kamo, tome 3
Auteur: Daniel Pennac
Éditeur: Gallimard Jeunesse
Format: Audio livre
Durée: 71 minutes
Quatrième de couverturePourquoi Kamo doit-il absolument apprendre l’anglais en trois mois ? Qui est donc Cathy, sa mystérieuse correspondante de l’agence Babel ? Se moque-t-elle de lui ? Est-elle folle ? Devient-il fou ? Pourquoi ses lettres nous font-elles si peur ? Et les autres correspondants de l’agence Babel, qui sont-ils ? Fous, eux aussi ? Tous fous ? Qui est donc l’étrange vieille qui semble régner sur ce monde ? Menez l’enquête avec son meilleur ami : il faut sauver Kamo !

Je m’étais promise de ne plus m’essayer au format audio livre : ma première et dernière tentative n’avait pas été concluante.
Finalement, en allant à la bibliothèque, j’ai craqué… bon, d’accord, le Tournoi des 3 Sorciers m’a grandement aidée à me décider. J’ai longuement hésité sur le choix du livre. Je connaissais celui-ci parce que mon fils l’avait lu il y a deux ou trois ans et je savais que le fait que ce soit le troisième tome de la saga ne prêtait pas à conséquence pour la compréhension du récit. Le second point qui m’a poussée à prendre celui-ci est la durée… pas trop long donc idéal si cela ne me plaisait pas.
Finalement, j’ai été agréablement surprise : dès le premier chapitre, le conteur qui est également l’auteur a réussi à me prendre dans ses filets et j’ai écouté l’histoire quasiment d’une traite.

Kamo est bon élève dans bon nombre de matière, mais il est absolument nul en langue ce qui désespère sa mère. Elle passe un marché avec lui : si elle parvient à garder un boulot plus de trois mois, il devra maîtriser l’anglais dans le même laps de temps. Elle respecte sa part du contrat et lui se voit contraint d’en faire autant. Afin de l’aider dans son apprentissage, elle lui donne une liste de correspondants à choisir, liste établie par l’agence Babel. Je dois bien avouer que j’adore la mère de Kamo, elle est dure avec lui mais m’a bien plu ; par contre, ma fille a été horrifiée par ses propos.
Finalement, Kamo choisit au hasard Cathy. Elle arrive dès le premier échange à le fasciner au point que cela inquiète son meilleur ami qui est également le narrateur de l’histoire.

J’ignore ce qui m’a tellement plu dans cette histoire : certains détails sont prévisibles notamment par rapport à l’histoire de Cathy ce qui habituellement m’ennuie, mais là, ça ne m’a pas dérangée.
Les personnages sont bien dépeints. Je les ai trouvés drôles et attachants. Ils n’ont rien de particulier, c’est sûrement cela qui les a rendus si réalistes mais aussi touchants.
Le récit s’est laissé écouter, il est rendu original de par les correspondances si singulières. J’ai aimé la fin, elle ne m’a pas particulièrement étonnée, mais j’ai pris du plaisir à me laisser malgré tout surprendre par cette chute.

C’est un coup de cœur pour cette lecture.

Challenge Tournoi des 3 Sorciers :
Botanique : Cricasse (7ème année) – Un livre audio – 70 points

1, 2, 3… sommeil ! – Guido Van Genechten

Titre: 1, 2, 3… sommeil !
Auteur: Guido Van Genechten
Éditeur: Milan jeunesse
Nombre de pages: 20
Quatrième de couvertureLa nuit, tout le monde dort, même les animaux ! Il y a ceux qui dorment à plat ventre, ceux qui dorment sur le dos, ceux qui dorment à l’envers, ou encore les dormeurs solitaires. Et le petit Tommy, comment dort-il ?

J’ai emprunté ce livre à la bibliothèque pour pouvoir le lire aux enfants que je garde.

Mon choix s’est porté entre autre sur ce petit album pour plusieurs raisons :
– Il est cartonné donc solide ce qui permet aux petiots de le feuilleter à loisir.
Le thème du sommeil est tout à fait d’actualité avec au moins l’un des loulous.
– On y trouve différents animaux, et les enfants prennent du plaisir à répéter leur nom.
Les dessins sont sympathiques, je n’aime pas trop le character design de Tommy, mais c’est le seul. Bon, on passera sur le rhinocéros qui est présenté dormant sur le dos ou l’escargot qui a la tête à l’envers dans sa coquille. Les couleurs sont également chaleureuses.

La première fois que je leur ai lu cette histoire telle qu’elle est, ça ne les a pas plus accroché que cela, pourtant, les textes sont courts, il est coloré. Bref, il avait tout pour leur plaire.
Donc j’ai cherché une autre manière d’attirer leur attention. Et j’ai opté pour intercaler des chants, enfin, les refrains – c’est court et ils adorent ça. Sur les sept animaux présentés, il me manque deux chansons : une sur le rhinocéros et une sur la chauve-souris. Dommage ! Mais qu’à cela ne tienne, il va falloir que j’étoffe mon répertoire.
Mais on en a une pour chacun :
Que ce soit les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles […], un éléphant qui se balançait […], petit escargot porte sur son dos […], Bergère rentre tes blancs moutons […] ou les petits poissons dans l’eau […]

En tout cas, les petits adorent cette version : ils regardent les illustrations avec attention, dansent sur les chansons, me font de grands sourires et commencent à fredonner les airs. Rien que pour cela, j’adore cet album.